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Insee Flash Bretagne · Janvier 2025 · n° 110
Insee Flash BretagneLa Bretagne, une des régions où les enfants grandissent le plus souvent en famille traditionnelle, en particulier dans les territoires périurbains

Simon Bertin, Soazig Jolivet (Insee)

En Bretagne, une majorité d’enfants mineurs grandissent en famille dite « traditionnelle », c’est-à-dire avec leurs deux parents et sans demi-frère ni demi-sœur au domicile. En 2021, c’est le cas de plus de 70 % d’entre eux. À mesure qu’ils grandissent, les structures familiales évoluent. Ils vivent ainsi plus fréquemment avec un seul de leurs parents à l’approche de la majorité, dans une famille monoparentale ou recomposée. La répartition des formes familiales varie selon les territoires. Les enfants en famille « traditionnelle », dont les parents sont plus souvent en emploi, sont ainsi plus présents dans les territoires périurbains, principalement à l’est de la région. Les enfants en famille monoparentale, moins favorisés socialement, sont plus présents en zone urbaine et dans des territoires à l’ouest de la région.

Insee Flash Bretagne
No 110
Paru le :Paru le14/01/2025

Cette publication fait partie de l'opération coordonnée « Dans quelles familles vivent les enfants en 2023 ? » qui donne lieu à une publication nationale et des publications régionales.

Insee - famille
Publication rédigée par :Simon Bertin, Soazig Jolivet (Insee)

Plus de 7 enfants sur 10 vivent en famille « traditionnelle »

En Bretagne, sur 100 enfants mineurs vivant en famille en 2021 (pour comprendre), 71 sont dans une , 19 dans une et 10 dans une (figure 1).

Figure 1Répartition des enfants par type de famille en Bretagne en 2021 (pour 100 enfants)

Répartition des enfants par type de famille en Bretagne en 2021 (pour 100 enfants) - Lecture : En 2021, sur 100 enfants mineurs vivant en famille, 19 vivent au sein d’une famille monoparentale, dont 15 avec leur mère.
Situation de l’enfant vis à vis des parents Famille « traditionnelle » Famille recomposée Famille monoparentale Ensemble
Enfant vivant au quotidien avec sa mère /// 5 15 20
Enfant vivant au quotidien avec son père /// 2 4 6
Enfant vivant au quotidien avec ses deux parents 71 3 /// 74
Ensemble 71 10 19 100
  • Lecture : En 2021, sur 100 enfants mineurs vivant en famille, 19 vivent au sein d’une famille monoparentale, dont 15 avec leur mère.
  • Champ : Enfants mineurs vivant en famille en Bretagne.
  • Source : Recensement de la population 2021, exploitation complémentaire.

Figure 1Répartition des enfants par type de famille en Bretagne en 2021 (pour 100 enfants)

  • Lecture : En 2021, sur 100 enfants mineurs vivant en famille, 19 vivent au sein d’une famille monoparentale, dont 15 avec leur mère.
  • Champ : Enfants mineurs vivant en famille en Bretagne.
  • Source : Recensement de la population 2021, exploitation complémentaire.

La Bretagne est la deuxième région de France métropolitaine ayant la part d’enfants en famille « traditionnelle » la plus élevée, derrière les Pays de la Loire (73 %), comme déjà en 2018 [Lardoux, Tacon, 2020 ; pour en savoir plus (5)], cette part étant de 68 % au niveau national.

L’Ille-et-Vilaine est le premier département breton et le 8e au rang national sur cet indicateur (73 %). Le Finistère (71 %) et le Morbihan (72 %) se situent dans la moyenne régionale, devant les Côtes-d’Armor (69 %).

Les structures familiales évoluent à mesure que les enfants grandissent

Un enfant vit le plus souvent avec ses deux parents dans la petite enfance (avant 3 ans), la famille étant alors soit « traditionnelle », soit recomposée avec des demi-frères ou demi-sœurs plus âgés. Cette configuration familiale est susceptible d’évoluer dans le temps. De « traditionnelle », la famille peut devenir monoparentale en cas de séparation des parents, voire recomposée dans le cas d’une nouvelle union de l’un des deux parents, l’enfant vivant alors au quotidien avec un seul de ses parents et un beau-parent. De recomposée, la famille de l’enfant peut devenir une famille « traditionnelle », lorsque les demi-frères ou demi-sœurs plus âgés auront quitté le foyer familial.

La Bretagne est la deuxième région de France métropolitaine où la part d’enfants vivant avec leurs deux parents est la plus élevée (74 %), derrière les Pays de la Loire (76 %). Avant 3 ans, 89 % des enfants vivent avec leurs deux parents : 82 % sont en famille « traditionnelle » et 7 % en famille recomposée. Ils ne sont plus que 66 % entre 15 et 17 ans : 65 % en famille « traditionnelle » et 1 % en famille recomposée. Inversement, la part d’enfants vivant avec un seul de leurs parents augmente logiquement avec l’âge. À l’approche de la majorité, un tiers des mineurs sont dans ce cas. Quel que soit leur âge, environ 80 % d’entre eux vivent avec leur mère et plus de 70 % sont en famille monoparentale.

Les enfants en famille « traditionnelle » plus présents dans le périurbain, en particulier dans la moitié est de la région

L’est du Morbihan et l’Ille-et-Vilaine se caractérisent par une plus forte présence de familles « traditionnelles » (figure 2). La part de mineurs vivant dans ces familles y est plus élevée dans le périurbain, autour des communes de Rennes et de Vannes. Elle atteint 83 % dans le Pays de Châteaugiron aux portes de Rennes. C’est aussi le cas de la frange littorale des communes de Brest, Quimper et Saint-Brieuc. Ces territoires ont en commun le dynamisme de leur population et offrent des logements relativement spacieux, proches des emplois. La Bretagne se situe d’ailleurs au premier rang des régions métropolitaines pour les indicateurs socio-économiques suivants : vivre en maison (84 % des mineurs), avoir un parent en emploi (90 %), ou propriétaire de son logement (70 %). Ces proportions sont encore plus élevées pour les enfants en famille « traditionnelle » (figure 3).

Figure 2Parts des enfants mineurs en famille « traditionnelle » et en famille monoparentale par intercommunalité

(en %)
Parts des enfants mineurs en famille « traditionnelle » et en famille monoparentale par intercommunalité ((en %)) - Lecture : En 2021, 71 % des mineurs de l’intercommunalité Golfe du Morbihan - Vannes Agglomération vivent dans une famille « traditionnelle » et 20 % dans une famille monoparentale (les autres étant donc dans une famille recomposée). L’intercommunalité se classe ainsi dans la catégorie intermédiaire (centrée sur la moyenne régionale), combinant des proportions d’enfants en famille « traditionnelle » et en famille monoparentale allant respectivement de 69 % à 74 % et de 17 % à 21 %.
Code intercommunalité Libellé intercommunalité Part d’enfants en famille « traditionnelle » Part d’enfants en famille monoparentale
243500659 Pays de Châteaugiron Communauté 82,8 11,0
243500667 Val d'Ille-Aubigné 79,5 11,1
243500634 Roche aux Fées Communauté 78,4 11,7
243500774 Liffré-Cormier Communauté 78,7 11,9
200070688 Couesnon Marches de Bretagne 75,2 11,9
242900553 Le Pays des Abers 77,8 12,4
242900074 Le Pays d'Iroise 77,9 12,9
200038990 Saint-Méen Montauban 77,5 12,9
200039022 Vitré Communauté 78,0 13,2
200070662 Bretagne porte de Loire Communauté 78,8 13,7
243500618 Brocéliande Communauté 77,8 13,8
243500550 Montfort Communauté 78,8 14,0
200027027 Arc Sud Bretagne 75,2 14,1
200096675 Baud Communauté 76,7 14,4
200043990 Vallons de Haute-Bretagne Communauté 74,9 14,4
200096683 Centre Morbihan Communauté 74,9 14,6
242900751 Le Pays de Landivisiau 74,3 14,6
242900710 Le Haut Pays Bigouden 73,6 14,7
200066785 L'Oust à Brocéliande 75,7 14,8
245614383 Questembert Communauté 74,7 14,9
200043123 Auray Quiberon Terre Atlantique 75,4 15,0
200069391 Lamballe Terre et Mer 75,2 15,1
242900801 Le Pays de Landerneau-Daoulas 73,4 15,2
245600440 Blavet Bellevue Océan 75,3 15,6
242900660 Le Pays Fouesnantais 76,9 15,7
200067072 Haut-Léon Communauté 71,6 15,7
243500733 Bretagne Romantique 74,8 16,2
200066777 Ploërmel Communauté 74,6 16,4
200069086 Leff Armor Communauté 72,7 16,5
200066868 Presqu'île de Crozon-Aulne maritime 74,7 16,8
245614433 Pontivy Communauté 71,7 17,1
200067247 Pleyben-Châteaulin-Porzay 70,5 17,3
242900793 Communauté Lesneven Côte des Légendes 73,7 17,4
200070670 Le Pays de Dol et de la Baie du Mont Saint-Michel 69,9 18,1
200067460 Loudéac Communauté - Bretagne Centre 70,6 18,3
242900694 Quimperlé Communauté 72,1 18,4
200068989 Dinan Agglomération 70,4 18,4
200072452 Fougères Agglomération 71,6 18,5
242900629 Cap Sizun - Pointe du Raz 71,2 18,5
242900744 Poher communauté 68,8 19,0
200067932 Golfe du Morbihan - Vannes Agglomération 70,7 19,6
242900561 Haute Cornouaille 65,2 19,6
243500741 Redon Agglomération 68,6 18,5
245614417 Roi Morvan Communauté 65,3 19,7
242900702 Le Pays Bigouden Sud 70,5 19,9
243500725 Côte d'Émeraude 67,9 20,0
244400610 La Presqu'île de Guérande Atlantique (Cap Atlantique) 75,1 17,7
242900769 Concarneau Cornouaille Agglomération 69,4 20,4
243500782 Le Pays de Saint Malo Agglomération 68,0 20,6
242200715 Le Kreiz-Breizh (CCKB) 70,5 20,7
200065928 Lannion-Trégor Communauté 67,9 20,7
242900835 Morlaix Communauté 68,7 21,2
200067197 Monts d'Arrée Communauté 72,5 21,4
200068120 Quimper Bretagne Occidentale 67,1 21,9
243500139 Rennes Métropole 68,5 22,9
200042174 Lorient Agglomération 66,9 23,0
242900314 Brest Métropole 67,4 23,4
200069409 Saint-Brieuc Armor Agglomération 66,4 23,5
200067981 Guingamp-Paimpol Agglomération de l'Armor à l'Argoat 66,2 23,6
242900645 Douarnenez Communauté 64,5 24,3
245600465 Belle-Île-en-Mer 64,5 27,3
  • Lecture : En 2021, 71 % des mineurs de l’intercommunalité Golfe du Morbihan - Vannes Agglomération vivent dans une famille « traditionnelle » et 20 % dans une famille monoparentale (les autres étant donc dans une famille recomposée). L’intercommunalité se classe ainsi dans la catégorie intermédiaire (centrée sur la moyenne régionale), combinant des proportions d’enfants en famille « traditionnelle » et en famille monoparentale allant respectivement de 69 % à 74 % et de 17 % à 21 %.
  • Champ : Enfants mineurs vivant en famille en Bretagne.
  • Source : Insee, recensement de la population 2021, exploitation complémentaire.

Figure 2Parts des enfants mineurs en famille « traditionnelle » et en famille monoparentale par intercommunalité

  • Lecture : En 2021, 71 % des mineurs de l’intercommunalité Golfe du Morbihan - Vannes Agglomération vivent dans une famille « traditionnelle » et 20 % dans une famille monoparentale (les autres étant donc dans une famille recomposée). L’intercommunalité se classe ainsi dans la catégorie intermédiaire (centrée sur la moyenne régionale), combinant des proportions d’enfants en famille « traditionnelle » et en famille monoparentale allant respectivement de 69 % à 74 % et de 17 % à 21 %.
  • Champ : Enfants mineurs vivant en famille en Bretagne.
  • Source : Insee, recensement de la population 2021, exploitation complémentaire.

Figure 3Indicateurs socio-économiques par type de famille en Bretagne en 2021

(en %)
Indicateurs socio-économiques par type de famille en Bretagne en 2021 ((en %)) - Lecture : En 2021, dans la région, 11 % des enfants en famille monoparentale vivent dans un logement suroccupé, contre 5 % de l’ensemble des enfants mineurs vivant en famille.
Type de famille Part d’enfants vivant dans un logement suroccupé Part d’enfants selon le profil de la personne de référence de la famille
Propriétaire Locataire HLM Diplôme inférieur au baccalauréat ou sans diplôme Diplôme supérieur au baccalauréat En emploi
Famille « traditionnelle » 3 80 7 30 48 94
Famille monoparentale 11 37 33 39 38 74
Famille recomposée 7 58 14 44 33 89
Bretagne 5 70 13 33 45 90
France métropolitaine 13 57 21 39 41 86
  • Lecture : En 2021, dans la région, 11 % des enfants en famille monoparentale vivent dans un logement suroccupé, contre 5 % de l’ensemble des enfants mineurs vivant en famille.
  • Champ : Enfants mineurs vivant en famille.
  • Source : Insee, recensement de la population 2021, exploitation complémentaire.

Le logement est aussi un enjeu pour les familles recomposées aux fratries plus nombreuses. Elles comptent 3 enfants ou plus pour 39 % d’entre elles, contre 19 % des familles « traditionnelles » et 15 % des familles monoparentales. Par rapport aux enfants des familles « traditionnelles », les enfants des familles recomposées vivent plus fréquemment avec un parent (ou beau-parent) sans diplôme ou dont le niveau de diplôme est inférieur au baccalauréat (44 % contre 30 %) et moins souvent avec un parent travaillant comme cadre (11 % contre 20 %). Ils résident plus fréquemment dans le rural, où les habitations plus spacieuses sont en général moins onéreuses. La part d’enfants en famille recomposée atteint même 15 % dans les intercommunalités de Haute Cornouaille dans le Finistère et du Roi Morvan dans le Morbihan.

Les enfants en famille monoparentale sont socialement moins favorisés

Si l’ensemble des mineurs en famille grandissent dans des conditions globalement plus favorables en Bretagne que dans le reste du pays, ceux des familles monoparentales sont socialement moins favorisés. Un tiers d’entre eux ont un parent locataire du parc social, une part nettement supérieure à l’ensemble des mineurs de la région (13 %). Ils sont 11 % à vivre dans un , une proportion toutefois inférieure à la moyenne nationale pour les enfants de ce type de famille (22 %). En outre, le parent avec lequel ils vivent est moins souvent en emploi (74 %) et moins fréquemment propriétaire (37 %) que pour les autres enfants.

Les mineurs en famille monoparentale sont relativement plus présents à l’ouest de la région. C’est le cas de territoires particulièrement ruraux dans les Côtes-d’Armor et dans le Centre Bretagne. Cette configuration familiale concerne un mineur sur cinq dans les Côtes-d’Armor, département le plus rural de Bretagne, et près d’un quart des mineurs de l’intercommunalité de Guingamp-Paimpol par exemple. Ces territoires se caractérisent entre autres par un accès à l’emploi plus difficile. Les intercommunalités des grandes communes régionales ont également en commun une forte proportion de mineurs en famille monoparentale (plus de 21 %), l’accès aux services de la vie courante s’y trouvant facilité et la densité de logements sociaux y étant plus forte.

Encadré - La résidence alternée est plus répandue en Bretagne

En Bretagne, près de 30 000 enfants vivent en , soit 17 % des enfants de parents séparés. Il s’agit de la part la plus élevée parmi les régions métropolitaines, devant celle des Pays de la Loire (16 %). La garde alternée est plus développée dans les territoires où le niveau de vie est élevé, tandis que la suroccupation des logements semble à l’inverse la freiner [Bloch, 2021 ; pour en savoir plus (3)], phénomène auquel la Bretagne est moins exposée (5 % des mineurs sont concernés contre 13 % au niveau national). À l’échelle départementale, la garde alternée est particulièrement répandue dans le Finistère (18 %), et l’est moins dans les Côtes-d’Armor (15 %). La part d’enfants en résidence alternée augmente jusqu’aux âges de 8 à 11 ans, comme dans l’ensemble de l’Hexagone.

Publication rédigée par :Simon Bertin, Soazig Jolivet (Insee)

Pour comprendre

Cette étude s’appuie sur le recensement de la population de 2021. Elle porte sur les 689 000 enfants mineurs de la région qui vivent en famille, c’est-à-dire avec au moins un de leurs parents, dans un logement occupé comme résidence principale. Cela exclut les enfants majeurs, ainsi que les enfants mineurs :

  • vivant hors ménage (en habitation mobile, en communauté, en résidence étudiante, etc.) ;
  • vivant dans un ménage sans être en famille (car ils ne vivent pas avec leurs parents, mais par exemple avec un grand-parent) ;
  • « adultes » d’une famille (car vivant en couple ou ayant eux-mêmes des enfants).

Les enfants dont les parents sont séparés sont rattachés au logement où ils passent le plus de temps. En cas d’égalité (résidence alternée), ils sont rattachés au logement du parent où ils ont passé une nuit de référence donnée.

Par commodité, les termes « enfants » et « mineurs » font référence dans cette publication au champ de l’étude : les enfants mineurs vivant en famille.

Publication rédigée par :Simon Bertin, Soazig Jolivet (Insee)

Définitions

L’enfant grandit dans une famille :

  • « traditionnelle » lorsqu’il réside avec ses deux parents et lorsque tous les autres enfants du logement sont ceux du couple (des frères et sœurs) ;
  • monoparentale lorsqu’il réside avec un seul de ses parents sans autre conjoint cohabitant ;
  • recomposée lorsqu’il réside avec un couple d’adultes dont un seul est son parent, ou avec ses deux parents et au moins un enfant plus âgé né d’une union précédente de l’un de ses parents (un demi-frère ou une demi-sœur).

Un logement suroccupé est un logement auquel il manque au moins une pièce par rapport à un besoin en pièces défini en fonction de la composition du ménage (en tenant compte, pour les enfants, de leur âge et de leur sexe). Par exemple, on considère qu’un couple avec un enfant a besoin de trois pièces.

Le régime de la résidence alternée désigne ici les situations dans lesquelles l’enfant partage de manière égale son temps entre les deux domiciles de ses parents séparés.

Pour en savoir plus

(1) Retrouvez davantage de données associées à cette publication en téléchargement.

(2) Pora P., « En 2023, trois enfants sur dix vivent avec un seul de leurs parents », Insee Première no 2032, janvier 2025.

(3) Bloch K., « En 2020, 12 % des enfants dont les parents sont séparés vivent en résidence alternée », Insee Première no 1841, mars 2021.

(4) Algava E., Bloch K., Vallès V., « En 2018, 4 millions d’enfants mineurs vivent avec un seul de leurs deux parents au domicile », Insee Première no 1788, janvier 2020.

(5) Lardoux J.‑M., Tacon D., « En Bretagne, un enfant sur quatre vit au quotidien avec un seul de ses parents », Insee Flash Bretagne no 59, janvier 2020.