Tableau de bord de la conjoncture : Île-de-France

Chiffres-clés
Paru le :Paru le02/04/2024
- Avril 2024

Indicateurs clés de la région Île-de-France

Indicateurs clés de la région Île-de-France
Indicateurs clés régionaux Date de mise à jour Type et date de valeur Valeur Tendance/période précédente ¹
Régionale Nationale
Activité économique
Heures rémunérées (évolution en % par rapport au même mois de l'année précédente) ** 26 mars 2024 Évolution en % - févr. 2024 0,2
Emploi
Emploi salarié total (en milliers) ** 20 mars 2024 CVS - 4ᵉ trim. 2023 6 329,5
Emploi salarié privé (en milliers) ** 20 mars 2024 CVS - 4ᵉ trim. 2023 5 159,2
Emplois intérimaires (en milliers) ** 20 mars 2024 CVS - 4ᵉ trim. 2023 118,6
Chômage
Taux de chômage (en %) ** 20 mars 2024 CVS - 4ᵉ trim. 2023 7,2
Marché du travail
Demandeurs d'emploi (A, B, C) ** 25 janv. 2024 CVS - 4ᵉ trim. 2023 970 160
Offres d'emploi (en milliers) ** 29 janv. 2024 CVS-CJO - 4ᵉ trim. 2023 47,1
Entreprises
Créations d'entreprises * 26 janv. 2024 CVS-CJO - 4ᵉ trim. 2023 76 120
Défaillances d'entreprises * 29 févr. 2024 brute - cumul annuel au 4ᵉ trim. 2023 12 250
Construction neuve
Logements autorisés ** 28 mars 2024 CVS-CJO - févr. 2024 4 783
Logements commencés ** 28 mars 2024 CVS-CJO - févr. 2024 4 858
Locaux autorisés (en milliers de m²) * 28 mars 2024 CVS-CJO - févr. 2024 382
Locaux commencés (en milliers de m²) * 28 mars 2024 CVS-CJO - févr. 2024 155
Tourisme
Hôtellerie (en milliers de nuitées) * 12 mars 2024 brute - janv. 2024 4 830
Hôtellerie de plein air (camping) (en milliers de nuitées) *** 09 nov. 2023 brute - saison 2023 1 980
Autres hébergements collectifs touristiques (en milliers de nuitées) *** 15 mars 2024 brute - janv. 2024 820
Indicateurs sociaux
Revenu de solidarité active (RSA) (en milliers) * 11 mars 2024 déc. 2023 348,4
Prime d’activité (en milliers) * 11 mars 2024 déc. 2023 687,4
  • Note : la plupart des données sont susceptibles d'être révisées d'un mois (ou trimestre) à l'autre.
  • Pour la comparaison nationale : * France ; ** France hors Mayotte ; *** France métropolitaine.
  • ¹ : la tendance par rapport à la période précédente est la comparaison par rapport au mois ou au trimestre précédent sauf :
  • - heures rémunérées et indicateurs sociaux : comparaison de l'évolution par rapport au même mois de l'année précédente ;
  • - défaillances d'entreprises : glissement du cumul annuel sur un trimestre ;
  • - hôtellerie et autres hébergements collectifs touristiques : évolution par rapport au même mois de l'année précédente ;
  • - hôtellerie de plein air : évolution de la saison par rapport à la saison précédente.
Avertissements

Avertissement sur les heures rémunérées

Pour les mois de décembre 2023 et janvier 2024, dans le secteur de la construction, la variation des heures rémunérées n’est pas représentative de la variation de l’activité qu’elle est censée illustrer. Les heures rémunérées dans la construction sont, dans quasiment toutes les régions, par rapport au même mois de l’année précédente, en forte augmentation en décembre 2023 et en forte baisse en janvier 2024. Ces évolutions viennent du fait que, dans la construction, les congés des salariés ne sont pas rémunérés directement par l’employeur mais par des caisses indépendantes et ne sont donc pas pris en compte. Or le positionnement atypique des vacances scolaires a entrainé, par rapport à l’année précédente, moins de congés en décembre 2023 et davantage en janvier 2024.

Avertissement sur les demandeurs d'emploi en fin de mois

Une expérimentation d’accompagnement renforcé vers l’emploi des bénéficiaires du RSA (BRSA) a été initiée en avril 2023 dans 18 territoires de France. Elle conduit à enregistrer progressivement à France Travail l’ensemble des BRSA de ces territoires. Fin décembre 2023, cette expérimentation concerne environ 15 200 personnes dont 11 000 sont comptabilisées comme demandeurs d’emploi. Les 18 territoires concernés se situent dans les départements de l’Aisne, la Somme, La Réunion, l’Yonne, l’Aveyron, le Nord, les Bouches-du-Rhône, la Creuse, la Côte-d’Or, l’Eure, l’Ille-et-Vilaine, la Mayenne, la Loire-Atlantique, le Loiret, le Rhône, les Vosges, les Pyrénées-Atlantiques et les Yvelines.
Des informations complémentaires sont disponibles sur la dernière publication Ouvrir dans un nouvel ongletDares Indicateurs.

Avertissement sur les créations d'entreprises

Depuis le 1er janvier 2023, les formalités de création d'entreprises doivent obligatoirement s'effectuer sur le guichet électronique des formalités d'entreprises. Ce changement important fragilise temporairement le suivi mensuel des créations d'entreprises, en raison notamment d'une modification des délais d'enregistrement des déclarations dans le répertoire Sirene. Les évolutions des créations d'entreprises enregistrées en 2023 doivent donc être interprétées avec une grande prudence.
Des informations complémentaires concernant ce changement sont disponibles dans l'onglet Documentation de la version web de la publication nationale.

En février 2024, l’activité économique ralentit nettement

Figure 1Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

(en %)
Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France ((en %))
Industrie Construction Services principalement marchands Services principalement non marchands Ensemble
janv. 2022 2,3 2,0 10,8 2,6 8,5
févr. 2022 3,1 5,2 14,1 3,2 11,2
mars 2022 4,4 2,9 16,3 3,6 12,7
avr. 2022 2,6 2,9 17,0 5,5 13,3
mai 2022 5,7 4,2 15,8 4,5 12,8
juin 2022 3,8 0,7 9,5 3,0 7,6
juil. 2022 0,7 -0,7 5,7 2,1 4,4
août 2022 4,0 1,4 6,1 3,9 5,4
sept. 2022 2,1 0,0 5,0 3,5 4,2
oct. 2022 1,8 -0,4 4,1 2,7 3,4
nov. 2022 1,3 -0,2 3,7 2,8 3,1
déc. 2022 -1,8 -1,3 3,1 2,6 2,3
janv. 2023 2,8 1,5 6,4 6,0 5,6
févr. 2023 1,3 0,1 4,6 4,1 3,9
mars 2023 0,7 -0,4 3,1 3,3 2,6
avr. 2023 -0,3 -0,8 2,3 2,2 1,8
mai 2023 2,3 -0,1 3,0 3,0 2,7
juin 2023 -0,1 0,4 2,3 3,1 2,0
juil. 2023 1,2 0,8 2,5 3,2 2,3
août 2023 1,2 1,0 3,0 3,1 2,7
sept. 2023 0,2 0,2 1,6 2,1 1,4
oct. 2023 1,6 1,5 1,8 3,2 1,9
nov. 2023 1,1 0,7 1,4 2,6 1,5
déc. 2023 0,3 3,1 1,0 1,9 1,1
janv. 2024 3,1 -1,6 1,4 2,0 1,4
févr. 2024 1,1 -0,9 0,1 0,7 0,2
  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 1Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 2Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

(en points)
Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France ((en points))
Industrie Construction Services principalement marchands Services principalement non marchands Évolution totale
janv. 2022 0,2 0,2 7,9 0,2 8,5
févr. 2022 0,3 0,4 10,2 0,3 11,2
mars 2022 0,4 0,2 11,7 0,3 12,7
avr. 2022 0,3 0,2 12,2 0,5 13,3
mai 2022 0,6 0,3 11,4 0,4 12,8
juin 2022 0,4 0,1 7,0 0,3 7,6
juil. 2022 0,1 -0,1 4,2 0,2 4,4
août 2022 0,4 0,1 4,6 0,3 5,4
sept. 2022 0,2 0,0 3,7 0,3 4,2
oct. 2022 0,2 0,0 3,0 0,2 3,4
nov. 2022 0,1 0,0 2,7 0,2 3,1
déc. 2022 -0,2 -0,1 2,3 0,2 2,3
janv. 2023 0,3 0,1 4,7 0,5 5,6
févr. 2023 0,1 0,0 3,4 0,4 3,9
mars 2023 0,1 0,0 2,3 0,3 2,6
avr. 2023 0,0 -0,1 1,7 0,2 1,8
mai 2023 0,2 0,0 2,2 0,3 2,7
juin 2023 0,0 0,0 1,7 0,3 2,0
juil. 2023 0,1 0,1 1,9 0,3 2,3
août 2023 0,1 0,1 2,3 0,3 2,7
sept. 2023 0,0 0,0 1,2 0,2 1,4
oct. 2023 0,1 0,1 1,3 0,3 1,9
nov. 2023 0,1 0,1 1,1 0,2 1,5
déc. 2023 0,0 0,2 0,7 0,2 1,1
janv. 2024 0,3 -0,1 1,1 0,2 1,4
févr. 2024 0,1 -0,1 0,1 0,1 0,2
  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 2Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Au quatrième trimestre 2023, l’emploi salarié est quasi stable sur le trimestre

Figure 3Emploi salarié total

Emploi salarié total
Zonage Emplois (en milliers) Variation (en %)
4ᵉ trim. 2022 3ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 trimestrielle annuelle
Paris 1 975,6 1 994,5 1 992,8 -0,1 0,9
Seine-et-Marne 503,4 506,4 506,3 -0,0 0,6
Yvelines 535,5 535,6 534,8 -0,2 -0,1
Essonne 490,6 496,7 495,5 -0,2 1,0
Hauts-de-Seine 1 144,8 1 157,2 1 156,6 -0,1 1,0
Seine-Saint-Denis 666,3 674,3 671,6 -0,4 0,8
Val-de-Marne 553,2 555,2 553,3 -0,3 0,0
Val-d'Oise 412,6 416,7 418,5 0,4 1,4
Île-de-France 6 282,1 6 336,7 6 329,5 -0,1 0,8
France hors Mayotte 26 927,7 27 065,7 27 077,6 0,0 0,6

Figure 4Évolution de l'emploi salarié total par département

(en % par rapport au trimestre précédent)
Évolution de l'emploi salarié total par département ((en % par rapport au trimestre précédent))
3ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023
Paris 0,3 -0,1
Seine-et-Marne 0,2 0,0
Yvelines 0,1 -0,2
Essonne 0,5 -0,2
Hauts-de-Seine 0,5 -0,1
Seine-Saint-Denis 0,5 -0,4
Val-de-Marne 0,4 -0,3
Val-d'Oise 0,3 0,4
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 4Évolution de l'emploi salarié total par département

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 5Emploi salarié en Île-de-France par grand secteur

Emploi salarié en Île-de-France par grand secteur
Secteur d'activité Emplois (en milliers) Variation (en %) France hors Mayotte - Variation (en %)
4ᵉ trim. 2022 3ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 trimestrielle annuelle trimestrielle annuelle
Agriculture 6,0 6,0 5,9 -1,5 -2,4 0,6 -0,4
Industrie 432,8 438,8 441,2 0,5 1,9 0,3 1,1
Construction 342,1 343,6 343,7 0,0 0,5 -0,2 -0,7
Tertiaire non marchand 1 566,3 1 575,0 1 576,4 0,1 0,6 0,4 0,9
Tertiaire marchand 3 935,0 3 973,4 3 962,3 -0,3 0,7 -0,2 0,4
dont commerce 743,1 749,5 744,4 -0,7 0,2 -0,3 0,4
dont intérim 128,5 122,4 118,6 -3,1 -7,7 -1,7 -6,6
Ensemble 6 282,1 6 336,7 6 329,5 -0,1 0,8 0,0 0,6
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Pour l’agriculture, les données de la source MSA étant livrées avec retard, l’Insee réalise une estimation en exploitant directement les déclarations administratives (DSN) depuis le 1ᵉʳ trimestre de 2018.
  • Accès aux séries longues "estimations d'emploi salarié par secteur d'activité (Régions et Départements)".
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 6Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Construction Industrie Tertiaire marchand hors intérim Tertiaire non marchand
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,9 99,6 100,3 100,0
2ᵉ trim. 2018 102,5 99,7 100,7 99,8
3ᵉ trim. 2018 103,9 99,3 100,7 99,7
4ᵉ trim. 2018 105,5 99,6 101,3 99,9
1ᵉ trim. 2019 107,7 99,7 101,9 100,1
2ᵉ trim. 2019 109,7 99,9 102,4 100,1
3ᵉ trim. 2019 111,6 100,1 102,9 100,4
4ᵉ trim. 2019 113,5 100,5 103,4 100,7
1ᵉ trim. 2020 112,7 100,2 102,4 100,9
2ᵉ trim. 2020 114,4 99,6 101,2 99,2
3ᵉ trim. 2020 116,7 99,5 102,3 101,3
4ᵉ trim. 2020 118,3 99,5 101,6 101,7
1ᵉ trim. 2021 119,5 99,5 102,5 102,1
2ᵉ trim. 2021 120,7 99,7 103,8 102,1
3ᵉ trim. 2021 121,1 100,0 104,8 102,1
4ᵉ trim. 2021 121,3 99,9 105,5 101,8
1ᵉ trim. 2022 121,7 100,0 106,3 101,9
2ᵉ trim. 2022 121,9 100,1 107,5 101,9
3ᵉ trim. 2022 122,3 100,8 108,4 102,1
4ᵉ trim. 2022 122,6 101,0 108,9 102,0
1ᵉ trim. 2023 123,2 101,3 109,5 101,7
2ᵉ trim. 2023 123,0 101,8 109,8 101,9
3ᵉ trim. 2023 123,2 102,4 110,2 102,6
4ᵉ trim. 2023 123,2 102,9 110,0 102,7
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total hors intérim.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 6Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total hors intérim.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au quatrième trimestre 2023, l’emploi salarié privé est quasi stable sur le trimestre

Figure 7Évolution de l'emploi salarié

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de l'emploi salarié ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Emploi salarié total - Île-de-France Emploi salarié total - France hors Mayotte Emploi salarié privé - Île-de-France Emploi salarié privé - France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,3 100,3 100,4 100,4
2ᵉ trim. 2018 100,6 100,3 100,8 100,6
3ᵉ trim. 2018 100,6 100,2 100,8 100,5
4ᵉ trim. 2018 101,1 100,6 101,4 100,9
1ᵉ trim. 2019 101,6 101,1 102,1 101,5
2ᵉ trim. 2019 102,0 101,3 102,6 101,8
3ᵉ trim. 2019 102,5 101,7 103,2 102,2
4ᵉ trim. 2019 103,0 102,0 103,6 102,6
1ᵉ trim. 2020 101,5 100,2 101,8 100,2
2ᵉ trim. 2020 100,6 99,8 101,0 100,0
3ᵉ trim. 2020 102,2 101,8 102,6 102,2
4ᵉ trim. 2020 102,0 101,8 102,3 102,1
1ᵉ trim. 2021 102,8 102,6 103,2 103,2
2ᵉ trim. 2021 103,7 103,8 104,3 104,7
3ᵉ trim. 2021 104,4 104,6 105,2 105,6
4ᵉ trim. 2021 104,8 105,0 105,9 106,2
1ᵉ trim. 2022 105,4 105,3 106,5 106,6
2ᵉ trim. 2022 106,1 105,8 107,5 107,2
3ᵉ trim. 2022 106,7 106,2 108,3 107,7
4ᵉ trim. 2022 107,0 106,5 108,8 108,2
1ᵉ trim. 2023 107,3 106,7 109,2 108,4
2ᵉ trim. 2023 107,6 106,8 109,4 108,5
3ᵉ trim. 2023 107,9 107,1 109,8 108,8
4ᵉ trim. 2023 107,8 107,1 109,6 108,7
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 7Évolution de l'emploi salarié

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au quatrième trimestre 2023, la baisse du nombre d’emplois intérimaires s’accentue

Figure 8Emplois intérimaires

Emplois intérimaires
Zonage Emplois (en milliers) Variation (en %)
4ᵉ trim. 2022 3ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 trimestrielle annuelle
Paris 49,1 46,5 43,8 -5,8 -10,7
Seine-et-Marne 16,9 16,5 16,3 -0,9 -3,4
Yvelines 8,0 7,4 7,3 -1,3 -8,5
Essonne 11,0 11,3 11,2 -1,2 2,1
Hauts-de-Seine 15,9 13,8 13,9 0,7 -12,6
Seine-Saint-Denis 10,7 10,3 9,4 -8,8 -12,0
Val-de-Marne 7,1 7,1 7,1 -0,2 -1,1
Val-d'Oise 9,8 9,5 9,6 0,6 -2,4
Île-de-France 128,5 122,4 118,6 -3,1 -7,7
France hors Mayotte 809,6 768,9 755,9 -1,7 -6,6

Figure 9Évolution de l'emploi intérimaire

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de l'emploi intérimaire ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 103,9 100,9
2ᵉ trim. 2018 103,7 99,8
3ᵉ trim. 2018 105,0 99,7
4ᵉ trim. 2018 102,9 96,4
1ᵉ trim. 2019 105,8 100,1
2ᵉ trim. 2019 107,3 99,8
3ᵉ trim. 2019 105,9 99,2
4ᵉ trim. 2019 102,7 96,5
1ᵉ trim. 2020 64,9 59,6
2ᵉ trim. 2020 72,3 73,0
3ᵉ trim. 2020 88,2 88,7
4ᵉ trim. 2020 91,0 91,0
1ᵉ trim. 2021 92,6 93,7
2ᵉ trim. 2021 94,6 97,1
3ᵉ trim. 2021 98,0 98,0
4ᵉ trim. 2021 102,4 102,1
1ᵉ trim. 2022 101,6 100,9
2ᵉ trim. 2022 101,2 99,2
3ᵉ trim. 2022 102,3 100,7
4ᵉ trim. 2022 102,1 100,8
1ᵉ trim. 2023 100,3 98,7
2ᵉ trim. 2023 100,1 97,7
3ᵉ trim. 2023 97,3 95,7
4ᵉ trim. 2023 94,2 94,1
  • Notes : données CVS, en fin de trimestre.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 9Évolution de l'emploi intérimaire

  • Notes : données CVS, en fin de trimestre.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au quatrième trimestre 2023, le taux de chômage augmente de nouveau

Figure 10Taux de chômage

Taux de chômage
Zonage Taux de chômage (en %) Variation (en points de %)
4ᵉ trim. 2022 3ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 trimestrielle annuelle
Paris 5,6 5,8 5,9 0,1 0,3
Seine-et-Marne 6,6 6,8 6,9 0,1 0,3
Yvelines 6,3 6,6 6,7 0,1 0,4
Essonne 6,3 6,5 6,6 0,1 0,3
Hauts-de-Seine 5,7 5,9 6,1 0,2 0,4
Seine-Saint-Denis 10,0 10,4 10,6 0,2 0,6
Val-de-Marne 7,0 7,3 7,4 0,1 0,4
Val-d'Oise 7,9 8,1 8,3 0,2 0,4
Île-de-France 6,8 7,0 7,2 0,2 0,4
France métropolitaine 6,9 7,2 7,3 0,1 0,4
France hors Mayotte 7,1 7,5 7,5 0,0 0,4

Figure 11Taux de chômage

(en %)
Taux de chômage ((en %))
Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 7,8 9,0
1ᵉ trim. 2018 8,1 9,3
2ᵉ trim. 2018 8,0 9,1
3ᵉ trim. 2018 7,8 8,9
4ᵉ trim. 2018 7,7 8,8
1ᵉ trim. 2019 7,6 8,8
2ᵉ trim. 2019 7,4 8,4
3ᵉ trim. 2019 7,4 8,3
4ᵉ trim. 2019 7,2 8,2
1ᵉ trim. 2020 7,0 7,9
2ᵉ trim. 2020 6,3 7,1
3ᵉ trim. 2020 8,3 9,0
4ᵉ trim. 2020 7,7 8,1
1ᵉ trim. 2021 7,8 8,2
2ᵉ trim. 2021 7,5 7,9
3ᵉ trim. 2021 7,6 7,9
4ᵉ trim. 2021 7,1 7,4
1ᵉ trim. 2022 7,1 7,4
2ᵉ trim. 2022 7,0 7,4
3ᵉ trim. 2022 6,9 7,3
4ᵉ trim. 2022 6,8 7,1
1ᵉ trim. 2023 6,7 7,1
2ᵉ trim. 2023 6,8 7,2
3ᵉ trim. 2023 7,0 7,5
4ᵉ trim. 2023 7,2 7,5
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données trimestrielles CVS.
  • Source : Insee, taux de chômage localisés.

Figure 11Taux de chômage

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données trimestrielles CVS.
  • Source : Insee, taux de chômage localisés.

Au quatrième trimestre 2023, le nombre de demandeurs d’emploi (A, B, C) augmente

Figure 12Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail
Zonage Demandeurs d'emploi Variation (en %)
4ᵉ trim. 2022 3ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 trimestrielle annuelle
Paris 187 090 187 990 189 110 0,6 1,1
Seine-et-Marne 102 970 102 890 104 070 1,1 1,1
Yvelines 97 610 97 780 98 900 1,1 1,3
Essonne 87 680 87 810 89 380 1,8 1,9
Hauts-de-Seine 110 290 111 520 112 910 1,2 2,4
Seine-Saint-Denis 165 740 166 030 168 310 1,4 1,6
Val-de-Marne 104 700 105 340 107 060 1,6 2,3
Val-d'Oise 99 590 99 090 100 420 1,3 0,8
Île-de-France 955 660 958 460 970 160 1,2 1,5
France hors Mayotte 5 389 500 5 352 000 5 406 000 1,0 0,3

Figure 13Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail
Décomposition Demandeurs d'emploi Variation (en %)
4ᵉ trim. 2022 3ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 trimestrielle annuelle
Île-de-France
Ensemble 955 660 958 460 970 160 1,2 1,5
Hommes 481 770 486 390 492 240 1,2 2,2
Femmes 473 900 472 070 477 920 1,2 0,8
Moins de 25 ans 92 670 97 590 102 910 5,5 11,0
50 ans ou plus 269 290 264 240 264 540 0,1 -1,8
Inscrits depuis un an ou plus 429 220 413 080 414 580 0,4 -3,4
Catégories A 602 990 593 860 596 130 0,4 -1,1
France hors Mayotte
Ensemble 5 389 500 5 352 000 5 406 000 1,0 0,3

Figure 14Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,4 100,1
2ᵉ trim. 2018 100,8 100,2
3ᵉ trim. 2018 100,8 100,1
4ᵉ trim. 2018 100,6 99,9
1ᵉ trim. 2019 100,6 99,8
2ᵉ trim. 2019 100,1 99,1
3ᵉ trim. 2019 99,6 98,0
4ᵉ trim. 2019 98,5 97,1
1ᵉ trim. 2020 99,0 97,0
2ᵉ trim. 2020 105,4 102,9
3ᵉ trim. 2020 106,2 102,2
4ᵉ trim. 2020 107,2 101,6
1ᵉ trim. 2021 106,9 101,6
2ᵉ trim. 2021 106,3 100,7
3ᵉ trim. 2021 104,1 98,5
4ᵉ trim. 2021 100,7 95,7
1ᵉ trim. 2022 98,4 93,3
2ᵉ trim. 2022 97,6 91,8
3ᵉ trim. 2022 97,3 91,4
4ᵉ trim. 2022 96,5 90,8
1ᵉ trim. 2023 96,0 90,5
2ᵉ trim. 2023 96,3 90,1
3ᵉ trim. 2023 96,7 90,2
4ᵉ trim. 2023 97,9 91,1
  • Notes : données CVS-CJO.
  • Avertissement : le nombre de demandeurs d'emploi du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 14Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

  • Notes : données CVS-CJO.
  • Avertissement : le nombre de demandeurs d'emploi du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Au quatrième trimestre 2023, le nombre d’offres d’emploi remonte légèrement

Figure 15Nombre mensuel moyen d’offres collectées par France Travail

Nombre mensuel moyen d’offres collectées par France Travail
Zonage Offres d'emploi (en milliers) Variation (en %)
4ᵉ trim. 2022 3ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 trimestrielle annuelle
Paris 16,9 17,3 16,7 -3,5 -1,2
Seine-et-Marne 4,4 3,9 3,8 -2,6 -13,6
Yvelines 5,1 4,4 4,3 -2,3 -15,7
Essonne 3,5 3,3 3,4 3,0 -2,9
Hauts-de-Seine 7,1 6,8 7,7 13,2 8,5
Seine-Saint-Denis 4,5 4,1 4,9 19,5 8,9
Val-de-Marne 3,3 2,8 3,1 10,7 -6,1
Val-d'Oise 3,0 3,2 3,2 0,0 6,7
Île-de-France 47,9 45,9 47,1 2,6 -1,7
France hors Mayotte 336,2 341,9 321,9 -5,8 -4,3
  • Note : données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 16Offres d'emploi

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Offres d'emploi ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,4 100,1
2ᵉ trim. 2018 97,7 99,6
3ᵉ trim. 2018 95,3 96,8
4ᵉ trim. 2018 88,3 92,7
1ᵉ trim. 2019 94,0 95,7
2ᵉ trim. 2019 90,5 94,4
3ᵉ trim. 2019 92,2 95,8
4ᵉ trim. 2019 90,5 94,8
1ᵉ trim. 2020 68,5 76,9
2ᵉ trim. 2020 32,7 42,9
3ᵉ trim. 2020 52,3 71,3
4ᵉ trim. 2020 57,0 73,2
1ᵉ trim. 2021 65,4 76,6
2ᵉ trim. 2021 76,7 92,6
3ᵉ trim. 2021 82,7 101,5
4ᵉ trim. 2021 96,7 112,0
1ᵉ trim. 2022 102,9 118,1
2ᵉ trim. 2022 101,2 115,9
3ᵉ trim. 2022 99,8 116,5
4ᵉ trim. 2022 93,2 116,1
1ᵉ trim. 2023 91,1 119,7
2ᵉ trim. 2023 89,9 116,2
3ᵉ trim. 2023 89,3 118,1
4ᵉ trim. 2023 91,6 111,2
  • Note : données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 16Offres d'emploi

  • Note : données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Au quatrième trimestre 2023, le nombre de créations d’entreprises baisse légèrement

Figure 17Créations d'entreprises

Créations d'entreprises
Zonage et type d'entreprise Nombre de créations Variation (en %)
4ᵉ trim. 2022 3ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 trimestrielle annuelle
Île-de-France
Classiques 29 110 29 280 29 160 -0,4 0,2
Micro-entrepreneurs 44 940 47 440 46 950 -1,0 4,5
Total 74 050 76 720 76 120 -0,8 2,8
France
Classiques 103 130 96 230 98 840 2,7 -4,2
Micro-entrepreneurs 164 640 174 360 169 160 -3,0 2,7
Total 267 770 270 580 267 990 -1,0 0,1

Figure 18Créations d'entreprises

Créations d'entreprises
Zonage Nombre de créations sur un an Glissement du cumul annuel (en %)
déc. 2022 sept. 2023 déc. 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 88 920 90 830 90 970 0,1 2,3
Seine-et-Marne 23 680 24 070 24 530 1,9 3,6
Yvelines 25 530 25 370 25 270 -0,4 -1,0
Essonne 23 090 23 030 23 190 0,7 0,4
Hauts-de-Seine 36 270 36 990 36 900 -0,2 1,7
Seine-Saint-Denis 38 730 40 280 41 200 2,3 6,4
Val-de-Marne 28 800 29 390 29 820 1,5 3,5
Val-d'Oise 23 850 23 770 23 850 0,3 0,0
Île-de-France 288 870 293 740 295 730 0,7 2,4
France 1 061 970 1 049 260 1 051 480 0,2 -1,0

Figure 19Créations d'entreprises

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Créations d'entreprises ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Île-de-France hors micro-entrepreneurs France hors micro-entrepreneurs Île-de-France y compris micro-entrepreneurs France y compris micro-entrepreneurs
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 99,5 99,8 104,4 104,4
2ᵉ trim. 2018 100,6 100,9 107,7 107,7
3ᵉ trim. 2018 99,6 98,8 107,9 108,6
4ᵉ trim. 2018 100,7 101,4 113,0 112,5
1ᵉ trim. 2019 106,3 107,3 125,0 123,3
2ᵉ trim. 2019 106,6 106,4 125,3 123,7
3ᵉ trim. 2019 107,9 105,7 119,6 126,3
4ᵉ trim. 2019 108,6 102,2 124,3 128,2
1ᵉ trim. 2020 102,9 97,9 114,1 118,8
2ᵉ trim. 2020 76,7 74,0 98,6 97,5
3ᵉ trim. 2020 121,1 112,3 151,9 150,4
4ᵉ trim. 2020 119,7 113,6 146,1 149,6
1ᵉ trim. 2021 124,0 116,5 154,7 156,0
2ᵉ trim. 2021 132,2 120,5 142,5 154,1
3ᵉ trim. 2021 122,6 115,2 131,5 145,2
4ᵉ trim. 2021 123,6 114,5 133,3 145,8
1ᵉ trim. 2022 132,0 116,6 145,6 153,3
2ᵉ trim. 2022 134,2 118,4 135,6 149,0
3ᵉ trim. 2022 132,2 120,7 146,8 153,9
4ᵉ trim. 2022 130,4 117,8 148,4 154,3
1ᵉ trim. 2023 121,5 106,8 141,6 146,5
2ᵉ trim. 2023 127,2 107,8 145,3 147,6
3ᵉ trim. 2023 131,2 109,9 153,7 156,0
4ᵉ trim. 2023 130,6 112,9 152,5 154,5
  • Note : données CVS-CJO.
  • Champ : ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, SIDE.

Figure 19Créations d'entreprises

  • Note : données CVS-CJO.
  • Champ : ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, SIDE.

Au quatrième trimestre 2023, le nombre cumulé de défaillances d’entreprise sur un an s’amplifie

Figure 20Défaillances d'entreprises

Défaillances d'entreprises
Zonage Nombre de défaillances sur un an (*) Glissement du cumul annuel (en %)
4ᵉ trim. 2022 3ᵉ trim. 2023 4ᵉ trim. 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 2 710 3 400 3 670 7,8 35,7
Seine-et-Marne 1 380 1 790 1 870 4,1 35,2
Yvelines 700 860 950 10,8 36,1
Essonne 660 780 830 6,4 27,3
Hauts-de-Seine 780 1 020 1 150 12,5 47,7
Seine-Saint-Denis 1 330 1 640 1 940 18,4 46,1
Val-de-Marne 680 830 960 15,3 40,1
Val-d'Oise 750 840 880 5,4 18,1
Île-de-France 8 970 11 160 12 250 9,7 36,5
France 41 280 51 710 56 000 8,3 35,6

Figure 21Défaillances d'entreprises

(indice base 100 en décembre 2017)
Défaillances d'entreprises ((indice base 100 en décembre 2017))
Île-de-France France
déc. 2017 100,0 100,0
janv. 2018 100,2 99,1
févr. 2018 100,1 98,6
mars 2018 99,6 97,4
avr. 2018 100,6 97,6
mai 2018 100,8 96,7
juin 2018 101,4 96,7
juil. 2018 102,6 97,2
août 2018 102,7 97,7
sept. 2018 102,4 98,0
oct. 2018 103,9 99,0
nov. 2018 104,4 98,9
déc. 2018 105,1 99,0
janv. 2019 105,8 99,8
févr. 2019 105,9 99,7
mars 2019 104,7 99,3
avr. 2019 106,3 99,5
mai 2019 105,9 99,3
juin 2019 104,8 98,3
juil. 2019 103,6 98,3
août 2019 103,1 97,1
sept. 2019 102,8 96,3
oct. 2019 101,6 95,2
nov. 2019 100,4 94,3
déc. 2019 99,1 93,7
janv. 2020 98,1 91,5
févr. 2020 97,4 90,1
mars 2020 93,9 86,4
avr. 2020 87,0 80,8
mai 2020 80,9 76,0
juin 2020 77,6 73,5
juil. 2020 76,0 70,6
août 2020 74,7 69,7
sept. 2020 72,6 66,9
oct. 2020 68,9 63,3
nov. 2020 66,2 60,3
déc. 2020 63,4 57,2
janv. 2021 60,7 54,7
févr. 2021 57,0 51,6
mars 2021 57,9 51,4
avr. 2021 59,7 52,7
mai 2021 62,3 53,8
juin 2021 62,1 52,9
juil. 2021 61,6 51,5
août 2021 61,1 51,3
sept. 2021 59,6 50,4
oct. 2021 58,6 49,9
nov. 2021 57,9 49,9
déc. 2021 58,3 50,5
janv. 2022 58,1 51,5
févr. 2022 60,0 53,2
mars 2022 61,3 55,4
avr. 2022 63,3 57,5
mai 2022 63,8 59,3
juin 2022 65,5 61,5
juil. 2022 66,8 64,1
août 2022 68,2 65,3
sept. 2022 72,2 68,5
oct. 2022 74,0 71,1
nov. 2022 76,6 73,8
déc. 2022 78,4 75,6
janv. 2023 81,1 78,8
févr. 2023 83,9 81,1
mars 2023 86,3 84,0
avr. 2023 89,0 85,9
mai 2023 91,3 88,3
juin 2023 94,5 90,5
juil. 2023 96,3 92,3
août 2023 96,8 93,1
sept. 2023 97,4 94,8
oct. 2023 100,7 97,7
nov. 2023 104,0 100,4
déc. 2023 107,1 102,8
janv. 2024 110,7 104,5
févr. 2024 nd 105,9
  • Notes : données mensuelles brutes au 22 mars 2024, en date de jugement.
  • Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : Fiben, Banque de France.

Figure 21Défaillances d'entreprises

  • Notes : données mensuelles brutes au 22 mars 2024, en date de jugement.
  • Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : Fiben, Banque de France.

Au quatrième trimestre 2023, le nombre de logements commencés baisse fortement

Figure 22Évolution du nombre de logements

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution du nombre de logements ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Logements autorisés - Île-de-France Logements autorisés - France hors Mayotte Logements commencés - Île-de-France Logements commencés - France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 103,8 100,0 88,0 84,6
2ᵉ trim. 2018 107,6 97,2 98,2 89,4
3ᵉ trim. 2018 108,2 97,7 79,0 83,1
4ᵉ trim. 2018 90,8 92,9 98,0 88,1
1ᵉ trim. 2019 91,3 90,0 90,2 83,5
2ᵉ trim. 2019 93,7 94,9 81,9 80,7
3ᵉ trim. 2019 86,9 90,3 84,7 82,6
4ᵉ trim. 2019 93,1 102,6 89,6 84,4
1ᵉ trim. 2020 79,3 96,3 73,7 80,4
2ᵉ trim. 2020 47,0 58,8 67,2 69,1
3ᵉ trim. 2020 65,9 80,8 83,4 86,6
4ᵉ trim. 2020 89,7 94,5 65,5 81,5
1ᵉ trim. 2021 76,4 94,2 80,9 87,7
2ᵉ trim. 2021 73,1 97,8 82,1 87,9
3ᵉ trim. 2021 83,0 101,0 67,4 88,1
4ᵉ trim. 2021 83,7 98,8 78,9 89,1
1ᵉ trim. 2022 78,9 117,6 80,6 90,3
2ᵉ trim. 2022 99,2 109,2 62,8 83,3
3ᵉ trim. 2022 115,5 105,2 73,9 79,6
4ᵉ trim. 2022 53,3 76,1 71,0 81,8
1ᵉ trim. 2023 74,9 83,0 59,5 70,3
2ᵉ trim. 2023 63,8 77,8 59,7 65,3
3ᵉ trim. 2023 60,5 72,4 51,8 58,8
4ᵉ trim. 2023 65,1 77,4 41,9 58,1
  • Note : données en cumul trimestriel CVS-CJO, en date réelle estimée.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 22Évolution du nombre de logements

  • Note : données en cumul trimestriel CVS-CJO, en date réelle estimée.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 23Logements autorisés à la construction

Logements autorisés à la construction
Zonage Nombre de logements autorisés sur un an (*) Glissement du cumul annuel (en %)
déc. 2022 sept. 2023 déc. 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 2 500 1 900 1 900 2,3 -22,2
Seine-et-Marne 12 000 6 600 6 500 -0,8 -45,5
Yvelines 10 800 6 100 7 100 17,5 -33,6
Essonne 8 300 7 600 8 400 9,3 0,5
Hauts-de-Seine 10 200 6 600 7 400 12,5 -27,6
Seine-Saint-Denis 14 000 11 100 11 300 2,2 -19,2
Val-de-Marne 13 300 11 300 10 600 -6,3 -20,2
Val-d'Oise 7 200 6 000 6 300 4,5 -12,1
Île-de-France 78 200 57 200 59 600 4,2 -23,8
France hors Mayotte 489 400 369 600 371 200 0,4 -24,1

Figure 24Logements commencés

Logements commencés
Zonage Nombre de logements commencés sur un an (*) Glissement du cumul annuel (en %)
déc. 2022 sept. 2023 déc. 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 2 300 2 000 1 800 -13,4 -23,9
Seine-et-Marne 9 100 6 800 5 900 -13,9 -35,8
Yvelines 9 000 6 300 6 000 -5,0 -33,7
Essonne 7 000 6 300 5 200 -17,7 -25,9
Hauts-de-Seine 11 000 8 700 6 300 -27,9 -43,1
Seine-Saint-Denis 9 400 8 400 8 800 4,3 -7,0
Val-de-Marne 9 400 10 500 9 200 -12,4 -2,6
Val-d'Oise 6 500 4 900 4 200 -14,8 -35,6
Île-de-France 63 800 53 900 47 200 -12,5 -26,1
France hors Mayotte 391 000 326 000 296 400 -9,1 -24,2

Au quatrième trimestre 2023, la surface de locaux commencés rebondit

Figure 25Évolution de la surface de plancher des locaux

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de la surface de plancher des locaux ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Locaux autorisés - Île-de-France Locaux autorisés - France Locaux commencés - Île-de-France Locaux commencés - France
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 121,8 102,2 108,7 106,2
2ᵉ trim. 2018 87,0 88,7 78,8 93,6
3ᵉ trim. 2018 101,7 94,9 58,4 88,7
4ᵉ trim. 2018 107,2 94,7 77,8 106,1
1ᵉ trim. 2019 117,0 109,3 113,6 108,3
2ᵉ trim. 2019 101,6 104,2 66,9 96,4
3ᵉ trim. 2019 111,6 93,8 76,7 104,6
4ᵉ trim. 2019 90,0 99,1 110,1 114,0
1ᵉ trim. 2020 98,0 87,0 61,8 91,2
2ᵉ trim. 2020 78,2 64,2 34,0 72,0
3ᵉ trim. 2020 67,1 92,0 66,7 90,4
4ᵉ trim. 2020 97,8 84,2 95,3 101,3
1ᵉ trim. 2021 73,2 83,8 60,7 84,4
2ᵉ trim. 2021 83,1 89,5 77,2 91,2
3ᵉ trim. 2021 78,1 99,7 81,2 97,7
4ᵉ trim. 2021 93,5 91,1 77,0 98,1
1ᵉ trim. 2022 79,5 92,4 73,1 101,5
2ᵉ trim. 2022 111,2 98,3 93,2 110,7
3ᵉ trim. 2022 91,9 94,8 75,7 89,9
4ᵉ trim. 2022 101,9 102,3 85,9 91,1
1ᵉ trim. 2023 89,2 92,8 66,7 88,3
2ᵉ trim. 2023 71,8 90,2 59,7 80,3
3ᵉ trim. 2023 84,1 88,9 44,9 81,0
4ᵉ trim. 2023 75,9 89,6 58,0 82,4
  • Note : données en cumul trimestriel CVS-CJO en date de prise en compte.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 25Évolution de la surface de plancher des locaux

  • Note : données en cumul trimestriel CVS-CJO en date de prise en compte.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 26Locaux autorisés à la construction

Locaux autorisés à la construction
Zonage Surfaces de plancher des locaux autorisés sur un an (en milliers de m²) (*) Glissement du cumul annuel (en %)
déc. 2022 sept. 2023 déc. 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 404 516 450 -12,7 11,5
Seine-et-Marne 1 014 963 683 -29,1 -32,7
Yvelines 668 537 516 -3,9 -22,8
Essonne 582 529 531 0,4 -8,7
Hauts-de-Seine 594 256 304 18,6 -48,8
Seine-Saint-Denis 585 623 595 -4,6 1,7
Val-de-Marne 445 392 349 -11,1 -21,7
Val-d'Oise 479 563 606 7,7 26,6
Île-de-France 4 771 4 380 4 034 -7,9 -15,5
France 40 083 38 776 37 555 -3,1 -6,3

Figure 27Locaux commencés

Locaux commencés
Zonage Surfaces de plancher des locaux commencés sur un an (en milliers de m²) (*) Glissement du cumul annuel (en %)
déc. 2022 sept. 2023 déc. 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 342 374 238 -36,3 -30,4
Seine-et-Marne 650 420 414 -1,3 -36,3
Yvelines 382 405 401 -1,2 4,7
Essonne 518 355 301 -15,2 -41,9
Hauts-de-Seine 432 266 282 5,9 -34,8
Seine-Saint-Denis 469 338 311 -8,0 -33,7
Val-de-Marne 251 298 273 -8,2 8,8
Val-d'Oise 443 281 220 -21,9 -50,5
Île-de-France 3 489 2 737 2 440 -10,8 -30,1
France 26 336 22 807 22 387 -1,8 -15,0

En janvier 2024, le nombre de nuitées dans les hôtels continue de baisser sur un an

Figure 28Hôtellerie

Hôtellerie
Zonage Nuitées dans l'hôtellerie (en milliers)
juin 2023 juil. 2023 août 2023 sept. 2023 oct. 2023 nov. 2023 déc. 2023 janv. 2024
Île-de-France 6 770 6 610 5 980 6 020 6 100 5 280 5 520 4 830
Évolution sur un an en pourcentage
Île-de-France 5,0 -4,5 -3,1 -1,7 -8,8 -2,3 -7,1 -3,9
France 1,4 -5,4 -5,5 1,7 -3,6 -2,8 -3,3 -2,2
  • Notes : le dernier mois est provisoire. Données mensuelles brutes, évolution par rapport au même mois de l'année précédente.
  • Accès aux séries longues "hôtellerie".
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

Figure 29Évolution de la fréquentation (en nombre de nuitées) dans les hôtels

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de la fréquentation (en nombre de nuitées) dans les hôtels ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Île-de-France France métropolitaine
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 101,7 100,9
2ᵉ trim. 2018 102,7 101,3
3ᵉ trim. 2018 104,6 101,9
4ᵉ trim. 2018 105,2 102,2
1ᵉ trim. 2019 104,4 102,0
2ᵉ trim. 2019 105,0 102,7
3ᵉ trim. 2019 104,7 102,8
4ᵉ trim. 2019 104,5 103,0
1ᵉ trim. 2020 100,0 99,6
2ᵉ trim. 2020 73,9 75,5
3ᵉ trim. 2020 54,1 64,2
4ᵉ trim. 2020 33,6 50,0
1ᵉ trim. 2021 20,2 40,7
2ᵉ trim. 2021 24,5 47,8
3ᵉ trim. 2021 31,1 53,1
4ᵉ trim. 2021 46,3 64,5
1ᵉ trim. 2022 58,4 74,0
2ᵉ trim. 2022 78,8 90,1
3ᵉ trim. 2022 92,0 96,4
4ᵉ trim. 2022 98,4 99,5
1ᵉ trim. 2023 104,5 102,7
2ᵉ trim. 2023 106,2 104,0
3ᵉ trim. 2023 105,3 102,9
4ᵉ trim. 2023 103,7 102,1
  • Notes : données trimestrielles brutes. Chaque point représente le cumul du nombre de nuitées des 4 derniers trimestres en base 100 au 4ᵉ trimestre 2017.
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

Figure 29Évolution de la fréquentation (en nombre de nuitées) dans les hôtels

  • Notes : données trimestrielles brutes. Chaque point représente le cumul du nombre de nuitées des 4 derniers trimestres en base 100 au 4ᵉ trimestre 2017.
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

Hôtellerie de plein air

Figure 30Hôtellerie de plein air

Hôtellerie de plein air
Zonage Nuitées dans l'hôtellerie de plein air (en milliers)
avr. 2023 mai 2023 juin 2023 juil. 2023 août 2023 sept. 2023 Saison 2023
Île-de-France 240 270 240 460 540 230 1 980
Évolution sur un an en pourcentage
Île-de-France 13,5 28,0 3,8 16,2 18,1 15,8 16,1
France métropolitaine 13,4 21,8 -1,8 0,7 2,5 11,9 4,4
  • Notes : données mensuelles brutes.
  • La saison touristique couvre les mois d'avril à septembre.
  • Les données sont définitives.
  • Accès aux séries longues "hôtellerie de plein air".
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

En janvier 2024, le nombre de nuitées en hébergement collectif touristique baisse à nouveau

Figure 31Autres hébergements collectifs touristiques

Autres hébergements collectifs touristiques
Zonage Nuitées dans les autres hébergements collectifs touristiques (en milliers)
juin 2023 juil. 2023 août 2023 sept. 2023 oct. 2023 nov. 2023 déc. 2023 janv. 2024
Île-de-France 1 150 1 140 1 110 1 000 1 070 920 970 820
Évolution sur un an en pourcentage
Île-de-France 8,8 -2,1 0,5 -2,9 -6,3 -0,4 -1,6 -7,3
France métropolitaine -0,9 -3,9 -3,6 -0,9 -0,9 -6,6 -4,8 4,4

En décembre 2023, le nombre d’allocataire du RSA recule sur un an

Figure 32Allocataires du RSA

Allocataires du RSA
Zonage Nombre d'allocataires du RSA (en milliers) (*) Variation annuelle (en %)
déc. 2022 sept. 2023 déc. 2023
Paris 65,1 64,0 64,2 -1,4
Seine-et-Marne 32,5 32,2 31,8 -2,2
Yvelines 26,5 26,1 26,0 -1,7
Essonne 30,3 29,6 29,7 -2,2
Hauts-de-Seine 32,0 30,8 30,7 -4,1
Seine-Saint-Denis 85,8 83,9 84,1 -2,0
Val-de-Marne 46,4 45,7 45,9 -1,1
Val-d'Oise 36,6 35,5 35,9 -1,9
Île-de-France 355,3 347,9 348,4 -2,0
France 1 886,8 1 835,4 1 849,9 -2,0
  • (*) En fin de trimestre.
  • Note : données provisoires pour les 2 derniers trimestres.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 33Allocataires du RSA

(indice base 100 en décembre 2017)
Allocataires du RSA ((indice base 100 en décembre 2017))
Île-de-France France
janv. 2017 100,3 100,6
févr. 2017 99,6 100,4
mars 2017 99,6 100,5
avr. 2017 99,4 100,5
mai 2017 99,6 100,5
juin 2017 99,4 100,2
juil. 2017 99,1 99,8
août 2017 98,9 99,3
sept. 2017 99,0 99,2
oct. 2017 99,6 99,5
nov. 2017 100,1 100,0
déc. 2017 100,0 100,0
janv. 2018 100,4 100,4
févr. 2018 100,3 100,3
mars 2018 100,6 100,4
avr. 2018 100,8 100,4
mai 2018 101,2 100,5
juin 2018 101,6 100,5
juil. 2018 101,6 100,2
août 2018 101,4 99,8
sept. 2018 101,9 100,0
oct. 2018 102,9 100,6
nov. 2018 103,5 101,1
déc. 2018 103,4 101,1
janv. 2019 103,1 101,1
févr. 2019 103,0 101,0
mars 2019 103,0 101,0
avr. 2019 103,0 101,0
mai 2019 103,2 101,1
juin 2019 103,2 101,0
juil. 2019 103,4 100,9
août 2019 103,3 100,5
sept. 2019 103,7 100,8
oct. 2019 104,5 101,2
nov. 2019 105,0 101,8
déc. 2019 104,7 101,7
janv. 2020 104,6 102,0
févr. 2020 104,9 102,2
mars 2020 106,5 103,5
avr. 2020 108,2 104,7
mai 2020 109,6 105,5
juin 2020 111,3 107,2
juil. 2020 113,5 108,6
août 2020 114,6 109,1
sept. 2020 115,6 109,4
oct. 2020 116,6 109,8
nov. 2020 117,2 110,1
déc. 2020 116,3 109,3
janv. 2021 114,9 108,1
févr. 2021 113,9 107,0
mars 2021 113,1 106,0
avr. 2021 112,1 104,9
mai 2021 111,2 103,9
juin 2021 110,5 102,9
juil. 2021 112,1 104,3
août 2021 112,1 103,8
sept. 2021 112,2 103,4
oct. 2021 112,0 103,0
nov. 2021 111,9 103,1
déc. 2021 110,9 102,5
janv. 2022 109,3 101,5
févr. 2022 108,2 100,4
mars 2022 108,4 100,9
avr. 2022 108,2 100,7
mai 2022 108,3 100,7
juin 2022 107,9 100,3
juil. 2022 107,6 99,8
août 2022 107,4 99,5
sept. 2022 108,0 99,8
oct. 2022 108,9 100,4
nov. 2022 109,2 100,8
déc. 2022 108,2 100,2
janv. 2023 107,5 99,7
févr. 2023 106,6 99,1
mars 2023 106,7 99,1
avr. 2023 106,6 99,0
mai 2023 106,9 99,0
juin 2023 106,7 98,6
juil. 2023 106,2 98,1
août 2023 106,0 97,6
sept. 2023 106,0 97,4
oct. 2023 106,4 97,9
nov. 2023 106,5 98,2
déc. 2023 106,1 98,2
  • Note : données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 33Allocataires du RSA

  • Note : données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

En décembre 2023, le nombre d’allocataires de la prime d’activité baisse sur un an

Figure 34Allocataires de la prime d'activité

Allocataires de la prime d'activité
Zonage Nombre d'allocataires de la prime d'activité (en milliers) (*) Variation annuelle (en %)
déc. 2022 sept. 2023 déc. 2023
Paris 104,0 104,5 103,8 -0,1
Seine-et-Marne 89,6 88,4 87,8 -2,0
Yvelines 72,2 71,2 70,6 -2,1
Essonne 77,0 75,7 75,6 -1,7
Hauts-de-Seine 72,4 71,3 70,8 -2,3
Seine-Saint-Denis 123,2 122,6 121,3 -1,5
Val-de-Marne 81,8 80,9 80,4 -1,7
Val-d'Oise 76,6 76,1 76,9 0,5
Île-de-France 696,7 690,5 687,4 -1,3
France 4 788,9 4 724,3 4 710,0 -1,6
  • (*) En fin de trimestre.
  • Note : données provisoires pour les 2 derniers trimestres.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 35Allocataires de la prime d’activité

(indice base 100 en décembre 2017)
Allocataires de la prime d’activité ((indice base 100 en décembre 2017))
Île-de-France France
janv. 2017 92,2 92,2
févr. 2017 93,6 93,1
mars 2017 95,5 94,4
avr. 2017 95,8 94,1
mai 2017 97,1 95,2
juin 2017 97,8 96,2
juil. 2017 96,6 95,3
août 2017 97,1 96,5
sept. 2017 97,8 97,8
oct. 2017 97,8 98,1
nov. 2017 99,1 99,4
déc. 2017 100,0 100,0
janv. 2018 99,1 98,0
févr. 2018 99,2 97,8
mars 2018 100,3 98,2
avr. 2018 100,5 97,7
mai 2018 101,7 98,7
juin 2018 102,5 99,5
juil. 2018 101,7 99,0
août 2018 101,9 99,9
sept. 2018 102,6 101,1
oct. 2018 103,5 102,6
nov. 2018 105,9 105,4
déc. 2018 111,8 110,9
janv. 2019 138,3 136,7
févr. 2019 148,7 145,4
mars 2019 153,4 149,1
avr. 2019 153,6 148,4
mai 2019 155,2 149,9
juin 2019 156,5 151,5
juil. 2019 155,3 150,7
août 2019 155,9 152,1
sept. 2019 156,9 153,9
oct. 2019 157,7 155,0
nov. 2019 159,6 157,0
déc. 2019 161,6 158,3
janv. 2020 161,6 157,2
févr. 2020 162,5 157,3
mars 2020 163,2 157,7
avr. 2020 164,2 158,3
mai 2020 166,0 159,4
juin 2020 166,8 159,7
juil. 2020 163,7 156,2
août 2020 161,5 154,3
sept. 2020 161,5 155,0
oct. 2020 162,8 156,9
nov. 2020 164,5 159,6
déc. 2020 165,4 160,8
janv. 2021 164,1 159,1
févr. 2021 163,6 158,3
mars 2021 163,8 157,9
avr. 2021 163,7 157,2
mai 2021 164,2 157,4
juin 2021 164,4 157,8
juil. 2021 163,0 156,6
août 2021 163,2 157,3
sept. 2021 164,5 159,1
oct. 2021 164,9 160,1
nov. 2021 165,4 161,6
déc. 2021 166,5 162,3
janv. 2022 166,3 161,1
févr. 2022 165,7 159,6
mars 2022 166,3 160,3
avr. 2022 166,2 160,1
mai 2022 167,1 161,1
juin 2022 167,4 161,7
juil. 2022 166,4 161,1
août 2022 167,1 162,4
sept. 2022 168,6 164,4
oct. 2022 170,4 166,4
nov. 2022 171,1 167,7
déc. 2022 172,0 168,2
janv. 2023 172,1 167,5
févr. 2023 171,6 166,5
mars 2023 172,2 166,5
avr. 2023 171,9 165,4
mai 2023 172,8 166,1
juin 2023 172,3 166,0
juil. 2023 170,2 164,9
août 2023 170,4 165,6
sept. 2023 170,5 166,0
oct. 2023 169,6 165,3
nov. 2023 169,3 165,6
déc. 2023 169,7 165,5
  • Note : données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Remarque : la prime d'activité est élargie à de nouveaux bénéficiaires depuis le 1ᵉʳ janvier 2019.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 35Allocataires de la prime d’activité

  • Note : données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Remarque : la prime d'activité est élargie à de nouveaux bénéficiaires depuis le 1ᵉʳ janvier 2019.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Avertissement

Les données chiffrées sont parfois arrondies (selon les règles mathématiques). Le résultat arrondi d'une combinaison de données chiffrées (qui fait intervenir leurs valeurs réelles) peut se trouver légèrement différent de celui que donnerait la combinaison de leurs valeurs arrondies.

Définitions

Heures rémunérées :

Les heures rémunérées couvrent les heures travaillées ainsi que des heures non travaillées mais rémunérées par l’employeur, notamment pendant les congés payés. Les périodes de chômage partiel indemnisées par l’administration publique et non par l’employeur ne sont à ce titre pas comprises dans les heures rémunérées.

Emploi salarié :

Les salariés sont les personnes qui travaillent, aux termes d’un contrat, pour une autre entité résidente en échange d’un salaire ou d’une rétribution équivalente, avec un lien de subordination.

Intérim / Travail temporaire / Travail intérimaire :

L' intérim (ou travail intérimaire ou travail temporaire) consiste à mettre à disposition provisoire d’entreprises clientes, des salariés qui, en fonction d'une rémunération convenue, sont embauchés et rémunérés à cet effet par l'entreprise de travail temporaire.

L'intérim se caractérise donc par une relation triangulaire entre l’entreprise de travail temporaire, l’entreprise cliente et le salarié, et implique la conclusion de deux contrats : un contrat de mise à disposition (entre l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise cliente) et un contrat de mission (entre l’entreprise de travail temporaire et le salarié).

Le contrat ne peut être conclu que pour l’exécution d’une tâche précise et temporaire, dénommée mission, et seulement dans les cas énumérés par la loi. Quel que soit le motif pour lequel il est conclu, un tel contrat ne peut avoir ni pour objet ni pour effet de pourvoir durablement un emploi lié à l’activité normale et permanente de l’entreprise utilisatrice.

Secteur tertiaire / Tertiaire :

Le secteur tertiaire recouvre un vaste champ d'activités qui s'étend du commerce à l'administration, en passant par les transports, les activités financières et immobilières, les services aux entreprises et services aux particuliers, l'éducation, la santé et l'action sociale.

Il est composé du :

  • tertiaire principalement marchand (commerce, transports, activités financières, services rendus aux entreprises, services rendus aux particuliers, hébergement-restauration, immobilier, information-communication) ;
  • tertiaire principalement non-marchand (administration publique, enseignement, santé humaine, action sociale).

Le périmètre du secteur tertiaire est de fait défini par complémentarité avec les activités agricoles et industrielles (secteurs primaire et secondaire).

Taux de chômage :

Le taux de chômage est le pourcentage de chômeurs dans la population active (actifs occupés + chômeurs).

On peut calculer un taux de chômage par âge en mettant en rapport les chômeurs d'une classe d'âge avec les actifs de cette classe d'âge. De la même manière se calculent des taux de chômage par sexe, par PCS, par région, par nationalité, par niveau de diplôme...

Remarque :

Le taux de chômage diffère de la part du chômage qui, elle, mesure la proportion de chômeurs dans l'ensemble de la population.

Taux de chômage (BIT) :

Le taux de chômage est le rapport entre le nombre de chômeurs et le nombre d’actifs (en emploi ou au chômage).

Demandeurs d'emploi en fin de mois / DEFM / Demandes d'emploi en fin de mois :

Les demandeurs d'emploi en fin de mois (DEFM) sont les personnes inscrites à France Travail et ayant une demande en cours au dernier jour du mois.

Demandeurs d'emploi de longue durée / DELD :

Les demandeurs d'emploi de longue durée (DELD) sont ceux inscrits en catégories A, B, C, depuis un an ou plus.

Création d'entreprise / Réactivation d'entreprise :

Une création d'entreprise correspond à la mise en œuvre d'une nouvelle combinaison de facteurs de production avec pour restriction qu'aucune autre entreprise ne soit impliquée dans cet évènement.

Les créations d’entreprises sont en fait des créations d’unités légales. On parle néanmoins de créations d’entreprises en raison de la spécificité de la situation au moment de la création. En effet, au moment de son immatriculation, il n’est pas possible de déterminer si une unité légale est indépendante ou appartient à un groupe. Par défaut, au moment de la création, toute entité est donc indépendante et considérée comme une entreprise.

La statistique mensuelle des créations d'entreprises est constituée à partir du dispositif SIDE (Système d’information sur la démographie d’entreprises). Ce dispositif est alimenté à partir de données du répertoire Sirene, enrichies d’éléments provenant du répertoire statistique Sirus.

Les créations d'entreprises correspondent aux unités légales du répertoire Sirene qui enregistrent un début d'activité relevant de l'un des cas suivants :

  • l'immatriculation d'une nouvelle unité légale avec création d'une nouvelle combinaison de facteurs de production ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de plus d'un an (il n'y a pas de nouvelle immatriculation mais reprise de l'ancien numéro Siren, en général pour un entrepreneur individuel) ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de moins d'un an, mais avec changement d'activité ;
  • la reprise par une unité légale nouvellement immatriculée de tout ou partie des activités et facteurs de production d'une autre unité légale, lorsqu'il n'y a pas de continuité économique entre la situation du cédant et celle du repreneur.

On considère qu'il n'y a pas continuité économique de l'unité légale si, parmi les trois éléments suivants concernant son siège, au moins deux sont modifiés lors de la reprise : l'unité légale contrôlant l'établissement siège, l'activité économique et la localisation.

Depuis les données relatives à janvier 2009, à la suite de la mise en place du régime de l'auto-entrepreneur (renommé micro-entrepreneur, à compter du 19 décembre 2014), les statistiques de créations d'entreprises incluent les demandes de créations enregistrées dans Sirene au titre de ce régime. Ce dénombrement n'inclut pas les entrepreneurs déjà en activité avant le 1er janvier 2009 et qui avaient demandé, à titre dérogatoire au plus tard le 31 mars 2009, à bénéficier du régime micro-social et du versement fiscal libératoire en 2009.

La statistique de créations d'entreprises couvre l'ensemble des activités marchandes hors agriculture.

Remarque :

Depuis le 1er janvier 2007, la notion de création d'entreprise s'appuie sur un concept harmonisé au niveau européen pour faciliter les comparaisons.


Défaillance d'entreprise :

Une unité légale est en situation de défaillance ou de dépôt de bilan à partir du moment où une procédure de redressement judiciaire est ouverte à son encontre.

Cette procédure intervient lorsqu'une unité légale est en état de cessation de paiement, c'est-à-dire qu'elle n'est plus en mesure de faire face à son passif exigible avec son actif disponible.

Remarque :

Il ne faut pas confondre la notion de défaillance et la notion de cessation. La notion de cessation correspond à l'arrêt total de l'activité économique d'une entreprise. Toutes les défaillances ne donnent pas des cessations. Par exemple, un jugement d'ouverture de procédure de défaillance (dépôt de bilan d'une entreprise inscrite dans le cadre d'une procédure judiciaire) ne se résout pas forcement par une liquidation.

Toutes les cessations n'ont pas donné lieu à une défaillance. Par exemple, un entrepreneur individuel peut cesser son activité suite à un départ en retraite.

Logement autorisé :

Un logement autorisé est un logement, non encore réalisé, dont la construction a été autorisée par un permis de construire ou une non-opposition à une déclaration préalable.


Logement commencé :

Un logement est considéré comme commencé (ou mis en chantier) après réception de la déclaration d’ouverture de chantier (DOC) envoyée par le pétitionnaire (ou maître d’ouvrage).

Un chantier est considéré ouvert lorsque les fouilles en rigole ou les fondations sont entreprises pour une partie ou la totalité des constructions autorisées.

Remarque :

Une « fouille en rigole » est un creusement du sol pour permettre la construction à l'emplacement des « semelles » (ces dernières sont les parties basses).

Revenu de solidarité active / RSA :

Le revenu de Solidarité active (RSA), entré en vigueur le 1er juin 2009 en France métropolitaine, se substitue au revenu minimum d'insertion (RMI créé en 1988) et à l'allocation parent isolé (API).

Le revenu de solidarité active est une allocation qui complète les ressources initiales du foyer pour qu'elles atteignent le niveau d'un revenu garanti.

Le revenu garanti est calculé comme la somme :

  • d'un montant forfaitaire, dont le montant varie en fonction de la composition du foyer et du nombre d'enfant(s) à charge,
  • d'une fraction des revenus professionnels des membres du foyer, fixée par décret à 62 %.

Si les ressources initiales du foyer sont inférieures au montant forfaitaire, la différence s'appelle le RSA socle. Le complément de revenu d'activité éventuel, égal à 62 % des revenus d'activité, s'appelle le RSA activité. Selon le niveau de ressources du foyer par rapport au montant forfaitaire et la présence ou non de revenus d'activité, un foyer peut percevoir une seule composante du RSA ou les deux.

Prime d'activité :

La prime d’activité est un complément de revenus d’activité s’adressant aux travailleurs percevant des revenus modestes. Elle remplace depuis 2016 le revenu de solidarité active (RSA-activité) et la prime pour l’emploi (PPE).


Sa réglementation s’inscrit dans la continuité de celle du RSA-activité, mais présente cependant quelques spécificités, notamment pour les temps partiels (bonus modulable individuel).

Correction des variations saisonnières / CVS / Désaisonnalisation :

La correction des variations saisonnières permet d’éliminer l'effet de fluctuations périodiques infra-annuelles dues au calendrier et aux saisons, de manière à faire ressortir les évolutions les plus significatives de la série. Celles-ci sont contenues dans la tendance et la composante irrégulière.

Par exemple, les ventes de jouets augmentent toujours fortement entre novembre et décembre, en raison de Noël. Sur les données brutes, cet effet périodique masque l’évolution conjoncturelle sous-jacente pour une année donnée. Une fois la série désaisonnalisée, c’est-à-dire l’effet Noël retiré, les ventes peuvent s’avérer en baisse, signe d’une moins bonne année.