1ᵉʳ trimestre 2019 : hausse de l'emploi salarié privé et public Note de conjoncture régionale – 1ᵉʳ trimestre 2019
Marqué notamment par les tensions commerciales parties des États-Unis et par la perspective du Brexit, l’environnement international paraît moins porteur que l’an dernier. Les banques centrales comme les différents gouvernements ont néanmoins pris acte du risque de ralentissement et ajustent en conséquence leur politique économique. Début 2019, les principaux pays de la zone euro ont ainsi pour la plupart mis en place, d’une manière ou d’une autre, des mesures de soutien budgétaire. C’est le cas en France, avec, entre autres, les mesures d’urgence annoncées en décembre 2018. Le PIB français augmenterait de 0,3 % par trimestre d’ici la fin 2019, soit, en moyenne annuelle, une croissance de 1,3 %, légèrement supérieure à la croissance prévue dans l’ensemble de la zone euro (+ 1,2 %).
Au 1er trimestre 2019, l’emploi salarié augmente à La Réunion (+ 1,7 %). La hausse est plus nette dans le secteur privé (+ 2,1 %), grâce aux nombreuses créations d’emplois dans les petites entreprises. Dans le secteur public, l’emploi ne baisse plus (+ 0,8 %), grâce à la montée en charge du nouveau dispositif de contrats aidés (PEC). Composé à 80 % d’emplois publics, les secteurs non marchands bénéficient de cette montée en charge et créent 1 100 emplois ce trimestre. Dans les secteurs marchands (+ 1 100 emplois également), la dynamique est particulièrement marquée dans l’hébergement-restauration (+ 700 emplois), le commerce (+ 400), la construction (+ 500) et l’intérim (+ 300). Seules l’agriculture et l’industrie ne créent pas d’emploi.
Les autres indicateurs conjoncturels passent également au vert ce trimestre : la création d’entreprise repart à la hausse (+ 11 %). Si cette dynamique s’applique à tous les secteurs d’activité, deux se distinguent particulièrement : la construction et le « commerce, transport, restauration-hébergement ». En outre, la construction de logements est bien orientée. Enfin, la fréquentation hôtelière se stabilise mais reste à un niveau élevé (282 000 nuitées dans des hôtels et 75 000 dans d’autres hébergements collectifs touristiques).
- 1ᵉʳ trimestre 2019 : hausse de l'emploi salarié privé et public
- L’emploi salarié rebondit nettement dans le secteur privé
- Création de 1 100 emplois dans l’hébergement-restauration et dans le commerce
- Création de 1 100 emplois dans les services non marchands
- La construction de logements bien orientée
- La fréquentation hôtelière se maintient
- Reprise des créations d’entreprises
- Contexte national – La croissance française serait surtout soutenue par la demande intérieure
- Contexte international – Dans un environnement international moins porteur, les principaux pays de la zone euro mettent en place des mesures de soutien budgétaire
1ᵉʳ trimestre 2019 : hausse de l'emploi salarié privé et public
Au 1er trimestre 2019, 258 400 salariés travaillent à La Réunion, secteurs privé et public confondus. Le nombre d’emplois salariés augmente de 4 300 par rapport au 4e trimestre 2018 (+ 1,7 %).
L’emploi salarié rebondit nettement dans le secteur privé
Après avoir baissé au trimestre précédent, l’emploi salarié privé repart à la hausse au 1er trimestre 2019 : + 3 600 emplois, soit + 2,1 % (figure 1). Les créations d’emplois se concentrent principalement dans les entreprises de moins de 10 salariés. Sur un an, l’emploi progresse de 1,2 % dans le secteur privé .
Dans la fonction publique, l’emploi ne baisse plus. Après cinq trimestres consécutifs de baisse, l’emploi dans le secteur public s’est stabilisé au 4e trimestre 2018 (+ 200 emplois) et augmente de 600 emplois ce trimestre (+ 0,8 %). En effet, les nouveaux contrats aidés du secteur non marchand, les « Parcours emploi compétences » (PEC), poursuivent leur montée en charge. Ainsi, 500 Réunionnais supplémentaires sont employés dans ce cadre au 1er trimestre 2019, portant à 10 200 le nombre total de bénéficiaires.
tableauFigure 1 – Après cinq trimestres de baisse, l’emploi salarié repart à la hausse à La RéunionÉvolution de l'emploi salarié
Emploi salarié total - La Réunion | Emploi salarié total - France hors Mayotte | Emploi salarié privé - La Réunion | Emploi salarié privé - France hors Mayotte | |
---|---|---|---|---|
T4 2010 | 100 | 100 | 100 | 100 |
T1 2011 | 100,06 | 100,19 | 100,71 | 100,26 |
T2 2011 | 100,57 | 100,32 | 100,54 | 100,44 |
T3 2011 | 101,91 | 100,23 | 102,48 | 100,39 |
T4 2011 | 103,29 | 100,3 | 103,28 | 100,42 |
T1 2012 | 103,33 | 100,3 | 103,32 | 100,38 |
T2 2012 | 103,9 | 100,27 | 103,69 | 100,32 |
T3 2012 | 103,19 | 100,13 | 103,32 | 100,07 |
T4 2012 | 103,39 | 100,03 | 103,53 | 99,94 |
T1 2013 | 102,48 | 99,96 | 102,01 | 99,82 |
T2 2013 | 103,91 | 99,84 | 103,29 | 99,57 |
T3 2013 | 104,61 | 100,04 | 103,88 | 99,76 |
T4 2013 | 106,55 | 100,37 | 104,73 | 99,95 |
T1 2014 | 107,51 | 100,41 | 105,55 | 99,9 |
T2 2014 | 107,61 | 100,43 | 105,8 | 99,94 |
T3 2014 | 108,36 | 100,31 | 106,96 | 99,75 |
T4 2014 | 109,75 | 100,43 | 107,78 | 99,83 |
T1 2015 | 110,81 | 100,38 | 108,26 | 99,78 |
T2 2015 | 110,84 | 100,62 | 108,03 | 100,01 |
T3 2015 | 111,16 | 100,68 | 108,87 | 100,1 |
T4 2015 | 112,28 | 100,89 | 110 | 100,35 |
T1 2016 | 112,45 | 101,03 | 110,1 | 100,52 |
T2 2016 | 112,97 | 101,31 | 110,37 | 100,84 |
T3 2016 | 113,18 | 101,58 | 111,05 | 101,13 |
T4 2016 | 113,53 | 101,71 | 111,72 | 101,28 |
T1 2017 | 113,77 | 102,09 | 112,03 | 101,73 |
T2 2017 | 114,71 | 102,46 | 113,09 | 102,18 |
T3 2017 | 114,39 | 102,66 | 113,18 | 102,47 |
T4 2017 | 114,95 | 103,06 | 114,15 | 103,04 |
T1 2018 | 114,21 | 103,23 | 114,3 | 103,28 |
T2 2018 | 113,8 | 103,31 | 114,41 | 103,44 |
T3 2018 | 113,77 | 103,46 | 114,84 | 103,63 |
T4 2018 | 113,62 | 103,74 | 114,47 | 103,99 |
T1 2019 | 115,54 | 104,13 | 116,92 | 104,49 |
- Notes : données CVS, en fin de trimestre. Les données du dernier trimestre affiché sont provisoires.
- Champ : emploi salarié total.
- Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Acoss-Urssaf, Dares, Insee.
graphiqueFigure 1 – Après cinq trimestres de baisse, l’emploi salarié repart à la hausse à La RéunionÉvolution de l'emploi salarié
Sur un an, l’emploi salarié repart à la hausse à La Réunion (+ 1,2 %) et rejoint la dynamique nationale (+ 0,9 % sur un an).
Création de 1 100 emplois dans l’hébergement-restauration et dans le commerce
Dans le secteur des services marchands, le rebond de l’emploi est particulièrement important. Hors intérim, 2 400 emplois sont créés, soit une progression de 2,2 % (figure 2). La reprise de l’emploi salarié est très forte dans les secteurs liés au tourisme et au commerce : le secteur de « l’hébergement - restauration » crée 700 emplois (+ 7,5 %) et le commerce en crée 400 (+ 1,3 %). Ces secteurs avaient été particulièrement impactés par le mouvement des gilets jaunes au trimestre précédent.
La construction et l’intérim se redressent également au 1er trimestre 2019 : ce sont 500 emplois salariés qui sont créés ce trimestre dans la construction (+ 3,8 %) et 300 dans l’intérim (+ 7,3 %). Au dernier trimestre 2018, ces secteurs avaient été pénalisés par le mouvement social, mais aussi par le ralentissement des travaux de la Nouvelle route du littoral et des constructions de logements.
Après plusieurs trimestres consécutifs de baisse, l’emploi salarié augmente aussi dans les « services aux ménages » (+ 2,9 %, soit 600 emplois de plus). Ces activités se situent majoritairement au sein d’associations, telles que les clubs sportifs, les écoles de musique, les structures proposant des activités périscolaires (centre aéré, garderie) ou encore des associations qui œuvrent dans les actions de proximité dans les quartiers et l'insertion des personnes en difficulté. Sur un an, l’emploi reste orienté à la baisse dans ce secteur, mais moins fortement qu’auparavant (- 3,2 % sur un an). Ce secteur est, comme le secteur public, particulièrement sensible aux évolutions des contrats aidés.
L’industrie et l’agriculture sont les seuls secteurs où l’emploi ne progresse pas ce trimestre. Toutefois, il augmente sur un an : + 300 emplois dans l’industrie, essentiellement agro-alimentaire, + 100 emplois dans l’agriculture.
Création de 1 100 emplois dans les services non marchands
Au 1er trimestre 2019, 106 600 salariés travaillent dans les services non marchands. Ils exercent dans l’enseignement, l’administration publique, la santé ou l’action sociale. Ils travaillent majoritairement dans le public (80 %), mais peuvent également exercer dans le privé (activités de soutien scolaire, enseignement de la conduite, médecine, actions auprès des personnes âgées ou en situation de handicap, etc.).
Dans ces services non marchands, l’emploi progresse de 1 100 salariés au 1er trimestre 2019, soit + 1,1 % (figure 3). Comme dans les associations, les PEC favorisent cette croissance. Au 4e trimestre 2018, l’emploi s’était stabilisé (+ 0,3 %) dans ces secteurs, après cinq trimestres consécutifs de baisse.
tableauFigure 2 – L’emploi augmente pour la plupart des secteurs au 1ᵉʳ trimestre 2019Évolution de l'emploi salarié par secteur en La Réunion
Construction | Industrie | Tertiaire marchand hors intérim | Tertiaire non marchand | |
---|---|---|---|---|
T4 2010 | 100 | 100 | 100 | 100 |
T1 2011 | 99,5 | 99,13 | 100,74 | 99,1 |
T2 2011 | 100,81 | 97,87 | 100,4 | 100,7 |
T3 2011 | 102,89 | 101,22 | 102,21 | 101,41 |
T4 2011 | 102,57 | 100,69 | 102,96 | 103,81 |
T1 2012 | 103,26 | 101,26 | 102,86 | 104,02 |
T2 2012 | 100,84 | 101,3 | 103,31 | 105,14 |
T3 2012 | 99,62 | 101,58 | 102,77 | 104,17 |
T4 2012 | 98,03 | 101,83 | 103,28 | 104,66 |
T1 2013 | 94,81 | 101,81 | 101,66 | 104,84 |
T2 2013 | 93,77 | 102,3 | 103,07 | 106,54 |
T3 2013 | 91,24 | 102,59 | 103,74 | 107,68 |
T4 2013 | 91,43 | 102,19 | 104,48 | 111,52 |
T1 2014 | 93,09 | 102,02 | 104,96 | 112,54 |
T2 2014 | 93,25 | 101,96 | 104,63 | 112,79 |
T3 2014 | 93,1 | 106,05 | 105,81 | 112,84 |
T4 2014 | 92,03 | 104,62 | 107,26 | 115,26 |
T1 2015 | 95,92 | 106,2 | 107,26 | 117,19 |
T2 2015 | 94,62 | 105,71 | 107 | 117,88 |
T3 2015 | 96,81 | 106,66 | 107,82 | 117,42 |
T4 2015 | 97,54 | 106,72 | 109,08 | 118,42 |
T1 2016 | 98,2 | 107,56 | 109,38 | 118,69 |
T2 2016 | 99,36 | 107,31 | 109,76 | 119,88 |
T3 2016 | 99,45 | 107,57 | 110,22 | 119,27 |
T4 2016 | 98,84 | 108,78 | 110,83 | 119,06 |
T1 2017 | 98,96 | 109,29 | 110,52 | 119,13 |
T2 2017 | 99,25 | 110,06 | 111,71 | 119,68 |
T3 2017 | 98,79 | 110,41 | 111,58 | 118,83 |
T4 2017 | 99,64 | 111,64 | 112,13 | 118,7 |
T1 2018 | 100,87 | 112,63 | 111,94 | 116,65 |
T2 2018 | 100,47 | 113,54 | 111,79 | 115,53 |
T3 2018 | 100,97 | 114,49 | 111,84 | 114,92 |
T4 2018 | 100,23 | 114,46 | 111,92 | 115,24 |
T1 2019 | 104,08 | 114,57 | 114,34 | 116,46 |
- Notes : données CVS, en fin de trimestre. Les données du dernier trimestre affiché sont provisoires.
- Champ : emploi salarié total.
- Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Acoss-Urssaf, Dares, Insee.
graphiqueFigure 2 – L’emploi augmente pour la plupart des secteurs au 1ᵉʳ trimestre 2019Évolution de l'emploi salarié par secteur en La Réunion
tableauFigure 3 – L’emploi salarié rebondit dans la construction et l’intérimÉvolution de l’emploi salarié par secteur détaillé d’activité à La Réunion
Emploi salarié en niveau (en milliers) | T1 2019 / T4 2018 (en %) | T1 2019 / T1 2018 (en %) | |
---|---|---|---|
Ensemble | 258,4 | 1,7 | 1,2 |
Privé | 173,7 | 2,1 | 2,3 |
Public | 84,7 | 0,8 | -1,1 |
Par secteur d'activité | |||
Agriculture | 3,1 | -1,0 | 2,9 |
Industrie | 18,5 | 0,1 | 1,7 |
dont Agro-alimentaire | 7,1 | 1,0 | 3,2 |
Construction | 14,7 | 3,8 | 3,2 |
Tertiaire marchand | 111,4 | 2,2 | 2,1 |
Commerce | 33,7 | 1,3 | 2,7 |
Transport | 12,5 | 1,7 | 2,9 |
Hébergement et restauration | 9,4 | 7,5 | 10,0 |
Information et communication | 3,9 | 0,0 | -3,8 |
Services financiers | 6,2 | 1,2 | 2,5 |
Services immobiliers | 2,0 | 2,9 | 1,2 |
services aux entreprises* | 23,9 | 1,7 | 3,7 |
Interim | 4,2 | 7,3 | -0,8 |
Services au ménages | 19,8 | 2,9 | -3,2 |
Tertiaire non marchand | 106,6 | 1,1 | -0,2 |
- * hors interim.
- Note : Données CVS, en fin de trimestre.
- Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Acoss-Urssaf, Dares, Insee.
La construction de logements bien orientée
D’avril 2018 à mars 2019, la construction de logements a crû légèrement à La Réunion par rapport à la même période un an auparavant : 7 600 permis de construire ont été délivrés dans la région, soit 1 % de plus (figure 4). En France hors Mayotte, les autorisations de construire sont en repli sur la période (- 9 %).
À La Réunion, les autorisations de construire diminuent fortement pour les logements individuels (- 5 %), alors qu’elles poursuivent leur progression pour les logements collectifs, avec 4 000 logements collectifs autorisés (+ 12 %).
De leur côté, les mises en chantier de logements augmentent de 3 % à La Réunion entre avril 2018 et mars 2019 par rapport à la même période un an auparavant. Sur un an, 6 600 logements ont été commencés. Si les mises en chantier dans l’habitat collectif progressent fortement (+ 14 %), elles chutent en revanche pour les logements individuels (- 19 %). Au niveau national, les mises en chantier baissent (- 4 % sur un an).
tableauFigure 4 – Hausse des permis de construire de logementsÉvolution du nombre de logements autorisés à la construction
La Réunion | France hors Mayotte | |
---|---|---|
déc. 2010 | 100 | 100 |
janv. 2011 | 97,87 | 101,59 |
févr. 2011 | 96,81 | 101,8 |
mars 2011 | 100 | 101,24 |
avril 2011 | 98,94 | 101,05 |
mai 2011 | 104,26 | 102,66 |
juin 2011 | 101,06 | 102,92 |
juil. 2011 | 95,74 | 103,1 |
août 2011 | 95,74 | 104,3 |
sept. 2011 | 86,17 | 105,85 |
oct. 2011 | 86,17 | 106,54 |
nov. 2011 | 87,23 | 107,57 |
déc. 2011 | 89,36 | 108,66 |
janv. 2012 | 92,55 | 108,43 |
févr. 2012 | 92,55 | 108,64 |
mars 2012 | 94,68 | 108,6 |
avril 2012 | 101,06 | 109,06 |
mai 2012 | 103,19 | 107,66 |
juin 2012 | 102,13 | 107,15 |
juil. 2012 | 104,26 | 106,36 |
août 2012 | 103,19 | 106,54 |
sept. 2012 | 101,06 | 104,34 |
oct. 2012 | 102,13 | 103,84 |
nov. 2012 | 100 | 102,77 |
déc. 2012 | 96,81 | 100,96 |
janv. 2013 | 92,55 | 101,07 |
févr. 2013 | 93,62 | 102,54 |
mars 2013 | 87,23 | 102,87 |
avril 2013 | 84,04 | 101,17 |
mai 2013 | 86,17 | 99,22 |
juin 2013 | 86,17 | 97,5 |
juil. 2013 | 92,55 | 95,53 |
août 2013 | 89,36 | 92,45 |
sept. 2013 | 91,49 | 90,96 |
oct. 2013 | 89,36 | 90,37 |
nov. 2013 | 89,36 | 89,57 |
déc. 2013 | 88,3 | 88,67 |
janv. 2014 | 88,3 | 86,57 |
févr. 2014 | 87,23 | 83,55 |
mars 2014 | 95,74 | 82,63 |
avril 2014 | 90,43 | 81,39 |
mai 2014 | 90,43 | 81,41 |
juin 2014 | 91,49 | 81,46 |
juil. 2014 | 87,23 | 81,81 |
août 2014 | 86,17 | 81,6 |
sept. 2014 | 87,23 | 81,75 |
oct. 2014 | 89,36 | 80,83 |
nov. 2014 | 87,23 | 79,9 |
déc. 2014 | 87,23 | 79,78 |
janv. 2015 | 88,3 | 79,55 |
févr. 2015 | 86,17 | 79,02 |
mars 2015 | 80,85 | 78,14 |
avril 2015 | 86,17 | 79,13 |
mai 2015 | 80,85 | 78,6 |
juin 2015 | 78,72 | 79,5 |
juil. 2015 | 75,53 | 79,34 |
août 2015 | 78,72 | 80,26 |
sept. 2015 | 79,79 | 81,1 |
oct. 2015 | 76,6 | 81,75 |
nov. 2015 | 78,72 | 83,72 |
déc. 2015 | 80,85 | 84,96 |
janv. 2016 | 78,72 | 85,29 |
févr. 2016 | 81,91 | 86,76 |
mars 2016 | 81,91 | 87,06 |
avril 2016 | 82,98 | 87,98 |
mai 2016 | 81,91 | 89,95 |
juin 2016 | 86,17 | 90,31 |
juil. 2016 | 87,23 | 91,23 |
août 2016 | 85,11 | 92,34 |
sept. 2016 | 82,98 | 94,5 |
oct. 2016 | 81,91 | 95,22 |
nov. 2016 | 82,98 | 96,1 |
déc. 2016 | 82,98 | 97,19 |
janv. 2017 | 85,11 | 97,88 |
févr. 2017 | 84,04 | 97,99 |
mars 2017 | 81,91 | 100,08 |
avril 2017 | 77,66 | 99,94 |
mai 2017 | 78,72 | 100,73 |
juin 2017 | 76,6 | 101,78 |
juil. 2017 | 75,53 | 103,08 |
août 2017 | 81,91 | 103,48 |
sept. 2017 | 80,85 | 103,67 |
oct. 2017 | 84,04 | 104,07 |
nov. 2017 | 84,04 | 103,13 |
déc. 2017 | 82,98 | 102,81 |
janv. 2018 | 81,91 | 102,98 |
févr. 2018 | 81,91 | 103,52 |
mars 2018 | 79,79 | 102,1 |
avril 2018 | 78,72 | 102,06 |
mai 2018 | 76,6 | 101,74 |
juin 2018 | 77,66 | 100,34 |
juil. 2018 | 81,91 | 98,99 |
août 2018 | 78,72 | 98,57 |
sept. 2018 | 84,04 | 97,67 |
oct. 2018 | 80,85 | 97,38 |
nov. 2018 | 78,72 | 97,15 |
déc. 2018 | 78,72 | 95,66 |
janv. 2019 | 80,85 | 95,28 |
févr. 2019 | 79,79 | 93,85 |
mars 2019 | 81,91 | 93,31 |
avril 2019 | 81,91 | 93,6 |
mai 2019 | 81,91 | 92,99 |
- Notes : données mensuelles brutes, en date réelle. Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
- La ligne verticale rouge représente la fin du trimestre d'intérêt.
- Source : SDES, Sit@del2.
graphiqueFigure 4 – Hausse des permis de construire de logementsÉvolution du nombre de logements autorisés à la construction
La fréquentation hôtelière se maintient
Au 1er trimestre 2019, les hôtels et les autres hébergements collectifs touristiques totalisent 357 000 nuitées à La Réunion (figure 5, avertissements).
Après trois années de hausse continue, la fréquentation hôtelière se stabilise par rapport au 1er trimestre 2018 et reste à un niveau élevé (282 000 nuitées).
En complément des hôtels, 75 000 nuitées ont été enregistrées dans les autres hébergements collectifs touristiques au 1er trimestre 2019 à La Réunion. Il s’agit principalement de résidences de tourisme et hôtelières ou de villages vacances.
Les hôtels du Sud retrouvent des couleurs (+ 14 %) après avoir connu un 1er trimestre 2018 morose suite aux intempéries. À l’inverse, la fréquentation des hôtels du Nord-Est plonge (- 10 %), principalement à cause de la fermeture d’un grand établissement.
tableauFigure 5 – La fréquentation hôtelière se stabilise à un niveau élevéÉvolution de la fréquentation dans les hôtels
La Réunion | France entière | |
---|---|---|
T4 2010 | 100 | 100 |
T1 2011 | 104,1 | 100,4 |
T2 2011 | 107,4 | 101,2 |
T3 2011 | 109,6 | 102,0 |
T4 2011 | 111,9 | 102,9 |
T1 2012 | 112,0 | 103,3 |
T2 2012 | 111,8 | 102,9 |
T3 2012 | 111,6 | 102,6 |
T4 2012 | 110,0 | 102,7 |
T1 2013 | 110,1 | 102,6 |
T2 2013 | 110,6 | 102,4 |
T3 2013 | 111,7 | 102,4 |
T4 2013 | 112,3 | 102,2 |
T1 2014 | 110,3 | 101,7 |
T2 2014 | 108,8 | 101,7 |
T3 2014 | 107,3 | 101,7 |
T4 2014 | 106,6 | 102,0 |
T1 2015 | 107,3 | 102,3 |
T2 2015 | 110,4 | 102,5 |
T3 2015 | 113,9 | 103,0 |
T4 2015 | 119,0 | 102,3 |
T1 2016 | 124,3 | 102,7 |
T2 2016 | 127,2 | 101,7 |
T3 2016 | 131,4 | 100,4 |
T4 2016 | 133,2 | 101,5 |
T1 2017 | 133,8 | 102,1 |
T2 2017 | 135,8 | 103,8 |
T3 2017 | 138,0 | 105,6 |
T4 2017 | 139,5 | 106,7 |
T1 2018 | 140,3 | 107,73 |
T2 2018 | 141,5 | 108,2 |
T3 2018 | 141,7 | 108,8 |
T4 2018 | 138,1 | 109,2 |
T1 2019 | 137,9 | 108,9 |
- cumul sur 12 mois.
- Champ : hors « autres hébergements collectifs touristiques pour La Réunion.
- Source : Insee et DGE, enquêtes de fréquentation hôtelière.
graphiqueFigure 5 – La fréquentation hôtelière se stabilise à un niveau élevéÉvolution de la fréquentation dans les hôtels
tableauFigure 6 – Augmentation de la fréquentation hôtelière dans le SudÉvolution de la fréquentation hôtelière par microrégions à La Réunion
Nord-Est | Ouest | Sud | |
---|---|---|---|
T1 2011 | 107,4 | 102,9 | 103,4 |
T2 2011 | 113,9 | 105,9 | 104,5 |
T3 2011 | 118,4 | 108,1 | 104,8 |
T4 2011 | 123,4 | 109,7 | 105,7 |
T1 2012 | 124,5 | 110,7 | 103,5 |
T2 2012 | 124,1 | 110,9 | 102,7 |
T3 2012 | 124,1 | 110,9 | 102,1 |
T4 2012 | 122,2 | 110,1 | 99,3 |
T1 2013 | 122,0 | 110,7 | 98,4 |
T2 2013 | 122,3 | 111,3 | 98,9 |
T3 2013 | 122,3 | 112,7 | 100,7 |
T4 2013 | 121,3 | 113,6 | 102,0 |
T1 2014 | 119,1 | 110,6 | 102,1 |
T2 2014 | 117,4 | 108,8 | 101,3 |
T3 2014 | 116,6 | 107,7 | 98,4 |
T4 2014 | 116,6 | 106,8 | 97,6 |
T1 2015 | 115,3 | 108,8 | 97,6 |
T2 2015 | 118,5 | 112,1 | 100,2 |
T3 2015 | 122,3 | 114,8 | 103,9 |
T4 2015 | 124,4 | 120,3 | 109,0 |
T1 2016 | 128,5 | 126,0 | 114,6 |
T2 2016 | 130,5 | 130,0 | 116,3 |
T3 2016 | 132,0 | 135,7 | 121,2 |
T4 2016 | 133,2 | 139,1 | 122,4 |
T1 2017 | 133,8 | 139,2 | 123,8 |
T2 2017 | 134,9 | 140,6 | 127,7 |
T3 2017 | 137,9 | 142,0 | 130,8 |
T4 2017 | 142,3 | 142,0 | 132,6 |
T1 2018 | 144,3 | 144,2 | 129,6 |
T2 2018 | 142,9 | 146,6 | 130,6 |
T3 2018 | 139,2 | 148,8 | 130,7 |
T4 2018 | 130,4 | 147,3 | 127,8 |
T1 2019 | 126,7 | 146,5 | 131,6 |
- Note : cumul sur 12 mois.
- Champ : hors "autres hébergements collectifs touristiques" pour La Réunion.
- Source : Insee et DGE, enquêtes de fréquentation hôtelière.
graphiqueFigure 6 – Augmentation de la fréquentation hôtelière dans le SudÉvolution de la fréquentation hôtelière par microrégions à La Réunion
Les clients séjournent en majorité dans les hôtels de moyenne et haute gammes. Ces établissements classés 3, 4 et 5 étoiles réalisent 77 % des nuitées hôtelières de La Réunion au 1er trimestre 2019. La fréquentation est particulièrement dynamique dans les hôtels classés 4 et 5 étoiles (+ 3 %). À l’inverse, elle recule dans les hôtels non classés (- 7 %).
Reprise des créations d’entreprises
Au 1er trimestre 2019, 1 703 entreprises ont été créées à La Réunion dans l’ensemble des secteurs marchands non agricoles. Après un fort repli au trimestre précédent suite aux mouvements sociaux de novembre-décembre, le nombre de créations d’entreprises repart à la hausse (+ 11 % par rapport au 4e trimestre 2018 et + 2 % par rapport au 3e trimestre 2018, figure 7). Au niveau national, la création d’entreprises progresse également par rapport au 4e trimestre 2018 (+ 8%).
tableauFigure 7 – Augmentation des créations d’entreprises à La RéunionCréations d'entreprises
La Réunion hors micro-entrepreneurs | France entière hors micro-entrepreneurs | La Réunion y compris micro-entrepreneurs | France entière y compris micro-entrepreneurs | |
---|---|---|---|---|
T4 2010 | 100 | 100 | 100 | 100 |
T1 2011 | 70,1 | 99,19 | 78,13 | 91,5 |
T2 2011 | 81,01 | 98,31 | 86,34 | 91,88 |
T3 2011 | 75,97 | 99,04 | 83,74 | 91,77 |
T4 2011 | 70,04 | 99,02 | 76,26 | 92,7 |
T1 2012 | 66,75 | 94,78 | 75,62 | 94,08 |
T2 2012 | 60,99 | 91,65 | 67,11 | 91,83 |
T3 2012 | 64,11 | 92,24 | 72,04 | 91,49 |
T4 2012 | 67,88 | 93,17 | 74,3 | 89,9 |
T1 2013 | 68,36 | 100,15 | 72,72 | 90,63 |
T2 2013 | 73,7 | 101,24 | 72,26 | 90 |
T3 2013 | 69,32 | 101,7 | 68,3 | 89,37 |
T4 2013 | 67,23 | 104,08 | 64,89 | 91,57 |
T1 2014 | 70,58 | 103,67 | 69,45 | 92,07 |
T2 2014 | 69,68 | 103,22 | 64,43 | 91,66 |
T3 2014 | 70,22 | 101,95 | 65,79 | 93,15 |
T4 2014 | 84,42 | 103,47 | 74,38 | 93,43 |
T1 2015 | 67,53 | 110,96 | 60,89 | 87,53 |
T2 2015 | 72,38 | 115,46 | 64,13 | 87,2 |
T3 2015 | 75,13 | 118,26 | 64,6 | 88,02 |
T4 2015 | 71,54 | 120,46 | 61,57 | 89,47 |
T1 2016 | 77,77 | 122,56 | 66,21 | 90,78 |
T2 2016 | 76,09 | 128,01 | 65,57 | 95,13 |
T3 2016 | 73,94 | 130,14 | 62,51 | 92,23 |
T4 2016 | 73,04 | 127 | 63,28 | 92,13 |
T1 2017 | 75,49 | 129,82 | 64,6 | 95,05 |
T2 2017 | 74,24 | 130,7 | 64,38 | 94,86 |
T3 2017 | 78,37 | 135,71 | 67,57 | 99,7 |
T4 2017 | 81,85 | 142,38 | 71,28 | 107,42 |
T1 2018 | 79,99 | 143,29 | 72,26 | 111,13 |
T2 2018 | 77,17 | 148,95 | 71,02 | 115,48 |
T3 2018 | 75,97 | 148,14 | 71,28 | 116,13 |
T4 2018 | 70,28 | 151,31 | 65,4 | 121,96 |
T1 2019 | 72,92 | 157,08 | 72,47 | 131,84 |
- Note : données trimestrielles corrigées des variations saisonnières (CVS).
- Champ : ensemble des activités marchandes hors agriculture.
- Source : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene).
graphiqueFigure 7 – Augmentation des créations d’entreprises à La RéunionCréations d'entreprises
Après avoir chuté le trimestre précédent, les immatriculations sous le statut de micro-entrepreneurs augmentent (+ 33 % après - 11 %) La part des micro-entrepreneurs dans l’ensemble des créations progresse ainsi de 5 points et s’établit à 28 %, effaçant largement la baisse du 4e trimestre 2018. Hors micro-entrepreneurs, les créations augmentent plus modérément (+ 4 %).
Tous les secteurs d’activité sont concernés par cette reprise. Le secteur de la construction connaît la plus forte progression (+ 17 % après une baisse de 12 %). Cependant, c’est le secteur du « commerce, transport, restauration et hébergement » qui participe le plus à la hausse globale et atteint ainsi son plus haut niveau depuis le 1er trimestre 2016 avec 590 créations. En revanche, dans le secteur des services (hors commerces), la création d’entreprise est moins dynamique : + 6 %, mais ce secteur reste dominant et concentre toujours la moitié des créations.
Par rapport au 1er trimestre 2018, le nombre de créations d’entreprises est stable à La Réunion. Au niveau national, il progresse de 19 %, porté notamment par le secteur « transports et entreposage ».
Emploi
Depuis la publication de juillet 2018, portant sur le premier trimestre 2018, le champ des estimations trimestrielles d'emploi (ETE) publiées au niveau localisé (région et département) est étendu aux départements d'outre-mer (hors Mayotte) et à l'ensemble de l'emploi salarié. Par rapport à la situation antérieure, sont donc ajoutés les salariés de la fonction publique, de l'agriculture et de l'ensemble des particuliers employeurs.
De plus, les niveaux de l’emploi « privé » publiés par les Urssaf et par l’Insee diffèrent du fait d’écarts de champ et de concept, et de légères différences peuvent exister sur les taux d’évolution.
Enfin, l'introduction de la déclaration sociale nominative (DSN) en remplacement du bordereau récapitulatif de cotisations (BRC) peut entraîner des révisions accrues sur les données, durant la phase de montée en charge de la DSN.
Fréquentation touristique - Révision des séries concernant les hôtels à compter du 1er janvier 2019
À partir du 1er janvier 2019, les données des hôtels non répondants sont imputées au moyen d’une nouvelle méthode, en fonction de leurs caractéristiques. Cette nouvelle méthode d’imputation de la non-réponse tend à revoir légèrement à la baisse le nombre total de nuitées mais n’a pas d’impact sur les évolutions trimestrielles. Les données sont inchangées pour les autres modes d’hébergement, notamment les AHCT.
Fréquentation touristique - Un champ d’enquête étendu
À compter de ce trimestre, le champ de l’enquête est étendu aux autres hébergements collectifs touristiques (AHCT), de cinq unités d’hébergements ou plus, qu’ils soient classés ou non.
Les présents résultats portent donc à La Réunion sur 74 hôtels (dont 53 sont classés et 21 non classés) et 35 AHCT (dont deux ont une classification par Atout France).
Contexte national – La croissance française serait surtout soutenue par la demande intérieure
Au premier trimestre 2019, la croissance française s’est établie à +0,3 %, portée par la demande intérieure. En particulier, la consommation des ménages a été soutenue par un pouvoir d’achat dynamique, tandis que le commerce extérieur a pesé sur la croissance. Les créations d’emploi salarié marchand non agricole ont en outre été très élevées (+92 000 créations nettes).
D’ici fin 2019, l’économie française conserverait le même rythme de croissance trimestrielle, selon la Note de conjoncture nationale de l’Insee. Le pouvoir d’achat des ménages progresserait de +2,3 % sur l’année, soutenant la consommation qui serait ainsi la principale contribution à la croissance, malgré un taux d’épargne restant élevé. Le commerce extérieur pèserait à nouveau sur l’activité, contrairement à l’an dernier.
En moyenne annuelle, le PIB croîtrait de 1,3 % en 2019 (après +1,7 % en 2018). Le chômage poursuivrait sa baisse et s’établirait à 8,3 % fin 2019.
Contexte international – Dans un environnement international moins porteur, les principaux pays de la zone euro mettent en place des mesures de soutien budgétaire
Marqué notamment par les tensions commerciales parties des États-Unis et par la perspective du Brexit, l’environnement international paraît moins porteur que l’an dernier. Les banques centrales comme les différents gouvernements ont néanmoins pris acte du risque de ralentissement et ajustent en conséquence leur politique économique. Début 2019, les principaux pays de la zone euro ont ainsi pour la plupart mis en place, d’une manière ou d’une autre, des mesures de soutien budgétaire. Le pouvoir d’achat accélérerait donc en zone euro (+2,5 % en moyenne annuelle prévu en 2019), contribuant à limiter le ralentissement économique de la zone (+1,2 % prévu, après +1,9 % en 2018).
Pour comprendre
Les estimations trimestrielles de l'emploi salarié sont élaborées à partir de différentes sources :
- les déclarations de cotisations sociales des établissements faites aux Urssaf (unions de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d’allocations familiales) et Caisses générales de sécurité sociale (CGSS), soit sous forme de bordereaux récapitulatifs de cotisations (BRC), soit de déclarations sociales nominatives (DSN) ;
- les fichiers de paie pour les personnels de la fonction publique d’État ;
- les déclarations de cotisations sociales collectées par la mutualité sociale agricole (MSA) ;
- les déclarations d’emploi des particuliers employeurs provenant de trois formalités administratives : déclaration nominative simplifiée (DNS), chèque emploi service universel (Cesu) et prestation d’accueil du jeune enfant (Paje) ;
- les déclarations mensuelles des entreprises de travail temporaire (ETT) adressées à Pôle emploi, auxquelles se sont progressivement substituées les déclarations sociales nominatives (DSN) à compter de mi-2016.
Définitions
Les services aux entreprises correspondent aux activités scientifiques et techniques, qui regroupent les activités juridiques, comptables, de gestion, d’architecture, d'ingénierie, de contrôle et d'analyses techniques, ainsi qu’aux activités de services administratifs et de soutien, qui regroupent les activités liées à l’emploi (hors intérim), aux agences de voyage, aux activités de location et à la sécurité.
Les services aux ménages sont majoritairement composés des activités des organisations associatives. Elles comportent également les activités d’arts et spectacles, des activités récréatives et d’autres services personnels.
Pour en savoir plus
Les séries longues sur le « Tableau de bord de la conjoncture à La Réunion » ;
Ouvrir dans un nouvel ongletTableau de bord économique de La Réunion, Cerom, mars 2019 ;
Ouvrir dans un nouvel ongletComptes économiques rapides de La Réunion en 2018 - La croissance décroche, Cerom, juin 2019 ;
Ouvrir dans un nouvel ongletConstruction neuve à La Réunion - Note de conjoncture, Deal La Réunion, mai 2019 ;
J. Pouget, F. Tallet, J. Grangier, L. Viard-Guillot, « Entre risques commerciaux et soutiens budgétaires », Note de conjoncture, juin 2019.