Insee Flash Guyane ·
Juin 2023 · n° 173
En 2022, l’emploi progresse et occupe quatre Guyanais sur dix
En 2022, le taux d’emploi progresse d’un point en Guyane et s’établit à 42 %. Les jeunes sont les principaux bénéficiaires de cette dynamique du marché du travail. Cependant, la part des personnes ayant un emploi reste faible. Le taux de chômage est important (13 %) et le nombre de personnes non considérées au chômage mais souhaitant travailler est encore plus élevé. En revanche, le sous-emploi continue de baisser. Le secteur tertiaire concentre la majorité des emplois. Comme aux Antilles, les cadres ou professions intellectuelles supérieures sont peu représentés.
- L’emploi progresse même si le taux d’emploi reste relativement faible
- Les femmes sont deux fois plus souvent concernées par le sous-emploi que les hommes
- La majorité des personnes en emploi travaillent dans le secteur tertiaire
- Le chômage est deux fois plus important qu’en France métropolitaine, le halo autour du chômage cinq fois plus
- Encadré - Un tiers de jeunes de 15 à 29 ans sont en situation de NEET
L’emploi progresse même si le taux d’emploi reste relativement faible
En 2022, le nombre de personnes en emploi progresse de 4,8 % en Guyane routière par rapport à 2021. Ainsi, 68 500 actifs de 15 à 64 ans sont en emploi au sens du BIT. Le taux d’emploi des personnes de 15 à 64 ans reste relativement stable par rapport à 2021 pour s’établir à 42 % (figure 1), inférieur de 27 points à celui de la France métropolitaine. Il est également plus bas qu'en Martinique (57 %) et qu’en Guadeloupe (51 %). Les femmes sont moins souvent en emploi : en Guyane, elles sont 38 % à avoir un travail contre 48 % des hommes. Cet écart est plus faible en France métropolitaine (-5 points), en Guadeloupe (-4 points) et en Martinique (-2 points).
tableauFigure 1 – Taux d’emploi par âge, par sexe et par niveau de diplôme
| Caractéristiques | Guyane | France métropolitaine | ||
|---|---|---|---|---|
| 2021 | 2022 | 2021 | 2022 | |
| Ensemble | 41 | 42 | 68 | 69 |
| Hommes | 47 | 48 | 71 | 71 |
| Femmes | 37 | 38 | 65 | 66 |
| De 15 à 29 ans | 18 | 21 | 47 | 49 |
| De 30 à 49 ans | 53 | 55 | 82 | 84 |
| De 50 à 64 ans | 56 | 54 | 66 | 66 |
| Diplôme de niveau bac + 2 et supérieur | 83 | 87 | 84 | 85 |
| Baccalauréat ou brevet professionnel ou autre diplôme de ce niveau | 56 | 55 | 66 | 67 |
| CAP, BEP ou autre diplôme de ce niveau | 53 | 55 | 70 | 71 |
| Aucun diplôme, certificat d'études primaires ou brevet des collèges | 24 | 20 | 38 | 39 |
- Lecture : en 2022, 48 % des hommes âgées de 15 à 64 ans sont en emploi en Guyane.
- Champ : personnes vivant en logement ordinaire en Guyane routière, âgées de 15 à 64 ans.
- Source : Insee, enquête emploi en continu.
Le taux d’emploi des jeunes de 15 à 29 ans augmente de 3 points et s'établit à 21 %. Bien que profitant cette année de la bonne orientation du marché du travail, ils sont moins souvent en emploi que les jeunes résidant en France métropolitaine (49 %). Un tiers des jeunes guyanais ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (encadré), contre un sur huit en France métropolitaine. Le taux d'emploi des personnes de 30 à 49 ans progresse de 2 points (55 %) mais reste très éloigné du taux d'emploi en France métropolitaine (84 %). Parmi les personnes de 50 à 64 ans, 54 % sont en emploi (-2 points par rapport à 2021). C'est pour cette catégorie d'âge que l'écart avec la France métropolitaine est le moins important (-12 points).
Au-delà du contexte local difficile du marché du travail, le niveau de formation pèse sur l’obtention d’un emploi. En Guyane, les personnes diplômées de l’enseignement supérieur sont ainsi quatre fois plus souvent en emploi que les non diplômées. Elles occupent un tiers des emplois de la région. Par rapport à 2021, leur taux d’emploi gagne 4 points (87 %) et dépasse ainsi le niveau de France métropolitaine (85 %). En 2022, le taux d’emploi des non diplômés baisse de 4 points par rapport à 2021. Seulement 20 % de la population de 15 à 64 ans, peu ou pas diplômée, est en emploi, contre 28 % en Guadeloupe, 36 % en Martinique et 39 % en France métropolitaine. Cette part ne cesse de diminuer (31 % en 2014). La moitié des personnes titulaires d’un CAP-BEP ou d’un baccalauréat occupent un emploi.
Les femmes sont deux fois plus souvent concernées par le sous-emploi que les hommes
En Guyane, 13 % des personnes en emploi travaillent à temps partiel, les femmes étant plus souvent concernées (17 %) que les hommes (8 %). Certaines personnes à temps partiel souhaitent travailler plus, elles sont alors considérées en sous-emploi, tout comme les personnes en période de chômage technique ou partiel. En 2022, le sous-emploi continue de baisser en Guyane (8 %) et l’écart avec la France métropolitaine se réduit. Les actifs en emploi sont 8 % dans cette situation contre 5 % au niveau national. En Guyane comme en France métropolitaine, le sous-emploi concerne deux fois plus souvent les femmes que les hommes. Il touche toutes les classes d’âges dans les mêmes proportions.
La majorité des personnes en emploi travaillent dans le secteur tertiaire
En Guyane, huit personnes en emploi sur dix travaillent dans le secteur tertiaire. L’administration publique, l’enseignement, la santé humaine et l’action sociale concentrent 43 % des emplois de la région. La part de ces activités est plus forte qu’en France métropolitaine où elles regroupent 30 % des emplois. Le commerce, les transports et l’hébergement-restauration emploient un actif sur cinq comme en France métropolitaine. Les catégories socioprofessionnelles des employés et des professions intermédiaires concentrent la plus grande partie des emplois en Guyane. En effet, elles représentent chacune 29 % des actifs occupés. La part des employés sur l’emploi total est moins élevée qu’en Martinique et en Guadeloupe mais dépasse celle enregistrée en France métropolitaine (26 %). Les professions intermédiaires sont à l’inverse plus représentées en Guyane. Comme en Guadeloupe et en Martinique, la présence de cadres et professions intellectuelles supérieures (14 %) est moins importante qu’en France métropolitaine (22 %). La part des ouvriers dans l’emploi est légèrement inférieure à celle observée en Guadeloupe et Martinique ainsi qu’au niveau national. Les non salariés occupent 15 % des emplois en Guyane comme en Martinique ; c’est plus qu’en France métropolitaine (13 %).
Le chômage est deux fois plus important qu’en France métropolitaine, le halo autour du chômage cinq fois plus
La population active regroupe les personnes en emploi et les personnes au chômage au sens du BIT. Le taux d’activité représente le nombre de personnes actives sur la population totale. En Guyane, le taux d'activité des personnes de 15 à 64 ans progresse d’un point par rapport à 2021 et atteint 49 %. Il est de 54 % pour les hommes et 45 % pour les femmes. En France métropolitaine, il augmente également d’un point et s’établit à 74 %.
En 2022, 13 % de la population active est au chômage en Guyane, soit 2 points de moins qu'en 2021 (figure 2). Bien que proche de la Martinique (12 %) et six points inférieur à la Guadeloupe, le chômage reste pour autant deux fois plus élevé qu’en France métropolitaine (7 %). Il touche plus fortement les femmes (15 %) que les hommes (12 %). En Guyane, les actifs diplômés de l’enseignement supérieur ne sont que 2 % à subir le chômage. Six chômeurs sur dix sont en situation de chômage depuis au moins un an. Le taux du chômage de longue durée est stable par rapport à 2021 (8 %) mais il progresse de quatre points pour les actifs de 15 à 29 ans et concerne 14 % d’entre eux.
tableauFigure 2 – Taux de chômage par âge, par sexe et par niveau de diplôme
| Caractéristiques | Guyane | France métropolitaine | ||
|---|---|---|---|---|
| 2021 | 2022 | 2021 | 2022 | |
| Ensemble | 15 | 13 | 8 | 7 |
| Hommes | 13 | 12 | 8 | 7 |
| Femmes | 16 | 15 | 8 | 7 |
| De 15 à 29 ans | 28 | 26 | 14 | 13 |
| De 30 à 49 ans | 13 | 11 | 6 | 6 |
| 50 ans et plus | 10 | 9 | 6 | 5 |
| Diplôme de niveau bac + 2 et supérieur | 3 | 2 | 5 | 5 |
| Baccalauréat ou brevet professionnel ou autre diplôme de ce niveau | 11 | 10 | 9 | 8 |
| CAP, BEP ou autre diplôme de ce niveau | 16 | 12 | 8 | 7 |
| Aucun diplôme, certificat d'études primaires ou brevet des collèges | 24 | 27 | 14 | 13 |
- Lecture : en 2022, 12 % des hommes actifs en Guyane sont au chômage.
- Champ : personnes vivant en logement ordinaire en Guyane routière, actives, âgées de 15 ans ou plus.
- Source : Insee, enquête emploi en continu.
La population inactive comprend au sens du BIT les personnes qui ne sont ni en emploi, ni au chômage. Dans cette population inactive, certaines personnes souhaitent un emploi mais ne sont pas comptabilisées dans le chômage, soit parce qu’elles ne cherchent pas d’emploi, soit parce qu’elles ne sont pas disponibles pour en prendre un. Elles se trouvent à la frontière du chômage et en constituent le halo. En 2022, le halo est particulièrement élevé et concerne 22 % de la population guyanaise âgée de 15 à 64 ans (+2 points), soit deux fois plus qu’en Guadeloupe et Martinique et cinq fois plus qu’en France métropolitaine (figure 3). La très grande majorité (96 %) des personnes dans le halo autour du chômage, ne recherchent pas activement un emploi, bien qu'elles souhaitent travailler.
En Guyane, 58 % des personnes inactives de 15 à 64 ans ne souhaitent pas d'emploi pour diverses raisons. Parmi les personnes inactives ne souhaitant pas un emploi, la moitié sont encore en études ou en formation. D’autres évoquent des problèmes de santé (13 %). La volonté de rester au foyer est citée trois fois plus souvent par les femmes que par les hommes. La garde d’un enfant ou d’un proche est la principale raison de ne pas souhaiter d'emploi pour 11 % des femmes contre seulement 1 % des hommes.
tableauFigure 3 – Part du halo autour du chômage
| Caractéristiques | Part du halo autour du chômage | Part du chômage et du halo autour du chômage | ||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| Guyane | France métropolitaine | Guyane | France métropolitaine | |||
| 2021 | 2022 | 2022 | 2021 | 2022 | 2022 | |
| Ensemble | 20 | 22 | 4 | 27 | 28 | 9 |
| Hommes | 18 | 20 | 4 | 25 | 26 | 9 |
| Femmes | 23 | 24 | 5 | 29 | 30 | 10 |
| De 15 à 29 ans | 21 | 23 | 6 | 28 | 30 | 13 |
| De 30 à 49 ans | 25 | 25 | 4 | 32 | 32 | 9 |
| De 50 à 64 ans | 12 | 15 | 3 | 17 | 20 | 6 |
- Lecture : en 2022, 26 % des hommes âgées de 15 à 64 ans en Guyane sont au chômage ou dans le halo autour du chômage.
- Champ : personnes vivant en logement ordinaire en Guyane routière, âgées de 15 à 64 ans.
- Source : Insee, enquête emploi en continu.
Encadré - Un tiers de jeunes de 15 à 29 ans sont en situation de NEET
Entre 2021 et 2022, en Guyane, un tiers des jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (NEET). Ce phénomène touche particulièrement les jeunes à partir de 20 ans : la moitié d'entre eux sont concernés, contre 15 % avant 20 ans. Parmi les jeunes de 15 à 29 ans, la moitié a moins de 20 ans : après le baccalauréat, certains poursuivent leurs études à l'Université de Guyane et d'autres quittent le territoire pour poursuivre leurs études en France métropolitaine. Cependant, ceux qui restent sont moins souvent en études ou en emploi. Parmi les jeunes n'ayant jamais fait d'études, 91 % sont en situation de NEET, contre 59 % de ceux ayant achevé une formation initiale.
Sources
L’enquête Emploi en Continu (EEC) est la seule source fournissant une mesure des concepts d’activité, chômage, emploi et inactivité tels qu’ils sont définis par le Bureau International du Travail (BIT). Elle a lieu en continu toutes les semaines de l’année en France métropolitaine, mais également depuis le 1er janvier 2014, dans les départements d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion), à l’exception de Mayotte.
La mesure de la précision des statistiques issues de cette enquête constitue un enjeu majeur, afin de permettre une interprétation juste et complète des différents résultats de l’Enquête Emploi en Continu. Dans les régions d’outre-mer, le taux de chômage annuel au sens du BIT est calculé avec une précision à 95 % de ±1,5 point.
Le niveau et la structure de l’emploi fournis par l’enquête Emploi peuvent différer de ceux obtenus à partir des sources administratives (Estimations d’emploi).
En 2021, l’enquête Emploi a connu une refonte majeure. Son questionnaire a été rénové afin, d’une part, de se conformer au nouveau règlement européen sur les statistiques sociales qui l’encadre et, d’autre part, de mieux répondre aux besoins de ses utilisateurs et aux nouveaux enjeux du marché du travail. Son protocole de collecte a également été modernisé (possibilité de répondre par Internet en réinterrogation) et sa méthode de pondération revue. Pour plus d’informations sur la refonte et son impact sur les principaux indicateurs issus de l’enquête (Insee Analyses no 65, 2021).
Définitions
Guyane routière : le champ géographique de la collecte a été légèrement modifié en 2019 (exclusion des communes Awala-Yalimapo, Iracoubo, Regina). À compter de 2019, sont couvertes par l’enquête les communes suivantes : Apatou, Cayenne, Kourou, Macouria, Matoury, Mana, Montsinéry-Tonnegrande, Remire-Montjoly, Roura, Saint-Georges, Saint-Laurent du Maroni et Sinnamary.
Une personne en emploi au sens du Bureau International du Travail (BIT) est une personne de 15 ans ou plus ayant effectué au moins une heure de travail rémunéré au cours d’une semaine donnée ou absente de son emploi sous certaines conditions de motif (congés annuels, maladie, maternité,etc.) et de durée.
Toutes les formes d’emploi sont couvertes (salariés, à son compte, aide familial), que l’emploi soit déclaré ou non.
Les personnes qui déclarent avoir un emploi dont elles sont absentes sont classées en emploi si elles sont absentes pour congés rémunérés, maladie, maternité / paternité, congé parental de trois mois ou moins ou avec perception d’un revenu compensatoire lié à l’activité tel que la Prepare, aménagement du temps de travail, formation autorisée par l’employeur, période de morte saison dans le cadre d’une activité saisonnière en cas de travaux réguliers dans le cadre de cette activité saisonnière, chômage partiel (ou technique ou intempérie), autre raison d’absence d’une durée de trois mois ou moins.
Un chômeur est une personne qui n'a pas d'emploi et qui en recherche un. La définition des chômeurs est extrêmement sensible aux critères retenus. La définition la plus couramment utilisée est celle « au sens du BIT ». Elle permet d'effectuer des comparaisons internationales.
Le taux d’activité est le rapport entre le nombre d’actifs et l’ensemble de la population correspondante. Il peut être calculé sur l’ensemble de la population d’un pays, mais on se limite le plus souvent à la population âgée de 15 à 64 ans, ou à une sous‑catégorie de la population (femmes de 25 à 29 ans par exemple).
Le halo autour du chômage est composé de personnes sans emploi qui, soit recherchent un emploi mais ne sont pas disponibles dans les deux semaines pour travailler, soit n’ont pas effectué de démarche active de recherche d’emploi dans le mois précédent mais souhaitent travailler, qu’elles soient disponibles ou non.
Le halo regroupe donc les personnes inactives au sens du BIT (ni en emploi, ni au chômage), mais proches du marché du travail.
NEET (neither in employment nor in education or training) : personne qui n’est ni en emploi, ni en études, ni en formation (formelle ou non formelle).
Une formation formelle est une formation qui à la fois :
- présente un apprentissage graduel hiérarchisé par niveaux ;
- exige des prérequis pour l'admission ;
- dure au moins un semestre (ou 30 European Credits Transfer Scale) ;
- et a un programme reconnu par le système éducatif national (ou une autorité équivalente).
Tels sont les critères de la " Classification of learning activities " (CLA) 2016 pour déterminer si une formation est formelle ou non formelle.
D’une manière générale, en France, les formations du système éducatif (éducation nationale et enseignement supérieur) sont classées comme formelles, notamment lorsqu’elles mènent à un diplôme ou préparent à un concours (par exemple, les classes préparatoires aux grandes écoles). Les formations menant à des certifications professionnelles ou titres inscrits au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) sont considérées comme formelles si elles durent au moins un semestre et si le diplôme / titre auquel elles préparent peut être classé à un niveau donné. Ainsi, les formations d’au moins un semestre préparant à un concours sont classées comme formelles, contrairement par exemple aux formations qui mènent aux certificats de qualification professionnelle (CQP) qui ne sont pas classés à un niveau de formation donné, au permis de conduire, au Brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur (Bafa), au Certificat d'aptitude à la conduite en sécurité (Caces), qui ne sont pas classées comme formelles.
Une formation est dite non formelle si l'une des conditions suivantes n'est pas remplie :
- présente un apprentissage graduel hiérarchisé par niveaux ;
- exige des prérequis pour l’admission ;
- dure au moins un semestre (ou 30 European Credits Transfer Scale) ;
- a un programme reconnu par le système éducatif national (ou autorité équivalente).
Tels sont les critères de la " Classification of learning activities " (CLA) 2016 pour déterminer si une formation est formelle ou non formelle.
D'une manière générale, en France, les formations sont considérées comme non formelles si elles ne conduisent pas à un diplôme ou à un titre reconnu, ou ne peuvent pas être classées à un niveau de formation donné. Sont notamment considérées comme des formations non formelles, les formations de moins d’un semestre, menant par exemple aux certificats de qualification professionnelle (CQP), au permis de conduire, au Brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur (Bafa), au Certificat d'aptitude à la conduite en sécurité (Caces), au Test of English for International Communication (TOEIC) et autres tests de langue similaires.
Les formations non formelles peuvent être à but professionnel ou personnel (comme les cours d’activités de loisirs organisés et encadrés par exemple).
Pour en savoir plus
(1) Matthieu C., Mével E., « En Guyane, les difficultés sur le marché de l’emploi persistent », Insee Flash Guyane no 159, octobre 2022.
(2) Pénicaud E., « L’emploi des jeunes continue d’augmenter fortement, le chômage recule de nouveau », Insee Première no 1941, mars 2023.
(3) Arnaud F., Athari E., Chartier F., Ferret A., Gaudiller G., Guiberteau V., Guirriex R., Langevin G., Lièvre A., Meinzel P., Omalek L., Pichott F. (2021) « Ouvrir dans un nouvel ongletLes retraités et les retraites », Panorama de la DREES Social.