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Insee Conjoncture Bretagne · Juin 2022 · n° 39
Insee Conjoncture BretagneBilan économique 2021 - Bretagne Nette reprise de l’activité en Bretagne en 2021 mais des difficultés perdurent dans certains secteurs

L’année 2021 se caractérise par une nette reprise de l’activité. Elle a cependant de nouveau été marquée par l’épidémie de Covid-19, qui avait profondément bouleversé l’activité économique en 2020. Ces effets se cumulent avec la montée en puissance des difficultés d’approvisionnement et de recrutement et expliquent que la reprise soit contrastée selon les secteurs. Le tissu économique de la Bretagne et son attractivité confèrent à la région un bilan globalement plus favorable qu’au niveau national.

Insee Conjoncture Bretagne
No 39
Paru le :Paru le21/06/2022

Ce bilan économique fait partie des 17 bilans économiques régionaux 2021 publiés par l'Insee.
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Agriculture - Des cours généralement soutenus, mais des charges qui s’envolent Bilan économique 2021

Linda Deschamps (Direction régionale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt de Bretagne)

En 2021, la pandémie de Covid-19 se prolonge mais l’économie mondiale rebondit, favorisant la hausse des prix payés aux producteurs. C’est le cas du lait conventionnel, des bovins, des poulets et des œufs de consommation, avec des difficultés toutefois pour certaines filières biologiques. Les cours du porc, en revanche, reculent au second semestre. Parallèlement, les éleveurs sont confrontés à une envolée des coûts des intrants en 2021. Ceux de l’énergie et des engrais explosent, sous l’effet d’une demande internationale très soutenue. Celui de l’alimentation animale suit la forte hausse du prix des céréales.

Insee Conjoncture Bretagne

No 39

Paru le :21/06/2022

Flambée des prix des céréales, hausse de ceux des légumes

En 2021, les rendements des céréales à paille et du maïs grain s’améliorent, après la faible moisson de 2020. La production progresse en céréales à paille, en oléagineux et protéagineux, mais diminue de 15 % en maïs grain du fait d’une surface inférieure de 18 % à celle de 2020 (figure 1).

Figure 1Les principales productions

Les principales productions
Type de production Bretagne Part Bretagne / France métropolitaine en 2021
(en %)
2020 2021 Évolution 2021/2020
(en %)
Productions végétales
(en tonnes)
Blé 1 609 680 2 147 911 33,4 6
Maïs grain 1 712 020 1 461 723 -14,6 9
Orge 659 190 621 548 -5,7 5
Triticale 134 000 200 689 49,8 11
Autres céréales 79 366 91 933 15,8 3
Oléagineux 148 845 181 495 21,9 3
Maïs fourrage 3 734 300 3 968 823 6,3 23
Choux-fleurs 182 921 163 363 -10,7 79
Tomates 165 758 181 126 9,3 26
Lait
(en millions de litres)
Livraisons à l'industrie 5 395 5 366 -0,5 23
Activité dans les abattoirs
(en tonnes)
Bovins de moins de 12 mois 61 735 61 486 -0,4 32
Gros bovins 255 118 251 379 -1,5 20
Porcs 1 308 610 1 310 739 0,2 59
Gallus 378 383 372 578 -1,5 32
Dindes 125 532 107 591 -14,3 36
Production d'œufs des élevages professionnels
(en milliers)
Œufs de consommation* 5 523 067 5 729 100 3,7 34
  • * : La production régionale est estimée à partir de l’évolution mesurée au niveau national.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne, Statistique agricole annuelle (2020 définitive, 2021 provisoire), enquêtes auprès des laiteries, enquête auprès des abattoirs.

En dépit de récoltes mondiales abondantes, les prix des céréales atteignent des niveaux inédits depuis 2012, sous l’effet d’une demande internationale très soutenue (Chine). En Bretagne, entre juin et décembre 2021, le prix s’accroît de 9 % pour le blé et 13 % pour le maïs grain (figure 2). Les éleveurs sont confrontés à l’envolée du coût de l’alimentation animale, mais aussi des coûts de l’énergie et des engrais.

Figure 2Le prix des céréales en Bretagne

en €/tonne
Le prix des céréales en Bretagne (en €/tonne)
Période Blé tendre Maïs grain
2016-2017 Déc. 2016 131,25 123,09
Juin 2017 140,73 131,81
2017-2018 Déc. 2017 129,77 101,63
Juin 2018 140,63 114,37
2018-2019 Déc. 2018 160,73 132,49
Juin 2019 169,14 140,31
2019-2020 Déc. 2019 134,74 114,50
Juin 2020 150,92 124,95
2020-2021 Déc. 2020 159,75 136,36
Juin 2021 176,98 150,80
2021-2022 Déc. 2021 193,12 170,52
  • Note : les campagnes commerciales céréalières se déroulent sur une période allant de fin juin à fin juin.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; FranceAgriMer.

Figure 2Le prix des céréales en Bretagne

  • Note : les campagnes commerciales céréalières se déroulent sur une période allant de fin juin à fin juin.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; FranceAgriMer.

Concernant les légumes, lors de la 2020-2021, le prix des choux-fleurs, endives et échalotes traditionnelles progresse, avec des offres inférieures aux moyennes des cinq dernières campagnes. En revanche, la campagne 2021-2022 affiche des prix en recul pour ces légumes. S’agissant des tomates, le prix diminue tandis que le volume augmente par rapport à 2020, à l’inverse des évolutions par rapport aux moyennes quinquennales respectives.

Augmentation du prix du lait, sauf en bio

Entre 2020 et 2021, les quantités de lait livrées par les producteurs bretons faiblissent de 0,5 % (figure 3). La collecte ralentit en raison notamment de prix d’aliments dissuasifs, dans un contexte de baisse structurelle du cheptel laitier. Tiré par les prix des produits laitiers industriels, soutenus par la demande, le prix du lait payé aux producteurs bretons dépasse de 4,7 % celui de 2020 et de 9,6 % le prix moyen 2016-2020 (figure 4). À l’inverse du lait conventionnel, les livraisons de lait bio augmentent et son prix diminue, en raison du déséquilibre entre l’offre croissante et le ralentissement de la consommation de produits laitiers biologiques. Avec une hausse des coûts de production de 9 % en 2021, la marge des éleveurs laitiers s’établit à son plus bas niveau depuis 2016.

Figure 3Prix et livraisons de lait en Bretagne

indice base 100 en 2016
Prix et livraisons de lait en Bretagne (indice base 100 en 2016)
Année Prix moyen à la production Livraisons
2016 100 100
2017 115 103
2018 115 102
2019 121 103
2020 119 102
2021 125 101
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; FranceAgriMer, enquête mensuelle auprès des laiteries.

Figure 3Prix et livraisons de lait en Bretagne

  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; FranceAgriMer, enquête mensuelle auprès des laiteries.

Figure 4Prix des produits animaux

Variations annuelles en %
Prix des produits animaux (Variations annuelles en %)
Produit 2021 2020
Porc charcutier -3,8 -7,2
Lait 4,7 -1,3
Vache de réforme 13,1 0,6
Veau 11,3 -1,1
Poulet standard 9,3 0,0
Œuf de consommation 6,1 -9,5
  • Champ : Porc charcutier, lait et poulet : Bretagne / Vache de réforme : bassin Grand Ouest / Veau : bassin Nord / Œufs de consommation : France.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; FranceAgriMer ; Marché au cadran de Plérin.

Figure 4Prix des produits animaux

  • Champ : Porc charcutier, lait et poulet : Bretagne / Vache de réforme : bassin Grand Ouest / Veau : bassin Nord / Œufs de consommation : France.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; FranceAgriMer ; Marché au cadran de Plérin.

Bovins : hausse inédite des prix et des coûts de production

Le volume de gros bovins abattus en Bretagne décroît de 1,5 % en 2021, du fait d’un repli en jeunes bovins (-5,1 %) et en vaches laitières (-2,2 %).

Dans un contexte de demande soutenue, les cours de l’ensemble des bovins sont tirés à la hausse. Après les restrictions sanitaires du début de l’année (couvre-feux et confinement) conduisant à une fermeture partielle de la restauration hors domicile (RHD), la réouverture progressive de celle-ci en juin entraîne alors une reprise de ce secteur. La cotation de la du bassin Grand Ouest s’accroît ainsi de 13 % en moyenne annuelle (3,12 €/kg) (figure 5).

Figure 5Cours des bovins - Cotations Grand Ouest

en €/kg
Cours des bovins - Cotations Grand Ouest (en €/kg)
mois Vache lait P Jeune bovin viande U
janv. 2016 2,585 3,935
févr. 2016 2,648 3,908
mars 2016 2,734 3,910
avr. 2016 2,723 3,820
mai 2016 2,725 3,720
juin 2016 2,706 3,736
juil. 2016 2,703 3,775
août 2016 2,670 3,818
sept. 2016 2,515 3,795
oct. 2016 2,520 3,790
nov. 2016 2,562 3,836
déc. 2016 2,542 3,930
janv. 2017 2,630 3,938
févr. 2017 2,708 3,933
mars 2017 2,824 3,960
avr. 2017 2,908 3,948
mai 2017 2,938 3,944
juin 2017 2,970 3,963
juil. 2017 2,880 3,973
août 2017 2,948 4,044
sept. 2017 2,935 4,070
oct. 2017 2,900 4,128
nov. 2017 2,840 4,200
déc. 2017 2,670 4,220
janv. 2018 2,706 4,156
févr. 2018 2,750 4,063
mars 2018 2,868 4,070
avr. 2018 2,850 4,010
mai 2018 2,946 3,910
juin 2018 2,950 3,890
juil. 2018 3,017 3,910
août 2018 2,976 3,906
sept. 2018 2,980 3,908
oct. 2018 2,838 3,886
nov. 2018 2,615 3,908
déc. 2018 2,610 3,978
janv. 2019 2,672 4,002
févr. 2019 2,750 4,028
mars 2019 2,802 4,028
avr. 2019 2,817 3,978
mai 2019 2,896 3,964
juin 2019 2,903 3,955
juil. 2019 2,852 3,944
août 2019 2,785 3,993
sept. 2019 2,795 4,010
oct. 2019 2,626 3,974
nov. 2019 2,527 4,023
déc. 2019 2,527 4,075
janv. 2020 2,552 4,068
févr. 2020 2,570 4,025
mars 2020 2,668 3,970
avr. 2020 2,664 3,868
mai 2020 2,805 3,845
juin 2020 2,875 3,847
juil. 2020 2,878 3,852
août 2020 2,878 3,817
sept. 2020 2,882 3,800
oct. 2020 2,862 3,790
nov. 2020 2,765 3,780
déc. 2020 2,736 3,806
janv. 2021 2,770 3,827
févr. 2021 2,802 3,873
mars 2021 2,922 3,976
avr. 2021 2,975 4,020
mai 2021 3,005 3,995
juin 2021 3,102 4,000
juil. 2021 3,173 4,028
août 2021 3,255 4,108
sept. 2021 3,308 4,186
oct. 2021 3,325 4,305
nov. 2021 3,415 4,472
déc. 2021 3,434 4,586
  • Note : Vaches P et Jeunes bovins U : catégories de référence des grilles de cotations.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; FranceAgriMer.

Figure 5Cours des bovins - Cotations Grand Ouest

  • Note : Vaches P et Jeunes bovins U : catégories de référence des grilles de cotations.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; FranceAgriMer.

Concernant les veaux de boucherie, après deux années de crise ayant limité les débouchés, l’offre recule : le volume abattu faiblit de 0,4 % en 2021 et de 4,3 % par rapport à la moyenne des cinq années précédentes. Dans ce contexte, la reprise de la RHD à partir de juin permet la revalorisation des cotations. En moyenne annuelle, le prix du veau du bassin Nord s’affiche à 5,82 €/kg, supérieur de 11,3 % à celui de 2020.

Le coût des aliments pour veaux comme pour gros bovins grimpe jusqu’à des niveaux inédits en fin d’année (figure 6).

Figure 6Coût des aliments en Bretagne, selon l'IPAMPA*

indice base 100 en 2015
Coût des aliments en Bretagne, selon l'IPAMPA* (indice base 100 en 2015)
Année Aliments pour porcins Aliments pour volaille Aliments pour gros bovins Aliments pour veaux
2015 100,0 100,0 100,0 100,0
2016 94,6 96,4 95,5 96,3
2017 94,7 95,8 94,4 99,7
2018 97,8 96,7 96,2 97,3
2019 101,8 99,3 99,1 103,0
2020 102,0 99,3 99,4 106,9
2021 114,0 110,1 110,9 118,7
  • * Indice des prix d’achat des moyens de production agricole.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; Insee.

Figure 6Coût des aliments en Bretagne, selon l'IPAMPA*

  • * Indice des prix d’achat des moyens de production agricole.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; Insee.

Porc : embellie des prix au printemps, chute au second semestre

Le marché du porc subit la forte influence de la demande chinoise. Soutenue au premier semestre, elle se restreint au second, le pays reconstituant son cheptel décimé par la apparue en 2018. Par ailleurs, la levée des restrictions des exportations allemandes vers l’Asie, hors Chine, permet de fluidifier le marché européen au premier semestre. En augmentation de janvier à mai, le prix de base du porc charcutier au marché de Plérin retombe ensuite. À 1,331 €/kg en moyenne annuelle, il se replie de 3,8 % en un an. L’écart par rapport au prix moyen quinquennal par semestre passe de +4,6 % au premier semestre à -6,5 % au second (figure 7). Les éleveurs subissent par ailleurs la forte hausse du coût des aliments et des autres intrants.

Figure 7Prix du porc au cadran de Plérin

en €/kg
Prix du porc au cadran de Plérin (en €/kg) - Lecture : la moyenne mobile centrée sur juillet 2021 (1,331 €/kg) correspond à la moyenne de janvier à décembre 2021.
Mois Série brute Moyenne mobile sur 12 mois
janv. 2016 1,086 1,212
févr. 2016 1,103 1,219
mars 2016 1,116 1,225
avr. 2016 1,125 1,239
mai 2016 1,199 1,246
juin 2016 1,346 1,265
juil. 2016 1,456 1,284
août 2016 1,468 1,304
sept. 2016 1,517 1,327
oct. 2016 1,390 1,353
nov. 2016 1,300 1,388
déc. 2016 1,301 1,412
janv. 2017 1,323 1,424
févr. 2017 1,384 1,426
mars 2017 1,428 1,424
avr. 2017 1,542 1,408
mai 2017 1,490 1,394
juin 2017 1,487 1,384
juil. 2017 1,487 1,373
août 2017 1,442 1,356
sept. 2017 1,326 1,339
oct. 2017 1,221 1,322
nov. 2017 1,181 1,293
déc. 2017 1,163 1,267
janv. 2018 1,117 1,244
févr. 2018 1,185 1,222
mars 2018 1,225 1,205
avr. 2018 1,189 1,200
mai 2018 1,186 1,197
juin 2018 1,205 1,196
juil. 2018 1,220 1,197
août 2018 1,243 1,202
sept. 2018 1,263 1,201
oct. 2018 1,188 1,204
nov. 2018 1,171 1,222
déc. 2018 1,178 1,244
janv. 2019 1,170 1,270
févr. 2019 1,178 1,298
mars 2019 1,253 1,329
avr. 2019 1,404 1,365
mai 2019 1,456 1,407
juin 2019 1,521 1,450
juil. 2019 1,554 1,492
août 2019 1,611 1,521
sept. 2019 1,695 1,547
oct. 2019 1,694 1,572
nov. 2019 1,690 1,579
déc. 2019 1,672 1,571
janv. 2020 1,526 1,557
févr. 2020 1,483 1,536
mars 2020 1,555 1,512
avr. 2020 1,493 1,485
mai 2020 1,362 1,458
juin 2020 1,346 1,423
juil. 2020 1,307 1,384
août 2020 1,318 1,357
sept. 2020 1,377 1,334
oct. 2020 1,362 1,316
nov. 2020 1,277 1,313
déc. 2020 1,201 1,328
janv. 2021 1,201 1,342
févr. 2021 1,215 1,346
mars 2021 1,329 1,348
avr. 2021 1,457 1,342
mai 2021 1,541 1,331
juin 2021 1,516 1,327
juil. 2021 1,358 1,331
août 2021 1,345 1,335
sept. 2021 1,303 1,339
oct. 2021 1,228 1,354
nov. 2021 1,235 nd
déc. 2021 1,247 nd
  • nd : non disponible
  • Lecture : la moyenne mobile centrée sur juillet 2021 (1,331 €/kg) correspond à la moyenne de janvier à décembre 2021.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; Marché au cadran de Plérin.

Figure 7Prix du porc au cadran de Plérin

  • nd : non disponible
  • Lecture : la moyenne mobile centrée sur juillet 2021 (1,331 €/kg) correspond à la moyenne de janvier à décembre 2021.
  • Sources : Agreste, Draaf Bretagne ; Marché au cadran de Plérin.

Filières poulets et œufs de consommation : une progression des prix

Le volume de poulets abattus en Bretagne se réduit de 1,2 % en un an, mais dépasse la moyenne quinquennale. Pour la filière dindes, le volume chute de 14 % en un an et de 18 % comparé à la moyenne 2016-2020. La reprise de la RHD en juin booste la consommation de poulets, faisant croître les importations. Dans la filière intégrée, la hausse du coût de l’aliment est répercutée sur les prix des marchés, qui augmentent en France de 7,1 % pour le poulet standard et de 6,5 % pour la dinde.

En 2021, la production française d’œufs de consommation dépasse de 3,7 % celle de l’an passé et de 6,8 % la moyenne quinquennale. La production issue des modes d’élevage alternatifs (biologique, plein air ou au sol) progresse de 13 %, mais le marché du bio fait face à une crise de surproduction. Le prix des œufs augmente après trois années de baisse. En moyenne annuelle, les cotations progressent de 5,9 % pour l’œuf coquille et de 16,5 % pour l’œuf industrie.

Publication rédigée par :Linda Deschamps (Direction régionale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt de Bretagne)

Désigne la saison de la production concernée.

Catégorie de référence de la grille de cotation.

Maladie animale touchant exclusivement les porcs domestiques et les sangliers.

Désigne la saison de la production concernée.

Catégorie de référence de la grille de cotation.

Maladie animale touchant exclusivement les porcs domestiques et les sangliers.