Bilan économique 2014 en Franche-Comté

Dans un contexte d'accélération de l'activité mondiale et de reprise timide de l'activité dans la zone euro, l'économie française progresse faiblement en 2014 après le rythme plus soutenu de 2013. L'activité française présente quelques signes de reprise à la faveur d'un rebond du pouvoir d'achat et d'une légère croissance de l'emploi total. En Franche-Comté, ces signes se font attendre dans la mesure où la plupart des indicateurs de l'économie franc-comtoise restent orientés à la baisse en 2014.

Insee Conjoncture Franche-Comté
Paru le :Paru le29/05/2015
Jérôme Bourgeois, Insee Franche-Comté
Insee Conjoncture Franche-Comté- Mai 2015
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Démographie d’entreprises - Moins de créations d’entreprises malgré un rebond dans l’industrie

Jérôme Bourgeois, Insee Franche-Comté

En 2014, 7 000 entreprises ont été créées en Franche-Comté, soit une baisse de 3,2 % par rapport à 2013. Ce fléchissement du nombre de créations concerne tous les types d’entreprises. Sur l'ensemble des créations franc-comtoises, seul le secteur de l’industrie enregistre une hausse (+ 11,3 %). Les défaillances d’entreprises repartent à la baisse en 2014 : 1 000 entreprises ont déposé le bilan, soit un repli de 5,6 % par rapport à l’année 2013.

Insee Conjoncture Franche-Comté

No 5

Paru le :29/05/2015

En 2014, 7 007 entreprises ont été créées en Franche-Comté dans l'ensemble des activités marchandes non agricoles : 1 644 entreprises individuelles hors auto-entreprises, 3 687 auto-entreprises et 1 676 sociétés. En 2014, le nombre de créations d'entreprises diminue en Franche-Comté alors qu’il progresse en moyenne en France métropolitaine (– 3,2 % contre + 2,6 %) (figure 1). Il fluctue entre 7 000 et 7 500 depuis 2011, après le pic entraîné par la mise en place en 2009 du régime de l’auto-entrepreneur.

Baisse du nombre de créations quelque soit le type d’entreprise

Après avoir chuté de 17,8 % en 2013, les immatriculations d’auto-entreprises franc-comtoises se replient une nouvelle fois en 2014 (– 2,8 %), au contraire de l’évolution nationale qui redevient positive (+ 3,5 %). Les modifications successives apportées en 2013 et 2014 au régime de l’auto-entrepreneur, requalifié micro-entrepreneur à compter du 19 décembre 2014 suite à la loi Pinel, ont pesé sur l’évolution des demandes d’immatriculations.

Après la très forte hausse enregistrée en 2013 (+ 57 %), le nombre de créations d’entreprises individuelles hors auto-entreprises diminue de 6,0 % en 2014, alors qu’au niveau national la baisse est plus modérée (– 2,9 %).

Le nombre de créations sous forme sociétaire diminue aussi dans la région, alors qu’il est en augmentation au niveau national (– 1,1 % contre + 4,4 %).

La répartition par type de ces nouvelles entreprises franc-comtoises reste stable : 53 % d’auto-entreprises, 23 % d’entreprises individuelles et 24 % sous la forme de sociétés. En matière de créations d’entreprises, les entreprises individuelles représentent en Franche-Comté une part plus importante qu’en France métropolitaine (+ 5,6 points). À l’inverse le poids des sociétés est plus faible – 6,0 points) (figure 3).

Recul dans tous les secteurs sauf dans l’industrie

En 2014, le secteur du « commerce, transport, hébergement et restauration » regroupe 30,7 % des créations d’entreprises franc-comtoises, les services aux particuliers 24,1 %, les services aux entreprises 23,8 %, la construction 13,9 % et l’industrie 7,5 % (figure 4).

Sur l'ensemble de ces créations, seul le secteur de l’industrie enregistre une forte hausse en 2014 (+ 11,3 %). Les secteurs des services aux particuliers et des services aux entreprises reculent, respectivement de 2,8 % et 1,9 %. Le secteur du commerce, transport, hébergement et restauration et celui de la construction présentent les plus fortes baisses (respectivement – 5,2 % et – 7,9 %).

En auto-entreprenariat, le nombre de créations se replie dans tous les secteurs, excepté dans l’industrie (+ 21,7 %). Les créations d'entreprises individuelles hors auto-entreprises baissent fortement dans les secteurs de la construction (– 16,7 %) et du commerce, transport, hébergement et restauration (– 19,5 %). À l’inverse, elles progressent fortement dans le secteur des services aux entreprises (+ 16,0 %). Quant aux créations de sociétés, leur nombre augmente dans l’industrie (+ 10,2 %) et recule dans les secteurs des services aux entreprises, de la construction et des services aux particuliers.

Aucun département franc-comtois n’échappe à la baisse

Le nombre de créations d’entreprises diminue en 2014 dans tous les départements francs-comtois, hormis en Haute-Saône où il reste stable. Cette diminution touche principalement les départements du Jura (– 6,0 %) et du Territoire de Belfort (– 7,7 %). Dans le département du Doubs, le fléchissement est plus modéré (– 1,8 %).

Dans les départements de la Haute-Saône, du Jura et du Territoire de Belfort, la création d’entreprises est particulièrement dynamique dans le secteur de l’industrie avec respectivement une progression de 34,2 %, 26,6 % et 17,0 %. Le Doubs est le seul département où le nombre de nouvelles entreprises dans l’industrie diminue (– 6,8 %).

Recul des défaillances d’entreprises

En 2014, 1 005 entreprises franc-comtoises sont placées en redressement ou en liquidation judiciaire. Sur un an, le nombre de défaillances d’entreprises recule nettement dans la région (– 5,6 %) alors qu’il reste stable en France métropolitaine (– 0,7 %) (figure 2). Le secteur agricole et celui de l’industrie font exception, en progressant respectivement de 9,4 % et de 1,0 % (figure 5).

Cette baisse du nombre de défaillances concerne principalement les départements du Doubs (– 11,0 %) et du Territoire de Belfort (– 23,1 %). À l’inverse, le nombre de défaillances augmente dans le Jura (+ 1,7 %) et beaucoup plus fortement en Haute-Saône (+ 23,1 %).

Figure 1Créations d'entreprises par département

en %
Créations d'entreprises par département (en %)
Sociétés Entreprises individuelles hors auto-entreprises Régime d'auto-entrepreneur Ensemble
Évolution 2014/2013 Évolution 2014/2013 Évolution 2014/2013 Créations en 2014 (nombre) Évolution 2014/2013
Doubs 2,8 -9,4 -0,4 3 364 -1,8
Jura -9,3 2,6 -8,3 1 544 -6,0
Haute-Saône -2,3 -7,7 5,0 1 273 0,0
Territoirede Belfort 0,4 -5,9 -12,6 826 -7,7
Franche-Comté -1,1 -6,0 -2,8 7 007 -3,2
France métropolitaine 4,4 -2,9 3,5 534 454 2,6
  • Note : données brutes.
  • Champ : ensemble des activités marchandes non agricoles.
  • Source : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene).

Figure 2Défaillances d'entreprises par département

Défaillances d'entreprises par département
Défaillances 2014 (nombre) Évolution 2014/2013 (%)
Doubs 438 -11,0
Jura 235 1,7
Haute-Saône 212 14,0
Territoirede Belfort 120 -23,1
Franche-Comté 1 005 -5,6
France métropolitaine 60 548 -0,7
  • Note : données brutes, en date de jugement.
  • Source : Banque de France, Fiben (extraction du 9/2/15).

Figure 3Créations d'entreprises dans la région Franche-Comté

Créations d'entreprises dans la région Franche-Comté
Sociétés Entreprises individuelles hors auto-entreprises Auto-entreprises
2009 1530 1507 4933
2010 1741 1407 5557
2011 1860 1219 3932
2012 1687 1116 4612
2013 1694 1749 3792
2014 1676 1644 3687
  • Note : nombre de créations brutes.
  • Champ : ensemble des activités marchandes non agricoles.
  • Source : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene).

Figure 3Créations d'entreprises dans la région Franche-Comté

  • Note : nombre de créations brutes.
  • Champ : ensemble des activités marchandes non agricoles.
  • Source : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene).

Figure 4Évolution annuelle du nombre de créations d'entreprises entre 2013 et 2014 dans la région Franche-Comté

en %
Évolution annuelle du nombre de créations d'entreprises entre 2013 et 2014 dans la région Franche-Comté (en %)
Sociétés Entreprises individuelles hors auto-entreprises Auto-entreprises Ensemble
Ensemble -1,062573789846517 -6,003430531732419 -2,768987341772152 -3,151347615756738
Industrie 10,185185185185185 -4,25531914893617 21,71945701357466 11,27659574468085
Construction -1,408450704225352 -16,711590296495956 -4,239401496259352 -7,859848484848484
Commerce, |Transport, |Hébergement, |Restauration 0,16051364365971107 -19,495412844036696 -2,8075970272502064 -5,1982378854625555
Services |aux entreprises -1,3333333333333333 16,03053435114504 -7,3224043715847 -1,8801410105757932
Services |aux particuliers -12,337662337662337 1,1131725417439704 -3,3524904214559386 -2,763385146804836
  • Note : données brutes.
  • Champ : ensemble des activités marchandes non agricoles.
  • Source : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene).

Figure 4Évolution annuelle du nombre de créations d'entreprises entre 2013 et 2014 dans la région Franche-Comté

  • Note : données brutes.
  • Champ : ensemble des activités marchandes non agricoles.
  • Source : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene).

Figure 5Évolution annuelle des défaillances d'entreprises selon le secteur d'activité entre 2013 et 2014 dans la région Franche-Comté

en %
Évolution annuelle des défaillances d'entreprises selon le secteur d'activité entre 2013 et 2014 dans la région Franche-Comté (en %)
Franche-Comté France Métropolitaine
Ensemble (1) -5,633802816901408 -0,7084289931124959
Industrie 1,0309278350515463 -2,59768609473914
Construction -10,294117647058824 1,3261039979095897
Commerce, |Transport, |Hébergement, |Restauration -1,9559902200488997 -1,0277226012609033
Services |aux entreprises -7,317073170731708 -1,8606284009127612
Services |aux particuliers (2) -16,666666666666668 -2,4956471271038887
  • (1) : y compris agriculture.
  • (2) : hors administration publique, activités des ménages en tant qu'employeurs et activités extra-territoriales.
  • Note : données brutes, en date de jugement.
  • Source : Banque de France, Fiben (extraction du 9/2/15).

Figure 5Évolution annuelle des défaillances d'entreprises selon le secteur d'activité entre 2013 et 2014 dans la région Franche-Comté

  • (1) : y compris agriculture.
  • (2) : hors administration publique, activités des ménages en tant qu'employeurs et activités extra-territoriales.
  • Note : données brutes, en date de jugement.
  • Source : Banque de France, Fiben (extraction du 9/2/15).

Sources

Les données chiffrées sont parfois arrondies (selon les règles mathématiques). Le résultat arrondi d'une combinaison de données chiffrées (qui fait intervenir leurs valeurs réelles) peut se trouver légèrement différent de celui que donnerait la combinaison de leurs valeurs arrondies.

Définitions

Création d'entreprise / Réactivation d'entreprise :

Une création d'entreprise correspond à la mise en œuvre d'une nouvelle combinaison de facteurs de production avec pour restriction qu'aucune autre entreprise ne soit impliquée dans cet évènement.

Les créations d’entreprises sont en fait des créations d’unités légales. On parle néanmoins de créations d’entreprises en raison de la spécificité de la situation au moment de la création. En effet, au moment de son immatriculation, il n’est pas possible de déterminer si une unité légale est indépendante ou appartient à un groupe. Par défaut, au moment de la création, toute entité est donc indépendante et considérée comme une entreprise.

La statistique mensuelle des créations d'entreprises est constituée à partir du dispositif SIDE (Système d’information sur la démographie d’entreprises). Ce dispositif est alimenté à partir de données du répertoire Sirene, enrichies d’éléments provenant du répertoire statistique Sirus.

Les créations d'entreprises correspondent aux unités légales du répertoire Sirene qui enregistrent un début d'activité relevant de l'un des cas suivants :

  • l'immatriculation d'une nouvelle unité légale avec création d'une nouvelle combinaison de facteurs de production ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de plus d'un an (il n'y a pas de nouvelle immatriculation mais reprise de l'ancien numéro Siren, en général pour un entrepreneur individuel) ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de moins d'un an, mais avec changement d'activité ;
  • la reprise par une unité légale nouvellement immatriculée de tout ou partie des activités et facteurs de production d'une autre unité légale, lorsqu'il n'y a pas de continuité économique entre la situation du cédant et celle du repreneur.

On considère qu'il n'y a pas continuité économique de l'unité légale si, parmi les trois éléments suivants concernant son siège, au moins deux sont modifiés lors de la reprise : l'unité légale contrôlant l'établissement siège, l'activité économique et la localisation.

Depuis les données relatives à janvier 2009, à la suite de la mise en place du régime de l'auto-entrepreneur (renommé micro-entrepreneur, à compter du 19 décembre 2014), les statistiques de créations d'entreprises incluent les demandes de créations enregistrées dans Sirene au titre de ce régime. Ce dénombrement n'inclut pas les entrepreneurs déjà en activité avant le 1er janvier 2009 et qui avaient demandé, à titre dérogatoire au plus tard le 31 mars 2009, à bénéficier du régime micro-social et du versement fiscal libératoire en 2009.

La statistique de créations d'entreprises couvre l'ensemble des activités marchandes hors agriculture.

Remarque :

Depuis le 1er janvier 2007, la notion de création d'entreprise s'appuie sur un concept harmonisé au niveau européen pour faciliter les comparaisons.


Cessation d'entreprise :

Il s'agit de l'arrêt total de l'activité économique de l'entreprise.

Il ne faut pas confondre la notion de défaillance avec la notion plus large de cessation. Les liquidations qui font suite à une défaillance ne représentent qu'une partie, variable avec le temps et le secteur d'activité, de l'ensemble des cessations.

Défaillance d'entreprise :

Une unité légale est en situation de défaillance ou de dépôt de bilan à partir du moment où une procédure de redressement judiciaire est ouverte à son encontre.

Cette procédure intervient lorsqu'une unité légale est en état de cessation de paiement, c'est-à-dire qu'elle n'est plus en mesure de faire face à son passif exigible avec son actif disponible.

Remarque :

Il ne faut pas confondre la notion de défaillance et la notion de cessation. La notion de cessation correspond à l'arrêt total de l'activité économique d'une entreprise. Toutes les défaillances ne donnent pas des cessations. Par exemple, un jugement d'ouverture de procédure de défaillance (dépôt de bilan d'une entreprise inscrite dans le cadre d'une procédure judiciaire) ne se résout pas forcement par une liquidation.

Toutes les cessations n'ont pas donné lieu à une défaillance. Par exemple, un entrepreneur individuel peut cesser son activité suite à un départ en retraite.

Micro-entrepreneur :

Un micro-entrepreneur bénéficie du régime de même nom (appelé auto-entrepreneur jusque 2014), qui offre des formalités de création d'entreprise allégées et un mode de calcul et de paiement simplifié des cotisations sociales et de l'impôt sur le revenu. Il s’applique aux entrepreneurs individuels qui en font la demande, sous certaines conditions.

Le micro-entrepreneur bénéficie ainsi notamment :

– du régime fiscal de la micro-entreprise ;

– du régime micro-social ;

– d'une exonération ou d’une franchise de TVA.

Le régime peut concerner des activités commerciales, artisanales ou libérales, à titre principal ou complémentaire.

Sont exclus du régime :

– les activités rattachées à la Mutualité sociale agricole (MSA) ;

– les professions libérales réglementées ne relevant pas de la caisse de retraite de la Cipav (professions juridiques et judiciaires, professions de santé, experts comptables, agents généraux d’assurance...) ;

– les activités relevant de la TVA immobilière (opérations des marchands de biens, lotisseurs, agents immobiliers…);

– les activités artistiques relevant de la Maison des artistes ou de l’association Agessa ;

– les activités de dirigeant majoritaire d’une entreprise ;

– le cumul avec une activité de travailleur indépendant non salarié déjà immatriculé et relevant de la Sécurité sociale des indépendants.

Le régime de l’auto-entrepreneur a été initialement créé par la loi de modernisation de l'économie (LME) n°2008-776 du 4 août 2008 et est entré en vigueur au 1er janvier 2009.

La loi Pinel du 18 juin 2014 l’a transformé en régime du micro-entrepreneur à partir du 19 décembre 2014. Elle lui a imposé de nouvelles obligations comme l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés (RCS) pour les commerçants ou au répertoire des métiers (RM) pour les artisans. Elle a également mis fin à l’exonération de la taxe pour frais de chambre consulaire et exigé le paiement de la cotisation foncière des entreprises dès la deuxième année d’activité et non plus à partir de la quatrième année. Elle a aussi prévu la fusion du régime fiscal de la micro-entreprise et du régime micro-social à partir du 1er janvier 2016.

Ainsi, depuis cette date, les entrepreneurs individuels relevant du régime fiscal de la micro-entreprise sont automatiquement soumis au régime micro-social.

Depuis le 1er janvier 2023, les seuils de chiffre d’affaires permettant l’accès au régime fiscal de la micro-entreprise et du régime micro-social ont été doublés. Ils s’appliquent désormais aux entreprises dont le chiffre d’affaires de l’année civile précédente ou de l’avant-dernière année n’excède pas :

- 188 700 euros pour une activité de vente de marchandises, d'objets, d'aliments à emporter ou à consommer sur place, ou de fourniture de logement ;

- 77 700 euros pour une activité de prestations de services ou une profession libérale.

Ce régime doit être distingué de la catégorie des microentreprises définie par l’article 51 de la loi de modernisation de l’économie (LME) et précisée par le décret n° 2008-1354.

Remarque :
  • Depuis janvier 2011, le micro-entrepreneur peut bénéficier du statut de l'entrepreneur individuel à responsabilité limitée (EIRL) en affectant à son activité professionnelle un patrimoine spécifique séparé de son patrimoine personnel. Il conserve toutefois le régime fiscal et social forfaitaire lié au régime de la micro-entreprise.
  • Ce régime doit être distingué à la fois du régime micro-fiscal (dit parfois régime fiscal de la micro-entreprise) ainsi que de la catégorie des microentreprises définie par l'article 51 de la loi de modernisation de l'économie (LME) et précisée par le décret n° 2008-1354.

Pour en savoir plus

Stéphane Adrover, « Un tiers des établissements de Bourgogne Franche-Comté se renouvelle chaque année », Insee Analyses Franche-Comté n° 9, mai 2015