Tableau de bord de la conjoncture : Bourgogne-Franche-Comté

Chiffres-clés
Paru le :Paru le02/07/2024
- Juillet 2024

Indicateurs clés de la région Bourgogne-Franche-Comté

Indicateurs clés de la région Bourgogne-Franche-Comté
Indicateurs clés régionaux Date de mise à jour Type et date de valeur Valeur Tendance/période précédente ¹
Régionale Nationale
Activité économique
Heures rémunérées (évolution en % par rapport au même mois de l'année précédente) ** 31 mai 2024 Évolution en % - avr. 2024 0,3
Emploi
Emploi salarié total (en milliers) ** 20 juin 2024 CVS - 1ᵉ trim. 2024 998,9
Emploi salarié privé (en milliers) ** 20 juin 2024 CVS - 1ᵉ trim. 2024 754,5
Emplois intérimaires (en milliers) ** 20 juin 2024 CVS - 1ᵉ trim. 2024 33,4
Chômage
Taux de chômage (en %) ** 20 juin 2024 CVS - 1ᵉ trim. 2024 6,6
Marché du travail
Demandeurs d'emploi (A, B, C) ** 25 avr. 2024 CVS - 1ᵉ trim. 2024 196 080
Offres d'emploi (en milliers) ** 26 avr. 2024 CVS-CJO - 1ᵉ trim. 2024 13,7
Entreprises
Créations d'entreprises * 26 avr. 2024 CVS-CJO - 1ᵉ trim. 2024 8 220
Défaillances d'entreprises * 28 juin 2024 brute - cumul annuel au 1ᵉ trim. 2024 2 080
Construction neuve
Logements autorisés ** 28 juin 2024 CVS-CJO - mai 2024 642
Logements commencés ** 28 juin 2024 CVS-CJO - mai 2024 565
Locaux autorisés (en milliers de m²) * 28 juin 2024 CVS-CJO - mai 2024 161
Locaux commencés (en milliers de m²) * 28 juin 2024 CVS-CJO - mai 2024 57
Tourisme
Hôtellerie (en milliers de nuitées) * 12 juin 2024 brute - avr. 2024 510
Hôtellerie de plein air (camping) (en milliers de nuitées) *** 09 nov. 2023 brute - saison 2023 3 500
Autres hébergements collectifs touristiques (en milliers de nuitées) *** 12 juin 2024 brute - avr. 2024 70
Indicateurs sociaux
Revenu de solidarité active (RSA) (en milliers) * 13 juin 2024 mars 2024 57,2
Prime d’activité (en milliers) * 13 juin 2024 mars 2024 180,6
  • Note : la plupart des données sont susceptibles d'être révisées d'un mois (ou trimestre) à l'autre.
  • Pour la comparaison nationale : * France ; ** France hors Mayotte ; *** France métropolitaine.
  • ¹ : la tendance par rapport à la période précédente est la comparaison par rapport au mois ou au trimestre précédent sauf :
  • - heures rémunérées et indicateurs sociaux : comparaison de l'évolution par rapport au même mois de l'année précédente ;
  • - défaillances d'entreprises : glissement du cumul annuel sur un trimestre ;
  • - hôtellerie et autres hébergements collectifs touristiques : évolution par rapport au même mois de l'année précédente ;
  • - hôtellerie de plein air : évolution de la saison par rapport à la saison précédente.
Avertissements

Avertissement sur les heures rémunérées

Pour les mois de décembre 2023 et janvier 2024, dans le secteur de la construction, la variation des heures rémunérées n’est pas représentative de la variation de l’activité qu’elle est censée illustrer. Les heures rémunérées dans la construction sont, dans quasiment toutes les régions, par rapport au même mois de l’année précédente, en forte augmentation en décembre 2023 et en forte baisse en janvier 2024. Ces évolutions viennent du fait que, dans la construction, les congés des salariés ne sont pas rémunérés directement par l’employeur mais par des caisses indépendantes et ne sont donc pas pris en compte. Or le positionnement atypique des vacances scolaires a entrainé, par rapport à l’année précédente, moins de congés en décembre 2023 et davantage en janvier 2024.

Avertissement sur les demandeurs d'emploi en fin de mois

Une expérimentation d’accompagnement renforcé vers l’emploi des bénéficiaires du RSA (BRSA) a été initiée en avril 2023 dans 18 territoires puis étendue en mars 2024 à 29 nouvelles zones portant à 47 le nombre de territoires concernés (au niveau national) par l'accompagnement rénové des bénéficiaires du RSA. Elle conduit à enregistrer progressivement à France travail l’ensemble des BRSA de ces territoires. Fin mars 2024, cette expérimentation concerne environ 24 800 personnes dont 16 500 sont comptabilisées comme demandeurs d’emploi. Les effets du déploiement de cette expérimentation se poursuivront jusqu'à la fin de l'année 2024.
Des informations complémentaires sont disponibles sur la dernière publication Ouvrir dans un nouvel ongletDares Indicateurs.

En avril 2024, les heures rémunérées sont proches de leur niveau d’un an auparavant

Figure 1Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Bourgogne-Franche-Comté

(en %)
Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Bourgogne-Franche-Comté ((en %))
Industrie Construction Services principalement marchands Services principalement non marchands Ensemble
janv. 2022 1,1 1,7 8,0 2,5 4,7
févr. 2022 1,9 2,6 10,5 2,3 6,2
mars 2022 2,2 2,4 11,4 2,8 6,7
avr. 2022 0,6 1,0 13,8 2,9 7,3
mai 2022 4,9 4,5 11,7 3,8 8,0
juin 2022 1,2 -0,8 4,9 2,8 3,1
juil. 2022 -0,7 -1,0 1,9 2,3 1,0
août 2022 2,4 -0,1 2,4 3,3 2,3
sept. 2022 2,6 0,0 2,1 2,6 2,1
oct. 2022 1,6 -1,0 1,3 2,8 1,4
nov. 2022 1,5 0,9 1,1 3,0 1,4
déc. 2022 0,8 1,7 0,9 2,7 1,2
janv. 2023 2,8 -1,3 2,9 3,8 2,6
févr. 2023 1,0 1,0 1,5 2,7 1,5
mars 2023 0,8 -0,7 0,7 1,8 0,8
avr. 2023 -0,5 -0,8 0,4 1,6 0,2
mai 2023 0,0 -1,4 0,7 1,1 0,4
juin 2023 1,3 0,8 0,6 1,9 1,0
juil. 2023 0,4 -1,1 0,6 1,6 0,5
août 2023 -0,8 -2,3 0,4 2,4 0,2
sept. 2023 -1,9 -1,7 0,1 2,1 -0,4
oct. 2023 -0,2 -1,4 0,7 2,5 0,5
nov. 2023 -1,1 -3,1 0,1 2,1 -0,3
déc. 2023 -1,5 4,3 0,0 1,5 0,1
janv. 2024 -1,3 -5,0 0,7 2,3 -0,1
févr. 2024 -2,0 -1,7 0,3 2,6 -0,2
mars 2024 -3,3 -3,4 -0,6 1,4 -1,3
avr. 2024 0,2 -2,5 0,3 2,7 0,3
  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 1Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Bourgogne-Franche-Comté

  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 2Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Bourgogne-Franche-Comté

(en points)
Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Bourgogne-Franche-Comté ((en points))
Industrie Construction Services principalement marchands Services principalement non marchands Évolution totale
janv. 2022 0,3 0,1 3,9 0,3 4,7
févr. 2022 0,6 0,2 5,1 0,3 6,2
mars 2022 0,6 0,2 5,5 0,4 6,7
avr. 2022 0,2 0,1 6,6 0,4 7,3
mai 2022 1,4 0,4 5,7 0,5 8,0
juin 2022 0,3 -0,1 2,4 0,4 3,1
juil. 2022 -0,2 -0,1 1,0 0,3 1,0
août 2022 0,7 0,0 1,3 0,4 2,3
sept. 2022 0,7 0,0 1,1 0,3 2,1
oct. 2022 0,4 -0,1 0,6 0,4 1,4
nov. 2022 0,4 0,1 0,6 0,4 1,4
déc. 2022 0,2 0,1 0,5 0,3 1,2
janv. 2023 0,8 -0,1 1,5 0,5 2,6
févr. 2023 0,3 0,1 0,8 0,3 1,5
mars 2023 0,2 -0,1 0,4 0,2 0,8
avr. 2023 -0,1 -0,1 0,2 0,2 0,2
mai 2023 0,0 -0,1 0,4 0,1 0,4
juin 2023 0,3 0,1 0,3 0,2 1,0
juil. 2023 0,1 -0,1 0,3 0,2 0,5
août 2023 -0,2 -0,1 0,2 0,3 0,2
sept. 2023 -0,5 -0,2 0,1 0,3 -0,4
oct. 2023 -0,1 -0,1 0,4 0,3 0,5
nov. 2023 -0,3 -0,3 0,1 0,3 -0,3
déc. 2023 -0,4 0,3 0,0 0,2 0,1
janv. 2024 -0,4 -0,4 0,4 0,3 -0,1
févr. 2024 -0,5 -0,1 0,1 0,3 -0,2
mars 2024 -0,9 -0,3 -0,3 0,2 -1,3
avr. 2024 0,0 -0,2 0,2 0,3 0,3
  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 2Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Bourgogne-Franche-Comté

  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Au premier trimestre 2024, l’emploi salarié total demeure à un niveau élevé

Figure 3Emploi salarié total

Emploi salarié total
Zonage Emplois (en milliers) Variation (en %)
1ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Côte-d'Or 221,1 222,3 222,8 0,2 0,8
Doubs 200,1 202,9 202,9 0,0 1,4
Jura 87,7 87,9 88,0 0,1 0,4
Nièvre 64,4 64,4 64,5 0,1 0,1
Haute-Saône 70,0 69,4 69,4 0,0 -0,8
Saône-et-Loire 192,4 191,4 191,9 0,3 -0,3
Yonne 110,2 109,7 109,7 -0,0 -0,4
Territoire de Belfort 49,9 49,8 49,5 -0,7 -0,7
Bourgogne-Franche-Comté 995,8 998,0 998,9 0,1 0,3
France hors Mayotte 26 963,0 27 073,6 27 148,7 0,3 0,7

Figure 4Évolution de l'emploi salarié total par département

(en % par rapport au trimestre précédent)
Évolution de l'emploi salarié total par département ((en % par rapport au trimestre précédent))
4ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024
Côte-d'Or 0,2 0,2
Doubs 0,3 0,0
Jura -0,2 0,1
Nièvre -0,4 0,1
Haute-Saône -0,1 0,0
Saône-et-Loire -0,3 0,3
Yonne -0,1 0,0
Territoire de Belfort 0,2 -0,7
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 4Évolution de l'emploi salarié total par département

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 5Emploi salarié en Bourgogne-Franche-Comté par grand secteur

Emploi salarié en Bourgogne-Franche-Comté par grand secteur
Secteur d'activité Emplois (en milliers) Variation (en %) France hors Mayotte - Variation (en %)
1ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle trimestrielle annuelle
Agriculture 17,8 18,0 18,1 0,4 2,0 -0,3 -0,0
Industrie 168,3 168,5 168,5 0,0 0,1 0,2 1,1
Construction 54,9 54,5 54,2 -0,5 -1,2 -0,6 -1,3
Tertiaire non marchand 349,5 353,5 354,2 0,2 1,4 0,3 1,2
Tertiaire marchand 405,3 403,4 403,7 0,1 -0,4 0,4 0,5
dont commerce 127,2 127,2 126,9 -0,2 -0,2 0,1 0,3
dont intérim 36,5 33,8 33,4 -1,3 -8,5 -0,1 -4,7
Ensemble 995,8 998,0 998,9 0,1 0,3 0,3 0,7
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Pour l’agriculture, les données de la source MSA étant livrées avec retard, l’Insee réalise une estimation en exploitant directement les déclarations administratives (DSN) depuis le 1ᵉʳ trimestre de 2018.
  • Accès aux séries longues "estimations d'emploi salarié par secteur d'activité (Régions et Départements)".
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 6Évolution de l'emploi salarié par secteur - Bourgogne-Franche-Comté

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de l'emploi salarié par secteur - Bourgogne-Franche-Comté ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Construction Industrie Tertiaire marchand hors intérim Tertiaire non marchand
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 99,9 100,1 100,5 99,8
2ᵉ trim. 2018 99,9 100,2 100,5 99,1
3ᵉ trim. 2018 100,5 99,9 100,9 98,8
4ᵉ trim. 2018 100,3 99,9 101,3 99,0
1ᵉ trim. 2019 100,9 99,8 101,9 99,0
2ᵉ trim. 2019 101,2 99,8 101,5 99,2
3ᵉ trim. 2019 101,5 99,5 101,2 99,1
4ᵉ trim. 2019 101,7 99,3 102,1 99,3
1ᵉ trim. 2020 101,1 98,7 101,1 99,1
2ᵉ trim. 2020 101,5 98,1 99,7 98,4
3ᵉ trim. 2020 102,6 97,7 101,4 99,2
4ᵉ trim. 2020 104,1 97,5 101,0 99,8
1ᵉ trim. 2021 105,6 97,8 101,8 99,5
2ᵉ trim. 2021 106,3 98,1 102,7 99,7
3ᵉ trim. 2021 107,2 97,9 103,9 100,1
4ᵉ trim. 2021 107,6 97,9 104,5 99,7
1ᵉ trim. 2022 107,8 97,9 104,9 99,7
2ᵉ trim. 2022 108,2 98,0 105,3 99,6
3ᵉ trim. 2022 108,4 98,3 105,8 99,8
4ᵉ trim. 2022 108,5 98,2 105,9 99,7
1ᵉ trim. 2023 108,1 98,0 106,1 99,9
2ᵉ trim. 2023 108,0 97,9 106,3 100,0
3ᵉ trim. 2023 107,3 97,9 106,3 100,8
4ᵉ trim. 2023 107,3 98,1 106,3 101,1
1ᵉ trim. 2024 106,8 98,2 106,5 101,3
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total hors intérim.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 6Évolution de l'emploi salarié par secteur - Bourgogne-Franche-Comté

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total hors intérim.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au premier trimestre 2024, l’emploi salarié privé est stable

Figure 7Évolution de l'emploi salarié

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de l'emploi salarié ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Emploi salarié total - Bourgogne-Franche-Comté Emploi salarié total - France hors Mayotte Emploi salarié privé - Bourgogne-Franche-Comté Emploi salarié privé - France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,0 100,2 100,1 100,3
2ᵉ trim. 2018 99,7 100,2 99,9 100,4
3ᵉ trim. 2018 99,5 100,3 99,8 100,6
4ᵉ trim. 2018 99,7 100,6 99,8 100,9
1ᵉ trim. 2019 100,1 101,3 100,4 101,7
2ᵉ trim. 2019 100,0 101,4 100,2 101,9
3ᵉ trim. 2019 99,8 101,6 100,0 102,2
4ᵉ trim. 2019 100,0 102,0 100,2 102,6
1ᵉ trim. 2020 97,9 100,3 97,4 100,3
2ᵉ trim. 2020 97,4 99,7 97,0 99,9
3ᵉ trim. 2020 99,1 101,7 99,1 102,1
4ᵉ trim. 2020 99,4 101,8 99,2 102,1
1ᵉ trim. 2021 99,8 102,6 100,0 103,2
2ᵉ trim. 2021 100,3 103,6 100,6 104,5
3ᵉ trim. 2021 101,4 104,5 101,8 105,4
4ᵉ trim. 2021 101,2 105,0 101,7 106,2
1ᵉ trim. 2022 101,3 105,3 101,9 106,6
2ᵉ trim. 2022 101,3 105,8 101,9 107,2
3ᵉ trim. 2022 101,7 106,2 102,4 107,7
4ᵉ trim. 2022 101,8 106,5 102,5 108,2
1ᵉ trim. 2023 101,8 106,7 102,5 108,3
2ᵉ trim. 2023 101,9 106,9 102,5 108,5
3ᵉ trim. 2023 102,0 107,1 102,7 108,7
4ᵉ trim. 2023 102,0 107,1 102,5 108,6
1ᵉ trim. 2024 102,1 107,4 102,6 109,0
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 7Évolution de l'emploi salarié

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

La baisse de l’intérim est moins marquée au premier trimestre 2024 (-1,3%)

Figure 8Emplois intérimaires

Emplois intérimaires
Zonage Emplois (en milliers) Variation (en %)
1ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Côte-d'Or 6,2 5,9 6,0 2,0 -3,5
Doubs 8,0 7,5 7,3 -2,3 -7,8
Jura 3,3 3,3 3,2 -1,3 -1,7
Nièvre 1,9 1,8 1,8 3,1 -4,4
Haute-Saône 3,4 2,9 2,8 -3,6 -17,6
Saône-et-Loire 7,5 6,9 6,9 -0,6 -8,4
Yonne 4,7 4,2 4,1 -4,1 -12,8
Territoire de Belfort 1,6 1,4 1,3 -6,9 -20,0
Bourgogne-Franche-Comté 36,5 33,8 33,4 -1,3 -8,5
France hors Mayotte 793,1 756,3 755,6 -0,1 -4,7

Figure 9Évolution de l'emploi intérimaire

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de l'emploi intérimaire ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Bourgogne-Franche-Comté France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 99,1 100,9
2ᵉ trim. 2018 96,2 99,7
3ᵉ trim. 2018 93,0 99,7
4ᵉ trim. 2018 89,3 96,4
1ᵉ trim. 2019 93,3 100,1
2ᵉ trim. 2019 92,5 99,7
3ᵉ trim. 2019 91,2 99,2
4ᵉ trim. 2019 88,6 96,5
1ᵉ trim. 2020 53,4 59,6
2ᵉ trim. 2020 60,6 72,9
3ᵉ trim. 2020 80,0 88,6
4ᵉ trim. 2020 81,1 91,1
1ᵉ trim. 2021 83,2 93,7
2ᵉ trim. 2021 83,7 97,0
3ᵉ trim. 2021 83,8 98,0
4ᵉ trim. 2021 88,0 102,1
1ᵉ trim. 2022 86,5 100,9
2ᵉ trim. 2022 83,5 99,1
3ᵉ trim. 2022 86,3 100,7
4ᵉ trim. 2022 86,3 100,8
1ᵉ trim. 2023 84,9 98,7
2ᵉ trim. 2023 83,9 97,5
3ᵉ trim. 2023 80,7 95,7
4ᵉ trim. 2023 78,7 94,1
1ᵉ trim. 2024 77,6 94,0
  • Notes : données CVS, en fin de trimestre.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 9Évolution de l'emploi intérimaire

  • Notes : données CVS, en fin de trimestre.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au premier trimestre 2024, le taux de chômage est orienté à la hausse (+0,1 point)

Figure 10Taux de chômage

Taux de chômage
Zonage Taux de chômage (en %) Variation (en points de %)
1ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Côte-d'Or 5,5 5,8 5,8 0,0 0,3
Doubs 6,2 6,6 6,7 0,1 0,5
Jura 5,1 5,3 5,3 0,0 0,2
Nièvre 6,6 6,8 6,9 0,1 0,3
Haute-Saône 6,1 6,6 6,7 0,1 0,6
Saône-et-Loire 6,3 6,7 6,7 0,0 0,4
Yonne 6,7 7,2 7,3 0,1 0,6
Territoire de Belfort 7,9 8,5 8,5 0,0 0,6
Bourgogne-Franche-Comté 6,2 6,5 6,6 0,1 0,4
France métropolitaine 6,9 7,3 7,3 0,0 0,4
France hors Mayotte 7,1 7,5 7,5 0,0 0,4

Figure 11Taux de chômage

(en %)
Taux de chômage ((en %))
Bourgogne-Franche-Comté France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 7,7 9,0
1ᵉ trim. 2018 7,9 9,3
2ᵉ trim. 2018 7,8 9,1
3ᵉ trim. 2018 7,7 8,9
4ᵉ trim. 2018 7,5 8,8
1ᵉ trim. 2019 7,6 8,8
2ᵉ trim. 2019 7,4 8,4
3ᵉ trim. 2019 7,4 8,3
4ᵉ trim. 2019 7,2 8,2
1ᵉ trim. 2020 6,8 7,9
2ᵉ trim. 2020 6,4 7,1
3ᵉ trim. 2020 7,8 9,0
4ᵉ trim. 2020 6,7 8,1
1ᵉ trim. 2021 6,9 8,2
2ᵉ trim. 2021 6,8 7,9
3ᵉ trim. 2021 6,7 7,9
4ᵉ trim. 2021 6,2 7,4
1ᵉ trim. 2022 6,2 7,4
2ᵉ trim. 2022 6,4 7,4
3ᵉ trim. 2022 6,3 7,3
4ᵉ trim. 2022 6,2 7,1
1ᵉ trim. 2023 6,2 7,1
2ᵉ trim. 2023 6,3 7,2
3ᵉ trim. 2023 6,5 7,4
4ᵉ trim. 2023 6,5 7,5
1ᵉ trim. 2024 6,6 7,5
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données trimestrielles CVS.
  • Source : Insee, taux de chômage localisés.

Figure 11Taux de chômage

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données trimestrielles CVS.
  • Source : Insee, taux de chômage localisés.

Au premier trimestre 2024, le nombre de demandeurs d’emploi (A, B, C) est stable

Figure 12Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail
Zonage Demandeurs d'emploi Variation (en %)
1ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Côte-d'Or 36 810 36 690 36 620 -0,2 -0,5
Doubs 39 290 39 150 39 430 0,7 0,4
Jura 16 550 16 510 16 460 -0,3 -0,5
Nièvre 12 260 12 080 12 160 0,7 -0,8
Haute-Saône 15 840 15 760 15 870 0,7 0,2
Saône-et-Loire 40 110 40 330 40 070 -0,6 -0,1
Yonne 23 660 23 860 24 010 0,6 1,5
Territoire de Belfort 11 450 11 440 11 470 0,3 0,2
Bourgogne-Franche-Comté 195 960 195 820 196 080 0,1 0,1
France hors Mayotte 5 368 200 5 397 900 5 400 500 0,0 0,6

Figure 13Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail
Décomposition Demandeurs d'emploi Variation (en %)
1ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Bourgogne-Franche-Comté
Ensemble 195 960 195 820 196 080 0,1 0,1
Hommes 95 050 95 730 96 310 0,6 1,3
Femmes 100 910 100 090 99 770 -0,3 -1,1
Moins de 25 ans 25 160 25 640 25 650 0,0 1,9
50 ans ou plus 55 360 55 040 55 130 0,2 -0,4
Inscrits depuis un an ou plus 88 490 86 540 86 680 0,2 -2,0
Catégories A 99 670 100 510 101 220 0,7 1,6
France hors Mayotte
Ensemble 5 368 200 5 397 900 5 400 500 0,0 0,6

Figure 14Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Bourgogne-Franche-Comté France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 99,8 100,2
2ᵉ trim. 2018 99,3 100,2
3ᵉ trim. 2018 99,0 100,0
4ᵉ trim. 2018 99,0 99,9
1ᵉ trim. 2019 99,6 99,9
2ᵉ trim. 2019 99,3 99,1
3ᵉ trim. 2019 98,5 98,0
4ᵉ trim. 2019 97,5 97,0
1ᵉ trim. 2020 96,7 97,0
2ᵉ trim. 2020 102,6 102,9
3ᵉ trim. 2020 102,2 102,2
4ᵉ trim. 2020 101,9 101,5
1ᵉ trim. 2021 102,5 101,6
2ᵉ trim. 2021 101,5 100,7
3ᵉ trim. 2021 99,0 98,4
4ᵉ trim. 2021 96,7 95,7
1ᵉ trim. 2022 93,9 93,3
2ᵉ trim. 2022 92,3 91,9
3ᵉ trim. 2022 91,8 91,5
4ᵉ trim. 2022 90,9 90,7
1ᵉ trim. 2023 90,3 90,5
2ᵉ trim. 2023 89,8 90,1
3ᵉ trim. 2023 89,6 90,3
4ᵉ trim. 2023 90,2 91,0
1ᵉ trim. 2024 90,3 91,0
  • Notes : données CVS-CJO.
  • Avertissement : le nombre de demandeurs d'emploi du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 14Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

  • Notes : données CVS-CJO.
  • Avertissement : le nombre de demandeurs d'emploi du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Au premier trimestre 2024, le nombre d’offres d’emploi baisse mais demeure à un niveau élevé

Figure 15Nombre mensuel moyen d’offres collectées par France Travail

Nombre mensuel moyen d’offres collectées par France Travail
Zonage Offres d'emploi (en milliers) Variation (en %)
1ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Côte-d'Or 3,4 3,4 3,3 -2,9 -2,9
Doubs 3,1 3,2 3,0 -6,2 -3,2
Jura 1,3 1,2 1,2 0,0 -7,7
Nièvre 0,7 0,6 0,7 16,7 0,0
Haute-Saône 0,9 1,4 1,1 -21,4 22,2
Saône-et-Loire 2,7 2,7 2,7 0,0 0,0
Yonne 1,5 1,3 1,2 -7,7 -20,0
Territoire de Belfort 0,6 0,5 0,5 0,0 -16,7
Bourgogne-Franche-Comté 14,0 14,2 13,7 -3,5 -2,1
France hors Mayotte 343,3 323,8 318,2 -1,7 -7,3
  • Note : données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 16Offres d'emploi

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Offres d'emploi ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Bourgogne-Franche-Comté France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 99,1 100,1
2ᵉ trim. 2018 96,5 100,3
3ᵉ trim. 2018 86,1 97,0
4ᵉ trim. 2018 85,2 93,1
1ᵉ trim. 2019 87,8 95,3
2ᵉ trim. 2019 87,0 95,1
3ᵉ trim. 2019 87,0 96,2
4ᵉ trim. 2019 86,1 94,7
1ᵉ trim. 2020 69,6 75,9
2ᵉ trim. 2020 41,7 43,4
3ᵉ trim. 2020 68,7 71,7
4ᵉ trim. 2020 71,3 73,6
1ᵉ trim. 2021 74,8 75,4
2ᵉ trim. 2021 88,7 94,0
3ᵉ trim. 2021 95,7 101,8
4ᵉ trim. 2021 107,0 112,8
1ᵉ trim. 2022 111,3 117,0
2ᵉ trim. 2022 114,8 117,3
3ᵉ trim. 2022 118,3 116,5
4ᵉ trim. 2022 120,9 116,9
1ᵉ trim. 2023 121,7 118,8
2ᵉ trim. 2023 120,0 117,2
3ᵉ trim. 2023 125,2 117,8
4ᵉ trim. 2023 123,5 112,1
1ᵉ trim. 2024 119,1 110,1
  • Note : données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 16Offres d'emploi

  • Note : données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Au premier trimestre 2024, le nombre de créations d’entreprises reste au plus haut

Figure 17Créations d'entreprises

Créations d'entreprises
Zonage et type d'entreprise Nombre de créations Variation (en %)
1ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Bourgogne-Franche-Comté
Classiques 2 670 2 930 2 970 1,3 11,1
Micro-entrepreneurs 4 840 5 170 5 250 1,5 8,6
Total 7 510 8 100 8 220 1,4 9,5
France
Classiques 92 730 99 840 104 070 4,2 12,2
Micro-entrepreneurs 157 440 172 590 179 320 3,9 13,9
Total 250 180 272 430 283 390 4,0 13,3

Figure 18Créations d'entreprises

Créations d'entreprises
Zonage Nombre de créations sur un an Glissement du cumul annuel (en %)
mars 2023 déc. 2023 mars 2024 sur un trimestre sur une année
Côte-d'Or 6 680 6 790 6 810 0,3 1,9
Doubs 6 010 6 170 6 360 3,1 5,8
Jura 2 780 2 860 2 940 2,9 5,8
Nièvre 1 880 1 870 1 940 3,4 3,2
Haute-Saône 2 200 2 270 2 270 0,1 3,2
Saône-et-Loire 5 920 6 060 6 150 1,5 4,0
Yonne 3 660 3 680 3 810 3,5 4,0
Territoire de Belfort 1 450 1 510 1 540 1,7 5,9
Bourgogne-Franche-Comté 30 580 31 210 31 810 1,9 4,0
France 1 047 870 1 051 480 1 083 300 3,0 3,4

Figure 19Créations d'entreprises

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Créations d'entreprises ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Bourgogne-Franche-Comté hors micro-entrepreneurs France hors micro-entrepreneurs Bourgogne-Franche-Comté y compris micro-entrepreneurs France y compris micro-entrepreneurs
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,2 99,7 104,3 104,2
2ᵉ trim. 2018 104,8 100,7 107,4 107,4
3ᵉ trim. 2018 98,1 98,9 107,0 108,4
4ᵉ trim. 2018 102,5 101,4 110,5 112,5
1ᵉ trim. 2019 107,5 107,0 119,7 122,8
2ᵉ trim. 2019 99,3 106,2 118,8 123,5
3ᵉ trim. 2019 96,3 105,8 124,7 126,2
4ᵉ trim. 2019 98,4 102,5 133,6 128,4
1ᵉ trim. 2020 82,1 97,6 119,7 118,2
2ᵉ trim. 2020 72,9 73,9 106,5 97,0
3ᵉ trim. 2020 104,3 112,5 157,3 150,4
4ᵉ trim. 2020 100,3 113,9 151,9 150,0
1ᵉ trim. 2021 102,5 116,1 155,3 154,7
2ᵉ trim. 2021 111,7 120,2 159,4 153,4
3ᵉ trim. 2021 100,0 115,3 147,1 145,4
4ᵉ trim. 2021 100,5 115,0 150,3 147,3
1ᵉ trim. 2022 97,7 115,9 151,0 151,2
2ᵉ trim. 2022 98,2 117,8 142,4 147,8
3ᵉ trim. 2022 104,7 120,9 152,0 155,0
4ᵉ trim. 2022 99,2 118,7 154,5 155,9
1ᵉ trim. 2023 90,7 105,9 146,8 144,0
2ᵉ trim. 2023 91,0 107,1 148,3 146,1
3ᵉ trim. 2023 95,3 110,4 160,5 157,1
4ᵉ trim. 2023 99,4 114,0 158,4 156,8
1ᵉ trim. 2024 100,7 118,8 160,7 163,1
  • Note : données CVS-CJO.
  • Champ : ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, SIDE.

Figure 19Créations d'entreprises

  • Note : données CVS-CJO.
  • Champ : ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, SIDE.

Fin 2023, la hausse des défaillances d’entreprises se poursuit

Figure 20Défaillances d'entreprises

Défaillances d'entreprises
Zonage Nombre de défaillances sur un an (*) Glissement du cumul annuel (en %)
1ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 sur un trimestre sur une année
Côte-d'Or 300 410 440 7,5 45,2
Doubs 280 360 360 -1,1 28,7
Jura 180 200 200 -3,0 12,6
Nièvre 130 140 130 -6,6 0,8
Haute-Saône 120 160 160 -0,6 40,2
Saône-et-Loire 360 400 420 5,3 16,8
Yonne 220 240 250 5,5 13,1
Territoire de Belfort 70 120 120 -0,8 70,0
Bourgogne-Franche-Comté 1 650 2 030 2 080 2,2 25,8
France 45 810 56 200 59 150 5,2 29,1

Figure 21Défaillances d'entreprises

(indice base 100 en décembre 2017)
Défaillances d'entreprises ((indice base 100 en décembre 2017))
Bourgogne-Franche-Comté France
déc. 2017 100,0 100,0
janv. 2018 98,8 99,1
févr. 2018 97,7 98,6
mars 2018 97,5 97,4
avr. 2018 98,2 97,6
mai 2018 98,0 96,7
juin 2018 97,7 96,7
juil. 2018 98,3 97,2
août 2018 98,6 97,7
sept. 2018 98,1 98,0
oct. 2018 98,8 99,0
nov. 2018 96,7 98,9
déc. 2018 97,9 99,0
janv. 2019 98,5 99,8
févr. 2019 97,9 99,7
mars 2019 98,4 99,3
avr. 2019 99,7 99,5
mai 2019 100,4 99,3
juin 2019 98,4 98,3
juil. 2019 97,3 98,3
août 2019 97,3 97,1
sept. 2019 98,1 96,3
oct. 2019 99,0 95,2
nov. 2019 99,2 94,3
déc. 2019 98,6 93,7
janv. 2020 98,6 91,5
févr. 2020 99,2 90,1
mars 2020 95,4 86,4
avr. 2020 89,7 80,8
mai 2020 84,4 76,0
juin 2020 83,4 73,5
juil. 2020 79,5 70,6
août 2020 78,2 69,7
sept. 2020 73,5 66,9
oct. 2020 67,2 63,3
nov. 2020 65,0 60,3
déc. 2020 62,6 57,2
janv. 2021 58,1 54,7
févr. 2021 53,0 51,6
mars 2021 51,2 51,4
avr. 2021 52,1 52,7
mai 2021 52,7 53,8
juin 2021 51,3 52,9
juil. 2021 51,0 51,5
août 2021 50,5 51,3
sept. 2021 49,8 50,4
oct. 2021 50,1 49,9
nov. 2021 50,2 49,9
déc. 2021 50,1 50,5
janv. 2022 50,4 51,5
févr. 2022 52,7 53,2
mars 2022 57,1 55,4
avr. 2022 58,7 57,5
mai 2022 62,3 59,3
juin 2022 63,8 61,4
juil. 2022 66,1 64,0
août 2022 67,0 65,2
sept. 2022 70,3 68,4
oct. 2022 72,5 71,1
nov. 2022 73,6 73,8
déc. 2022 74,5 75,6
janv. 2023 78,2 78,8
févr. 2023 80,9 81,0
mars 2023 83,7 83,9
avr. 2023 85,0 85,8
mai 2023 85,0 88,2
juin 2023 86,9 90,5
juil. 2023 89,8 92,3
août 2023 90,6 93,0
sept. 2023 93,2 94,8
oct. 2023 97,4 97,8
nov. 2023 100,7 100,5
déc. 2023 103,1 103,0
janv. 2024 105,6 104,9
févr. 2024 106,4 107,4
mars 2024 105,3 108,4
avr. 2024 106,4 110,2
mai 2024 nd 110,3
  • Notes : données mensuelles brutes au 21 juin 2024, en date de jugement.
  • Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : Fiben, Banque de France.

Figure 21Défaillances d'entreprises

  • Notes : données mensuelles brutes au 21 juin 2024, en date de jugement.
  • Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : Fiben, Banque de France.

Au premier trimestre 2024, les permis de construire et les mises en chantiers de logements sont orientés à la baisse

Figure 22Évolution du nombre de logements

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution du nombre de logements ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Logements autorisés - Bourgogne-Franche-Comté Logements autorisés - France hors Mayotte Logements commencés - Bourgogne-Franche-Comté Logements commencés - France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,0 100,1 93,1 84,3
2ᵉ trim. 2018 102,5 97,3 106,9 89,3
3ᵉ trim. 2018 105,5 97,7 96,5 82,9
4ᵉ trim. 2018 91,3 93,0 106,7 88,0
1ᵉ trim. 2019 71,7 90,3 88,0 83,4
2ᵉ trim. 2019 101,9 95,0 100,7 80,3
3ᵉ trim. 2019 92,2 90,4 85,4 82,0
4ᵉ trim. 2019 112,6 102,6 96,8 84,2
1ᵉ trim. 2020 119,4 96,5 90,1 80,2
2ᵉ trim. 2020 69,1 58,8 77,8 68,8
3ᵉ trim. 2020 88,9 80,8 104,0 86,8
4ᵉ trim. 2020 97,3 94,5 118,3 81,7
1ᵉ trim. 2021 100,3 94,5 124,8 88,0
2ᵉ trim. 2021 126,8 98,0 110,7 87,8
3ᵉ trim. 2021 115,6 101,1 101,6 87,8
4ᵉ trim. 2021 91,8 98,7 96,2 89,3
1ᵉ trim. 2022 136,8 117,9 113,1 90,4
2ᵉ trim. 2022 108,8 109,8 105,8 83,0
3ᵉ trim. 2022 97,7 104,8 95,2 79,9
4ᵉ trim. 2022 88,2 75,7 107,9 82,8
1ᵉ trim. 2023 95,0 82,7 78,1 71,1
2ᵉ trim. 2023 63,9 78,7 83,2 64,9
3ᵉ trim. 2023 88,9 71,9 82,3 58,6
4ᵉ trim. 2023 80,9 76,3 69,4 58,8
1ᵉ trim. 2024 67,3 74,6 69,2 56,4
  • Note : données en cumul trimestriel CVS-CJO, en date réelle estimée.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 22Évolution du nombre de logements

  • Note : données en cumul trimestriel CVS-CJO, en date réelle estimée.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 23Logements autorisés à la construction

Logements autorisés à la construction
Zonage Nombre de logements autorisés sur un an (*) Glissement du cumul annuel (en %)
mars 2023 déc. 2023 mars 2024 sur un trimestre sur une année
Côte-d'Or 2 900 2 600 2 400 -7,3 -17,6
Doubs 3 000 2 700 2 700 -0,5 -12,1
Jura 1 400 900 900 -2,9 -36,4
Nièvre 400 400 300 -32,3 -41,5
Haute-Saône 800 700 500 -16,3 -35,4
Saône-et-Loire 2 200 1 900 1 500 -18,9 -32,8
Yonne 700 600 600 -4,1 -17,2
Territoire de Belfort 600 500 400 -10,4 -28,7
Bourgogne-Franche-Comté 12 200 10 100 9 300 -8,7 -23,8
France hors Mayotte 447 100 370 000 359 600 -2,8 -19,6

Figure 24Logements commencés

Logements commencés
Zonage Nombre de logements commencés sur un an (*) Glissement du cumul annuel (en %)
mars 2023 déc. 2023 mars 2024 sur un trimestre sur une année
Côte-d'Or 3 000 2 300 2 100 -7,6 -28,7
Doubs 2 600 2 100 2 000 -3,0 -23,2
Jura 1 000 800 800 -2,1 -18,2
Nièvre 300 300 300 -13,1 -21,2
Haute-Saône 700 600 600 0,9 -16,8
Saône-et-Loire 1 600 1 400 1 500 4,9 -5,7
Yonne 900 400 400 -0,2 -51,1
Territoire de Belfort 500 400 300 -8,2 -26,8
Bourgogne-Franche-Comté 10 500 8 300 8 000 -3,1 -23,7
France hors Mayotte 370 900 297 200 280 400 -5,6 -24,4

En mars 2024, les surfaces de mise en chantier de locaux augmentent sur douze mois (+3,0%)

Figure 25Évolution de la surface de plancher des locaux

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de la surface de plancher des locaux ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Locaux autorisés - Bourgogne-Franche-Comté Locaux autorisés - France Locaux commencés - Bourgogne-Franche-Comté Locaux commencés - France
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 116,6 102,4 111,5 106,0
2ᵉ trim. 2018 86,8 88,9 94,9 93,4
3ᵉ trim. 2018 75,4 94,9 92,1 88,5
4ᵉ trim. 2018 85,8 94,8 85,2 105,6
1ᵉ trim. 2019 79,8 109,5 81,5 108,0
2ᵉ trim. 2019 128,1 104,3 119,3 96,5
3ᵉ trim. 2019 100,3 93,8 89,7 104,0
4ᵉ trim. 2019 120,6 98,9 102,3 113,8
1ᵉ trim. 2020 93,7 87,3 94,5 91,0
2ᵉ trim. 2020 91,8 64,3 75,0 72,1
3ᵉ trim. 2020 110,4 92,0 92,4 90,1
4ᵉ trim. 2020 84,9 84,1 110,8 101,1
1ᵉ trim. 2021 80,4 84,3 93,8 84,0
2ᵉ trim. 2021 92,7 90,0 97,9 91,6
3ᵉ trim. 2021 150,8 99,4 138,5 97,4
4ᵉ trim. 2021 88,6 91,1 102,6 97,6
1ᵉ trim. 2022 109,6 92,7 117,1 101,3
2ᵉ trim. 2022 82,4 98,9 116,2 111,2
3ᵉ trim. 2022 91,9 94,6 78,7 89,3
4ᵉ trim. 2022 96,1 102,1 77,1 90,5
1ᵉ trim. 2023 78,3 93,2 83,6 88,1
2ᵉ trim. 2023 102,3 91,2 88,7 80,7
3ᵉ trim. 2023 106,5 88,6 71,7 80,3
4ᵉ trim. 2023 113,0 89,2 93,2 82,1
1ᵉ trim. 2024 109,4 89,7 94,0 80,3
  • Note : données en cumul trimestriel CVS-CJO en date de prise en compte.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 25Évolution de la surface de plancher des locaux

  • Note : données en cumul trimestriel CVS-CJO en date de prise en compte.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 26Locaux autorisés à la construction

Locaux autorisés à la construction
Zonage Surfaces de plancher des locaux autorisés sur un an (en milliers de m²) (*) Glissement du cumul annuel (en %)
mars 2023 déc. 2023 mars 2024 sur un trimestre sur une année
Côte-d'Or 236 299 276 -7,9 17,0
Doubs 307 309 328 6,4 6,9
Jura 203 150 140 -7,0 -31,1
Nièvre 52 96 102 6,7 97,0
Haute-Saône 140 130 144 10,8 3,1
Saône-et-Loire 340 265 331 24,9 -2,6
Yonne 99 312 365 17,1 270,1
Territoire de Belfort 82 114 109 -3,6 33,9
Bourgogne-Franche-Comté 1 457 1 674 1 796 7,3 23,2
France 40 110 37 555 37 199 -0,9 -7,3

Figure 27Locaux commencés

Locaux commencés
Zonage Surfaces de plancher des locaux commencés sur un an (en milliers de m²) (*) Glissement du cumul annuel (en %)
mars 2023 déc. 2023 mars 2024 sur un trimestre sur une année
Côte-d'Or 171 131 141 7,6 -17,4
Doubs 194 195 224 14,7 15,7
Jura 129 95 92 -3,2 -28,9
Nièvre 47 44 40 -8,2 -14,7
Haute-Saône 99 66 69 3,6 -30,9
Saône-et-Loire 189 286 296 3,6 56,5
Yonne 50 47 48 2,2 -4,1
Territoire de Belfort 81 61 43 -29,7 -47,1
Bourgogne-Franche-Comté 960 925 952 3,0 -0,8
France 25 474 22 387 21 858 -2,4 -14,2

En avril 2024, la fréquentation hôtelière baisse sur un an

Figure 28Hôtellerie

Hôtellerie
Zonage Nuitées dans l'hôtellerie (en milliers)
sept. 2023 oct. 2023 nov. 2023 déc. 2023 janv. 2024 févr. 2024 mars 2024 avr. 2024
Bourgogne-Franche-Comté 710 580 430 430 360 410 500 510
Évolution sur un an en pourcentage
Bourgogne-Franche-Comté 3,3 0,9 -3,0 0,0 -0,3 -6,0 8,7 -9,4
France 1,7 -3,6 -2,8 -3,3 -2,5 -1,7 6,9 -8,9
  • Notes : le dernier mois est provisoire. Données mensuelles brutes, évolution par rapport au même mois de l'année précédente.
  • Accès aux séries longues "hôtellerie".
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

Figure 29Évolution de la fréquentation (en nombre de nuitées) dans les hôtels

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de la fréquentation (en nombre de nuitées) dans les hôtels ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Bourgogne-Franche-Comté France métropolitaine
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,2 100,9
2ᵉ trim. 2018 100,2 101,3
3ᵉ trim. 2018 99,4 101,9
4ᵉ trim. 2018 99,2 102,2
1ᵉ trim. 2019 98,6 102,0
2ᵉ trim. 2019 98,5 102,7
3ᵉ trim. 2019 98,5 102,8
4ᵉ trim. 2019 98,9 103,0
1ᵉ trim. 2020 94,9 99,6
2ᵉ trim. 2020 73,0 75,5
3ᵉ trim. 2020 66,5 64,2
4ᵉ trim. 2020 55,4 50,0
1ᵉ trim. 2021 49,9 40,7
2ᵉ trim. 2021 57,3 47,8
3ᵉ trim. 2021 61,5 53,1
4ᵉ trim. 2021 70,0 64,5
1ᵉ trim. 2022 77,5 74,0
2ᵉ trim. 2022 90,7 90,1
3ᵉ trim. 2022 93,5 96,4
4ᵉ trim. 2022 94,9 99,5
1ᵉ trim. 2023 96,1 102,7
2ᵉ trim. 2023 97,2 104,0
3ᵉ trim. 2023 95,8 102,9
4ᵉ trim. 2023 95,7 102,1
1ᵉ trim. 2024 95,9 102,3
  • Notes : données trimestrielles brutes. Chaque point représente le cumul du nombre de nuitées des 4 derniers trimestres en base 100 au 4ᵉ trimestre 2017.
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

Figure 29Évolution de la fréquentation (en nombre de nuitées) dans les hôtels

  • Notes : données trimestrielles brutes. Chaque point représente le cumul du nombre de nuitées des 4 derniers trimestres en base 100 au 4ᵉ trimestre 2017.
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

Saison estivale 2023 : une fréquentation en hausse dans les campings

Figure 30Hôtellerie de plein air

Hôtellerie de plein air
Zonage Nuitées dans l'hôtellerie de plein air (en milliers)
avr. 2023 mai 2023 juin 2023 juil. 2023 août 2023 sept. 2023 Saison 2023
Bourgogne-Franche-Comté 120 370 470 990 1 160 380 3 500
Évolution sur un an en pourcentage
Bourgogne-Franche-Comté 10,0 24,3 2,6 3,9 1,2 19,9 6,4
France métropolitaine 13,4 21,8 -1,8 0,7 2,5 11,9 4,4
  • Notes : données mensuelles brutes.
  • La saison touristique couvre les mois d'avril à septembre.
  • Les données sont définitives.
  • Accès aux séries longues "hôtellerie de plein air".
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

Autres hébergements collectifs touristiques

Figure 31Autres hébergements collectifs touristiques

Autres hébergements collectifs touristiques
Zonage Nuitées dans les autres hébergements collectifs touristiques (en milliers)
sept. 2023 oct. 2023 nov. 2023 déc. 2023 janv. 2024 févr. 2024 mars 2024 avr. 2024
Bourgogne-Franche-Comté 100 70 50 70 80 90 80 70
Évolution sur un an en pourcentage
Bourgogne-Franche-Comté 5,4 -4,1 6,2 1,4 0,0 -8,2 2,4 -6,3
France métropolitaine -0,9 -0,9 -6,6 -4,8 2,6 1,2 10,9 -5,9

En mars 2024, le nombre des allocataires du RSA demeurent à un niveau bas

Figure 32Allocataires du RSA

Allocataires du RSA
Zonage Nombre d'allocataires du RSA (en milliers) (*) Variation annuelle (en %)
mars 2023 déc. 2023 mars 2024
Côte-d'Or 9,7 9,6 9,6 -1,0
Doubs 12,4 12,4 12,3 -0,7
Jura 3,5 3,4 3,4 -4,5
Nièvre 5,7 5,7 5,7 0,2
Haute-Saône 4,0 4,0 3,9 -2,0
Saône-et-Loire 10,2 9,7 9,5 -6,4
Yonne 8,7 8,7 8,7 -0,7
Territoire de Belfort 4,3 4,1 4,1 -4,5
Bourgogne-Franche-Comté 58,5 57,6 57,2 -2,3
France 1 867,4 1 849,9 1 830,7 -2,0
  • (*) En fin de trimestre.
  • Note : données provisoires pour les 2 derniers trimestres.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 33Allocataires du RSA

(indice base 100 en décembre 2017)
Allocataires du RSA ((indice base 100 en décembre 2017))
Bourgogne-Franche-Comté France
janv. 2017 101,6 100,6
févr. 2017 101,4 100,4
mars 2017 101,4 100,5
avr. 2017 101,6 100,5
mai 2017 101,6 100,5
juin 2017 101,3 100,2
juil. 2017 100,9 99,8
août 2017 100,1 99,3
sept. 2017 99,8 99,2
oct. 2017 99,7 99,5
nov. 2017 100,1 100,0
déc. 2017 100,0 100,0
janv. 2018 100,0 100,4
févr. 2018 99,6 100,3
mars 2018 99,5 100,4
avr. 2018 99,2 100,4
mai 2018 99,2 100,5
juin 2018 98,9 100,5
juil. 2018 98,5 100,2
août 2018 98,3 99,8
sept. 2018 98,4 100,0
oct. 2018 99,2 100,6
nov. 2018 99,8 101,1
déc. 2018 99,6 101,1
janv. 2019 99,5 101,1
févr. 2019 99,5 101,0
mars 2019 99,8 101,0
avr. 2019 99,7 101,0
mai 2019 99,9 101,1
juin 2019 99,8 101,0
juil. 2019 99,7 100,9
août 2019 99,1 100,5
sept. 2019 99,3 100,8
oct. 2019 99,7 101,2
nov. 2019 100,3 101,8
déc. 2019 100,7 101,7
janv. 2020 101,1 102,0
févr. 2020 101,7 102,2
mars 2020 103,1 103,5
avr. 2020 104,3 104,7
mai 2020 105,4 105,5
juin 2020 107,4 107,2
juil. 2020 108,9 108,6
août 2020 109,3 109,1
sept. 2020 109,5 109,4
oct. 2020 109,8 109,8
nov. 2020 110,1 110,1
déc. 2020 109,4 109,3
janv. 2021 108,2 108,1
févr. 2021 106,9 107,0
mars 2021 105,9 106,0
avr. 2021 104,7 104,9
mai 2021 103,7 103,9
juin 2021 102,7 102,9
juil. 2021 104,4 104,3
août 2021 104,0 103,8
sept. 2021 103,5 103,4
oct. 2021 103,2 103,0
nov. 2021 103,3 103,1
déc. 2021 102,8 102,5
janv. 2022 101,8 101,5
févr. 2022 101,2 100,4
mars 2022 101,2 100,9
avr. 2022 101,0 100,7
mai 2022 100,8 100,7
juin 2022 100,5 100,3
juil. 2022 100,3 99,8
août 2022 99,9 99,5
sept. 2022 100,4 99,8
oct. 2022 100,9 100,4
nov. 2022 101,2 100,8
déc. 2022 100,5 100,2
janv. 2023 100,2 99,7
févr. 2023 99,4 99,1
mars 2023 99,6 99,1
avr. 2023 99,5 99,0
mai 2023 99,5 99,0
juin 2023 99,2 98,6
juil. 2023 98,8 98,1
août 2023 98,2 97,4
sept. 2023 97,5 97,4
oct. 2023 97,6 97,8
nov. 2023 97,9 98,2
déc. 2023 98,1 98,2
janv. 2024 97,6 97,9
févr. 2024 97,3 97,5
mars 2024 97,4 97,2
  • Note : données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 33Allocataires du RSA

  • Note : données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

En mars 2024, le nombre d’allocataires de la prime d’activité est en baisse sur un an

Figure 34Allocataires de la prime d'activité

Allocataires de la prime d'activité
Zonage Nombre d'allocataires de la prime d'activité (en milliers) (*) Variation annuelle (en %)
mars 2023 déc. 2023 mars 2024
Côte-d'Or 38,8 38,5 37,2 -4,0
Doubs 34,2 33,5 32,7 -4,4
Jura 16,0 15,7 15,1 -5,8
Nièvre 14,0 14,0 13,5 -4,0
Haute-Saône 15,6 15,3 14,7 -6,0
Saône-et-Loire 37,5 37,0 35,8 -4,4
Yonne 23,6 23,3 22,2 -5,6
Territoire de Belfort 9,9 9,6 9,4 -4,9
Bourgogne-Franche-Comté 189,6 186,9 180,6 -4,7
France 4 738,4 4 690,3 4 556,0 -3,8
  • (*) En fin de trimestre.
  • Note : données provisoires pour les 2 derniers trimestres.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 35Allocataires de la prime d’activité

(indice base 100 en décembre 2017)
Allocataires de la prime d’activité ((indice base 100 en décembre 2017))
Bourgogne-Franche-Comté France
janv. 2017 92,8 92,2
févr. 2017 93,4 93,1
mars 2017 94,7 94,4
avr. 2017 94,1 94,1
mai 2017 95,1 95,2
juin 2017 95,7 96,2
juil. 2017 94,8 95,3
août 2017 95,7 96,5
sept. 2017 97,1 97,8
oct. 2017 97,7 98,1
nov. 2017 99,1 99,4
déc. 2017 100,0 100,0
janv. 2018 97,4 98,0
févr. 2018 97,0 97,8
mars 2018 97,2 98,2
avr. 2018 96,3 97,7
mai 2018 97,2 98,7
juin 2018 97,9 99,5
juil. 2018 97,2 99,0
août 2018 98,2 99,9
sept. 2018 99,5 101,1
oct. 2018 101,4 102,6
nov. 2018 104,6 105,4
déc. 2018 110,4 110,9
janv. 2019 137,6 136,7
févr. 2019 146,8 145,4
mars 2019 150,3 149,1
avr. 2019 149,6 148,4
mai 2019 151,1 149,9
juin 2019 152,7 151,5
juil. 2019 152,1 150,7
août 2019 153,2 152,1
sept. 2019 155,0 153,9
oct. 2019 155,9 155,0
nov. 2019 158,5 157,0
déc. 2019 160,0 158,3
janv. 2020 158,4 157,2
févr. 2020 158,1 157,3
mars 2020 158,1 157,7
avr. 2020 158,7 158,3
mai 2020 159,9 159,4
juin 2020 160,6 159,7
juil. 2020 156,9 156,2
août 2020 154,7 154,3
sept. 2020 155,1 155,0
oct. 2020 156,5 156,9
nov. 2020 159,3 159,6
déc. 2020 160,8 160,8
janv. 2021 159,2 159,1
févr. 2021 158,4 158,3
mars 2021 158,3 157,9
avr. 2021 157,6 157,2
mai 2021 158,0 157,4
juin 2021 158,2 157,8
juil. 2021 156,8 156,6
août 2021 157,2 157,3
sept. 2021 158,6 159,1
oct. 2021 159,5 160,1
nov. 2021 161,7 161,6
déc. 2021 162,7 162,3
janv. 2022 161,0 161,1
févr. 2022 159,5 159,6
mars 2022 159,7 160,3
avr. 2022 159,7 160,1
mai 2022 161,0 161,1
juin 2022 161,4 161,7
juil. 2022 160,5 161,1
août 2022 161,8 162,4
sept. 2022 163,6 164,4
oct. 2022 165,7 166,4
nov. 2022 166,9 167,7
déc. 2022 167,4 168,2
janv. 2023 166,4 167,5
févr. 2023 165,6 166,5
mars 2023 165,6 166,5
avr. 2023 164,7 165,4
mai 2023 165,1 166,1
juin 2023 164,7 166,0
juil. 2023 163,0 164,9
août 2023 162,8 164,7
sept. 2023 162,9 165,1
oct. 2023 162,5 164,6
nov. 2023 163,3 164,9
déc. 2023 163,2 164,8
janv. 2024 160,4 162,4
févr. 2024 159,1 161,2
mars 2024 157,8 160,1
  • Note : données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Remarque : la prime d'activité est élargie à de nouveaux bénéficiaires depuis le 1ᵉʳ janvier 2019.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 35Allocataires de la prime d’activité

  • Note : données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Remarque : la prime d'activité est élargie à de nouveaux bénéficiaires depuis le 1ᵉʳ janvier 2019.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Avertissement

Les données chiffrées sont parfois arrondies (selon les règles mathématiques). Le résultat arrondi d'une combinaison de données chiffrées (qui fait intervenir leurs valeurs réelles) peut se trouver légèrement différent de celui que donnerait la combinaison de leurs valeurs arrondies.

Définitions

Heures rémunérées :

Les heures rémunérées couvrent les heures travaillées ainsi que des heures non travaillées mais rémunérées par l’employeur, notamment pendant les congés payés. Les périodes de chômage partiel indemnisées par l’administration publique et non par l’employeur ne sont à ce titre pas comprises dans les heures rémunérées.

Emploi salarié :

Les salariés sont les personnes qui travaillent, aux termes d’un contrat, pour une autre entité résidente en échange d’un salaire ou d’une rétribution équivalente, avec un lien de subordination.

Intérim / Travail temporaire / Travail intérimaire :

L' intérim (ou travail intérimaire ou travail temporaire) consiste à mettre à disposition provisoire d’entreprises clientes, des salariés qui, en fonction d'une rémunération convenue, sont embauchés et rémunérés à cet effet par l'entreprise de travail temporaire.

L'intérim se caractérise donc par une relation triangulaire entre l’entreprise de travail temporaire, l’entreprise cliente et le salarié, et implique la conclusion de deux contrats : un contrat de mise à disposition (entre l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise cliente) et un contrat de mission (entre l’entreprise de travail temporaire et le salarié).

Le contrat ne peut être conclu que pour l’exécution d’une tâche précise et temporaire, dénommée mission, et seulement dans les cas énumérés par la loi. Quel que soit le motif pour lequel il est conclu, un tel contrat ne peut avoir ni pour objet ni pour effet de pourvoir durablement un emploi lié à l’activité normale et permanente de l’entreprise utilisatrice.

Secteur tertiaire / Tertiaire :

Le secteur tertiaire recouvre un vaste champ d'activités qui s'étend du commerce à l'administration, en passant par les transports, les activités financières et immobilières, les services aux entreprises et services aux particuliers, l'éducation, la santé et l'action sociale.

Il est composé du :

  • tertiaire principalement marchand (commerce, transports, activités financières, services rendus aux entreprises, services rendus aux particuliers, hébergement-restauration, immobilier, information-communication) ;
  • tertiaire principalement non-marchand (administration publique, enseignement, santé humaine, action sociale).

Le périmètre du secteur tertiaire est de fait défini par complémentarité avec les activités agricoles et industrielles (secteurs primaire et secondaire).

Taux de chômage :

Le taux de chômage est le pourcentage de chômeurs dans la population active (actifs occupés + chômeurs).

On peut calculer un taux de chômage par âge en mettant en rapport les chômeurs d'une classe d'âge avec les actifs de cette classe d'âge. De la même manière se calculent des taux de chômage par sexe, par PCS, par région, par nationalité, par niveau de diplôme...

Remarque :

Le taux de chômage diffère de la part du chômage qui, elle, mesure la proportion de chômeurs dans l'ensemble de la population.

Taux de chômage (BIT) :

Le taux de chômage est le rapport entre le nombre de chômeurs et le nombre d’actifs (en emploi ou au chômage).

Demandeurs d'emploi en fin de mois / DEFM / Demandes d'emploi en fin de mois :

Les demandeurs d'emploi en fin de mois (DEFM) sont les personnes inscrites à France Travail et ayant une demande en cours au dernier jour du mois.

Demandeurs d'emploi de longue durée / DELD :

Les demandeurs d'emploi de longue durée (DELD) sont ceux inscrits en catégories A, B, C, depuis un an ou plus.

Création d'entreprise / Réactivation d'entreprise :

Une création d'entreprise correspond à la mise en œuvre d'une nouvelle combinaison de facteurs de production avec pour restriction qu'aucune autre entreprise ne soit impliquée dans cet évènement.

Les créations d’entreprises sont en fait des créations d’unités légales. On parle néanmoins de créations d’entreprises en raison de la spécificité de la situation au moment de la création. En effet, au moment de son immatriculation, il n’est pas possible de déterminer si une unité légale est indépendante ou appartient à un groupe. Par défaut, au moment de la création, toute entité est donc indépendante et considérée comme une entreprise.

La statistique mensuelle des créations d'entreprises est constituée à partir du dispositif SIDE (Système d’information sur la démographie d’entreprises). Ce dispositif est alimenté à partir de données du répertoire Sirene, enrichies d’éléments provenant du répertoire statistique Sirus.

Les créations d'entreprises correspondent aux unités légales du répertoire Sirene qui enregistrent un début d'activité relevant de l'un des cas suivants :

  • l'immatriculation d'une nouvelle unité légale avec création d'une nouvelle combinaison de facteurs de production ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de plus d'un an (il n'y a pas de nouvelle immatriculation mais reprise de l'ancien numéro Siren, en général pour un entrepreneur individuel) ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de moins d'un an, mais avec changement d'activité ;
  • la reprise par une unité légale nouvellement immatriculée de tout ou partie des activités et facteurs de production d'une autre unité légale, lorsqu'il n'y a pas de continuité économique entre la situation du cédant et celle du repreneur.

On considère qu'il n'y a pas continuité économique de l'unité légale si, parmi les trois éléments suivants concernant son siège, au moins deux sont modifiés lors de la reprise : l'unité légale contrôlant l'établissement siège, l'activité économique et la localisation.

Depuis les données relatives à janvier 2009, à la suite de la mise en place du régime de l'auto-entrepreneur (renommé micro-entrepreneur, à compter du 19 décembre 2014), les statistiques de créations d'entreprises incluent les demandes de créations enregistrées dans Sirene au titre de ce régime. Ce dénombrement n'inclut pas les entrepreneurs déjà en activité avant le 1er janvier 2009 et qui avaient demandé, à titre dérogatoire au plus tard le 31 mars 2009, à bénéficier du régime micro-social et du versement fiscal libératoire en 2009.

La statistique de créations d'entreprises couvre l'ensemble des activités marchandes hors agriculture.

Remarque :

Depuis le 1er janvier 2007, la notion de création d'entreprise s'appuie sur un concept harmonisé au niveau européen pour faciliter les comparaisons.


Défaillance d'entreprise :

Une unité légale est en situation de défaillance ou de dépôt de bilan à partir du moment où une procédure de redressement judiciaire est ouverte à son encontre.

Cette procédure intervient lorsqu'une unité légale est en état de cessation de paiement, c'est-à-dire qu'elle n'est plus en mesure de faire face à son passif exigible avec son actif disponible.

Remarque :

Il ne faut pas confondre la notion de défaillance et la notion de cessation. La notion de cessation correspond à l'arrêt total de l'activité économique d'une entreprise. Toutes les défaillances ne donnent pas des cessations. Par exemple, un jugement d'ouverture de procédure de défaillance (dépôt de bilan d'une entreprise inscrite dans le cadre d'une procédure judiciaire) ne se résout pas forcement par une liquidation.

Toutes les cessations n'ont pas donné lieu à une défaillance. Par exemple, un entrepreneur individuel peut cesser son activité suite à un départ en retraite.

Logement autorisé :

Un logement autorisé est un logement, non encore réalisé, dont la construction a été autorisée par un permis de construire ou une non-opposition à une déclaration préalable.


Logement commencé :

Un logement est considéré comme commencé (ou mis en chantier) après réception de la déclaration d’ouverture de chantier (DOC) envoyée par le pétitionnaire (ou maître d’ouvrage).

Un chantier est considéré ouvert lorsque les fouilles en rigole ou les fondations sont entreprises pour une partie ou la totalité des constructions autorisées.

Remarque :

Une « fouille en rigole » est un creusement du sol pour permettre la construction à l'emplacement des « semelles » (ces dernières sont les parties basses).

Revenu de solidarité active / RSA :

Le revenu de solidarité active est une allocation qui complète les ressources initiales du foyer pour qu'elles atteignent le niveau d'un revenu garanti.

Le montant du revenu garanti varie en fonction de la composition du foyer et du nombre d'enfant(s) à charge.

Remarque :

Le revenu de Solidarité active (RSA) se substitue au revenu minimum d'insertion (RMI) et à l'allocation parent isolé (API).

Le RSA est en vigueur depuis 2009 en métropole, depuis 2011 dans les départements et collectivités d’outre-mer (à l’exception de la Polynésie française, la Nouvelle-Calédonie et Wallis-et-Futuna où il n’est pas applicable) et depuis 2012 à Mayotte (selon des modalités spécifiques).

Prime d'activité :

La prime d’activité est un complément de revenus d’activité s’adressant aux travailleurs percevant des revenus modestes. Elle remplace depuis 2016 le revenu de solidarité active (RSA-activité) et la prime pour l’emploi (PPE).


Sa réglementation s’inscrit dans la continuité de celle du RSA-activité, mais présente cependant quelques spécificités, notamment pour les temps partiels (bonus modulable individuel).

Correction des variations saisonnières / CVS / Désaisonnalisation :

La correction des variations saisonnières permet d’éliminer l'effet de fluctuations périodiques infra-annuelles dues au calendrier et aux saisons, de manière à faire ressortir les évolutions les plus significatives de la série. Celles-ci sont contenues dans la tendance et la composante irrégulière.

Par exemple, les ventes de jouets augmentent toujours fortement entre novembre et décembre, en raison de Noël. Sur les données brutes, cet effet périodique masque l’évolution conjoncturelle sous-jacente pour une année donnée. Une fois la série désaisonnalisée, c’est-à-dire l’effet Noël retiré, les ventes peuvent s’avérer en baisse, signe d’une moins bonne année.