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Insee Flash Guadeloupe · Juin 2023 · n° 186
Insee Flash GuadeloupeEn 2022, la moitié des Guadeloupéens en âge de travailler ont un emploi

Matthieu Cornut, Eric Mével (Insee)

En Guadeloupe, le taux d’emploi reste relativement stable et s’établit à 51 % en 2022 tandis que l’emploi des seniors est en net recul. Trois quarts des personnes en emploi travaillent dans le secteur tertiaire. Le chômage augmente par rapport à l’année précédente avec 19 % des actifs sans emploi en 2022 pendant que le halo autour du chômage reste stable (11 %). Parmi les personnes de 53 à 69 ans, 20 % des femmes et 16 % des hommes ne sont ni en emploi, ni en retraite, ni en préretraite.

Insee Flash Guadeloupe
No 186
Paru le :Paru le28/06/2023

La moitié des Guadeloupéens de 15 à 64 ans sont en emploi

En 2022, le nombre d’emplois diminue de 3,1 % en Guadeloupe par rapport à 2021. Ainsi, 117 300 actifs de 15 à 64 ans sont en . Le taux d’emploi des personnes de 15 à 64 ans reste relativement stable par rapport à 2021 pour s’établir à 51 % (figure 1), celui des femmes (49 %) reste inférieur de 4 points à celui des hommes. En France métropolitaine, le taux d’emploi progresse pour atteindre 69 %, soit 18 points de plus qu’en Guadeloupe. Le taux d’emploi est de 57 % en Martinique et de 42 % en Guyane. L’emploi des séniors est en net recul : parmi les personnes de 50 à 64 ans, 54 % sont en emploi, soit 6 points de moins qu’en 2021. L’écart avec la France métropolitaine reste toutefois plus faible pour cette tranche d’âge que pour les moins de 50 ans.

Deux tiers des personnes de 30 à 49 ans sont en emploi en Guadeloupe. Si le taux d’emploi pour cette classe d’âge progresse (+3 points par rapport à 2021), il reste inférieur de 18 points au taux métropolitain. Le taux d’emploi des jeunes (15 à 29 ans), est beaucoup plus faible que sur le reste du territoire national : seuls 26 % d’entre eux sont en emploi contre 49 % en France métropolitaine. Ce faible taux d’emploi peut s’expliquer par le fait qu’une partie d’entre eux (54 %) n’ont pas encore achevé leur formation initiale. Cependant, en 2022, 22 % des jeunes ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (). Les jeunes Guadeloupéens sont deux fois plus souvent dans cette situation que les jeunes résidant en France métropolitaine.

Au-delà du contexte du marché local du travail, le fait d’être en emploi est corrélé avec le niveau de formation. En particulier, l’insertion sur le marché de l’emploi est particulièrement difficile pour les personnes n’ayant pas dépassé le niveau du brevet des collèges : seules 28 % d’entre elles sont en emploi en Guadeloupe, contre 32 % l’année précédente. Le taux d’emploi des personnes titulaires d'un diplôme de niveau baccalauréat ou brevet professionnel (55 %) et des personnes titulaires d'un diplôme de niveau CAP/BEP (54 %) baisse également légèrement. La situation est meilleure pour les personnes titulaires d'un diplôme de l'enseignement supérieur. Avec un taux d'emploi de 83 % (+2 points par rapport à 2021), ils travaillent aussi souvent qu'en France métropolitaine (85 %).

Figure 1Taux d’emploi par âge, par sexe et par niveau de diplôme

(en %)
Taux d’emploi par âge, par sexe et par niveau de diplôme ((en %)) - Lecture : en 2022, 54 % des hommes âgées de 15 à 64 ans sont en emploi en Guadeloupe.
Caractéristiques Guadeloupe France métropolitaine
2021 2022 2021 2022
Ensemble 52 51 68 69
Hommes 54 53 71 71
Femmes 50 49 65 66
De 15 à 29 ans 25 26 47 49
De 30 à 49 ans 63 66 82 84
De 50 à 64 ans 60 54 66 66
Diplôme de niveau bac + 2 et supérieur 81 83 84 85
Baccalauréat ou brevet professionnel ou autre diplôme de ce niveau 56 55 66 67
CAP, BEP ou autre diplôme de ce niveau 57 54 70 71
Aucun diplôme, certificat d'études primaires ou brevet des collèges 32 28 38 39
  • Lecture : en 2022, 54 % des hommes âgées de 15 à 64 ans sont en emploi en Guadeloupe.
  • Champ : personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 64 ans.
  • Source : Insee, enquête emploi en continu.

Un travailleur sur dix est en sous-emploi

En Guadeloupe, 18 % des personnes en emploi travaillent à temps partiel, autant qu’en France métropolitaine. Les femmes sont deux fois plus souvent en temps partiel que les hommes. Certaines personnes à temps partiel souhaitent travailler plus, elles sont alors considérées en sous-emploi, tout comme les personnes en période de chômage technique ou partiel. En 2022, le sous-emploi baisse en Guadeloupe et concerne 11 % des personnes en emploi. Cette proportion reste toutefois deux fois plus importante qu’en France métropolitaine où le taux baisse également. En Guadeloupe comme en France métropolitaine, le sous-emploi concerne deux fois plus souvent les femmes que les hommes. Il touche toutes les classes d’âges dans des proportions proches, de 10 % pour les 30 à 49 ans à 12 % pour les 50 à 64 ans.

Le secteur des services est le principal pourvoyeur d’emplois en Guadeloupe

Comme dans l’ensemble du pays, trois quarts des personnes en emploi travaillent dans le secteur tertiaire. L’administration publique, l’enseignement, la santé humaine et l’action sociale emploient 36 % des actifs occupés. Cette part est plus importante qu’en France métropolitaine (30 %). Le commerce, les transports, l’hébergement et la restauration, qui font partie des services marchands, emploient 22 % des actifs occupés en Guadeloupe, comme en France métropolitaine. En Guadeloupe, un tiers des personnes ayant un travail sont des employés, contre un quart en France métropolitaine. La part des ouvriers (18 %) et des professions intermédiaires (25 %) dans l’emploi en Guadeloupe est proche du niveau observé en France métropolitaine. En revanche, la part des cadres et des professions intellectuelles supérieures (12 %) est deux fois moins importante.

Le chômage augmente, le halo autour du chômage reste stable

La population active regroupe les personnes en emploi et les personnes au . En Guadeloupe, le des personnes de 15 à 64 ans est stable par rapport à 2021 (63 %). Il est de 65 % pour les hommes et 61 % pour les femmes. En France métropolitaine, il augmente d’un point et s’établit à 74 %.

En 2022, 19 % de la population active est au chômage en Guadeloupe, soit 2 points de plus qu’en 2021 (figure 2). Le chômage en Guadeloupe est supérieur de 7 points à la Martinique et deux fois et demi plus élevé qu’en France métropolitaine. Il touche davantage les personnes faiblement diplômées : 27 % des actifs ayant un niveau scolaire ne dépassant pas le brevet des collèges sont au chômage, contre seulement 8 % des actifs titulaires d’un diplôme de l’enseignement supérieur. Comme au niveau national, les jeunes sont particulièrement touchés par le chômage, mais dans des proportions encore plus importantes : un tiers des actifs âgés de moins de 30 ans en Guadeloupe sont au chômage. Le chômage de longue durée augmente de 2 points par rapport à l’année précédente : en Guadeloupe, 12 % des actifs sont au chômage depuis au moins un an.

Figure 2Taux de chômage par âge, par sexe et par niveau de diplôme

(en %)
Taux de chômage par âge, par sexe et par niveau de diplôme ((en %)) - Lecture : en 2022, 17 % des hommes actifs en Guadeloupe sont au chômage.
Caractéristiques Guadeloupe France métropolitaine
2021 2022 2021 2022
Ensemble 17 19 8 7
Hommes 17 17 8 7
Femmes 17 20 8 7
De 15 à 29 ans 35 34 14 13
De 30 à 49 ans 18 18 6 6
50 ans et plus 10 13 6 5
Diplôme de niveau bac + 2 et supérieur 10 8 5 5
Baccalauréat ou brevet professionnel ou autre diplôme de ce niveau 21 21 9 8
CAP, BEP ou autre diplôme de ce niveau 17 22 8 7
Aucun diplôme, certificat d'études primaires ou brevet des collèges 22 27 14 13
  • Lecture : en 2022, 17 % des hommes actifs en Guadeloupe sont au chômage.
  • Champ : personnes vivant en logement ordinaire, actives, âgées de 15 ans ou plus.
  • Source : Insee, enquête emploi en continu.

La population inactive comprend au sens du BIT les personnes qui ne sont ni en emploi, ni au chômage. Dans cette population inactive, certaines personnes souhaitent un emploi mais ne sont pas comptabilisées dans le chômage, soit parce qu’elles ne cherchent pas d’emploi, soit parce qu’elles ne sont pas disponibles pour en prendre un. Elles se trouvent à la frontière du chômage et en constituent le . En 2022, le halo autour du chômage concerne 11 % de la population de 15 à 64 ans résidant en Guadeloupe (figure 3). Si ce taux est stable par rapport à 2021, il reste 3 fois plus important qu’en France métropolitaine (4 %). La majorité (87 %) des personnes dans le halo autour du chômage ne recherchent pas activement un emploi.

En Guadeloupe, trois quarts de la population inactive de 15 à 64 ans ne souhaite pas d’emploi pour diverses raisons. Parmi les personnes inactives ne souhaitant pas un emploi, la moitié sont encore en études ou en formation. D’autres évoquent des problèmes de santé (25 %) ou le fait d’avoir déjà pris sa retraite ou d’en être proche (12 %). Les femmes sont les seules à invoquer la garde d’un enfant ou d’un proche (8 %).

Figure 3Part du halo autour du chômage

(en %)
Part du halo autour du chômage ((en %)) - Lecture : en 2022, 20 % des hommes âgées de 15 à 64 ans en Guadeloupe sont au chômage ou dans le halo autour du chômage.
Caractéristiques Part du halo autour du chômage Part du chômage et du halo autour du chômage
Guadeloupe France métropolitaine Guadeloupe France métropolitaine
2021 2022 2022 2021 2022 2022
Ensemble 11 11 4 22 23 9
Hommes 9 8 4 20 20 9
Femmes 12 13 5 23 25 10
De 15 à 29 ans 8 8 6 21 22 13
De 30 à 49 ans 14 12 4 27 26 9
De 50 à 64 ans 10 12 3 17 20 6
  • Lecture : en 2022, 20 % des hommes âgées de 15 à 64 ans en Guadeloupe sont au chômage ou dans le halo autour du chômage.
  • Champ : personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 64 ans.
  • Source : Insee, enquête emploi en continu.

Encadré - Les femmes de 53 à 69 ans sont plus souvent en situation de Nerp que les hommes

En Guadeloupe, en 2022, 18 % des personnes de 53 à 69 ans ne sont ni en emploi, ni en retraite, ni en préretraite (Nerp). Les femmes (20 %) sont plus souvent en situation de Nerp que les hommes (16 %). Les personnes de 53 à 69 ans peu diplômées sont les plus concernées : un quart d’entre elles sont en situation de Nerp, contre seulement 5 % pour les personnes titulaires d’un diplôme de niveau bac+2 ou plus. La majorité des seniors qui ne travaillent pas ni ne touchent de retraite (84 %) sont en dehors du chômage et de son halo. Ils ne souhaitent pas travailler car ils sont souvent proches de la retraite ou ont des problèmes de santé. Le reste d’entre eux sont dans le halo autour du chômage (11 %) ou au chômage (5 %). Sous certaines conditions, des minima sociaux ou des allocations peuvent être versés permettant d’avoir un minimum de ressources destiné à compenser l’absence de revenus d'activité. En Guadeloupe, pour les personnes en situation de Nerp, le revenu de solidarité active (RSA) est l’aide la plus courante (16 %). Il assure aux personnes sans ressources un niveau minimum de revenu qui varie selon la composition du foyer. Une allocation chômage est également versée à 8 % des Nerp. Certains adultes atteints d’un handicap peuvent aussi prétendre à l’allocation aux adultes handicapés (AAH). Cette aide est versée aux adultes ayant un taux d’incapacité fixé au minimum à 50 % : en Guadeloupe, 6 % des Nerp perçoivent l’AAH.

Publication rédigée par :Matthieu Cornut, Eric Mével (Insee)

Sources

L’enquête Emploi en Continu (EEC) est la seule source fournissant une mesure des concepts d’activité, chômage, emploi et inactivité tels qu’ils sont définis par le Bureau International du Travail (BIT). Elle a lieu en continu toutes les semaines de l’année en France métropolitaine, mais également depuis le 1er janvier 2014, dans les départements d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion), à l’exception de Mayotte.

La mesure de la précision des statistiques issues de cette enquête constitue un enjeu majeur, afin de permettre une interprétation juste et complète des différents résultats de l’Enquête Emploi en Continu. Dans les régions d’outre-mer, le annuel au sens du BIT est calculé avec une précision à 95 % de ± 1,5 point.

Le niveau et la structure de l’emploi fournis par l’enquête Emploi peuvent différer de ceux obtenus à partir des sources administratives (Estimations d’emploi).

En 2021, l’enquête Emploi a connu une refonte majeure. Son questionnaire a été rénové afin, d’une part, de se conformer au nouveau règlement européen sur les statistiques sociales qui l’encadre et, d’autre part, de mieux répondre aux besoins de ses utilisateurs et aux nouveaux enjeux du marché du travail. Son protocole de collecte a également été modernisé (possibilité de répondre par Internet en réinterrogation) et sa méthode de pondération revue. Pour plus d’informations sur la refonte et son impact sur les principaux indicateurs issus de l’enquête, voir l’Insee Analyses n° 65 (2021).

Définitions

Emploi (au sens du Bureau International du Travail (BIT)) :

Une personne en emploi au sens du Bureau International du Travail (BIT) est une personne de 15 ans ou plus ayant effectué au moins une heure de travail rémunéré au cours d’une semaine donnée ou absente de son emploi sous certaines conditions de motif (congés annuels, maladie, maternité,etc.) et de durée.

Toutes les formes d’emploi sont couvertes (salariés, à son compte, aide familial), que l’emploi soit déclaré ou non.

Les personnes qui déclarent avoir un emploi dont elles sont absentes sont classées en emploi si elles sont absentes pour congés rémunérés, maladie, maternité / paternité, congé parental de trois mois ou moins ou avec perception d’un revenu compensatoire lié à l’activité tel que la Prepare, aménagement du temps de travail, formation autorisée par l’employeur, période de morte saison dans le cadre d’une activité saisonnière en cas de travaux réguliers dans le cadre de cette activité saisonnière, chômage partiel (ou technique ou intempérie), autre raison d’absence d’une durée de trois mois ou moins.

NEET (neither in employment nor in education or training) : personne qui n’est ni en emploi, ni en études, ni en formation ( ou ).

Chômeur :

Un chômeur est une personne qui n'a pas d'emploi et qui en recherche un. La définition des chômeurs est extrêmement sensible aux critères retenus. La définition la plus couramment utilisée est celle « au sens du BIT ». Elle permet d'effectuer des comparaisons internationales.

Taux d'activité :

Le taux d’activité est le rapport entre le nombre d’actifs et l’ensemble de la population correspondante. Il peut être calculé sur l’ensemble de la population d’un pays, mais on se limite le plus souvent à la population âgée de 15 à 64 ans, ou à une sous‑catégorie de la population (femmes de 25 à 29 ans par exemple).

Halo autour du chômage :

Le halo autour du chômage est composé de personnes sans emploi qui, soit recherchent un emploi mais ne sont pas disponibles dans les deux semaines pour travailler, soit n’ont pas effectué de démarche active de recherche d’emploi dans le mois précédent mais souhaitent travailler, qu’elles soient disponibles ou non.

Le halo regroupe donc les personnes inactives au sens du BIT (ni en emploi, ni au chômage), mais proches du marché du travail.

Taux de chômage (BIT) :

Le taux de chômage est le rapport entre le nombre de chômeurs et le nombre d’actifs (en emploi ou au chômage).

Formation formelle :

Une formation formelle est une formation qui à la fois :

  • présente un apprentissage graduel hiérarchisé par niveaux ;
  • exige des prérequis pour l'admission ;
  • dure au moins un semestre (ou 30 European Credits Transfer Scale) ;
  • et a un programme reconnu par le système éducatif national (ou une autorité équivalente).

Tels sont les critères de la " Classification of learning activities " (CLA) 2016 pour déterminer si une formation est formelle ou non formelle.

D’une manière générale, en France, les formations du système éducatif (éducation nationale et enseignement supérieur) sont classées comme formelles, notamment lorsqu’elles mènent à un diplôme ou préparent à un concours (par exemple, les classes préparatoires aux grandes écoles). Les formations menant à des certifications professionnelles ou titres inscrits au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) sont considérées comme formelles si elles durent au moins un semestre et si le diplôme / titre auquel elles préparent peut être classé à un niveau donné. Ainsi, les formations d’au moins un semestre préparant à un concours sont classées comme formelles, contrairement par exemple aux formations qui mènent aux certificats de qualification professionnelle (CQP) qui ne sont pas classés à un niveau de formation donné, au permis de conduire, au Brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur (Bafa), au Certificat d'aptitude à la conduite en sécurité (Caces), qui ne sont pas classées comme formelles.

Formation non formelle :

Une formation est dite non formelle si l'une des conditions suivantes n'est pas remplie :

  • présente un apprentissage graduel hiérarchisé par niveaux ;
  • exige des prérequis pour l’admission ;
  • dure au moins un semestre (ou 30 European Credits Transfer Scale) ;
  • a un programme reconnu par le système éducatif national (ou autorité équivalente).

Tels sont les critères de la " Classification of learning activities " (CLA) 2016 pour déterminer si une formation est formelle ou non formelle.

D'une manière générale, en France, les formations sont considérées comme non formelles si elles ne conduisent pas à un diplôme ou à un titre reconnu, ou ne peuvent pas être classées à un niveau de formation donné. Sont notamment considérées comme des formations non formelles, les formations de moins d’un semestre, menant par exemple aux certificats de qualification professionnelle (CQP), au permis de conduire, au Brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur (Bafa), au Certificat d'aptitude à la conduite en sécurité (Caces), au Test of English for International Communication (TOEIC) et autres tests de langue similaires.

Les formations non formelles peuvent être à but professionnel ou personnel (comme les cours d’activités de loisirs organisés et encadrés par exemple).

Pour en savoir plus

(1) Cornut M. , Mével E., « En Guadeloupe, les femmes sont plus souvent en emploi qu’avant la crise sanitaire », Insee Flash Guadeloupe no 171, octobre 2022

(2) Pénicaud E. « L’emploi des jeunes continue d’augmenter fortement, le chômage recule de nouveau », Insee Première no 1941, mars 2023

(3) Principaux indicateurs sur l’emploi, le chômage et l’activité par DOM

(4) Arnaud F., Athari E., Chartier F., Ferret A., Gaudiller G., Guiberteau V., Guirriex R., Langevin G., Lièvre A., Meinzel P., Omalek L., Pichott F. (2021) « Ouvrir dans un nouvel ongletLes retraités et les retraites », Panorama de la DREES Social.

(5) Salibekyan Z.;Anaïs A. (ENS) « En Guadeloupe, un quart des jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation », Insee Analyses Guadeloupe no 63, janvier 2023